Sur ce nouveau sujet,
Je voudrai vous faire parler.
Ou plutôt écrivez
La poésie mais apres.
Dans ce sujet, comme je l'disai,
Vous allez rimer et faire pleurer.
Faire rire, ou pourrir (???),
Par la poésie : un chant libre.
Mais sans attendre, écrivez, rimez !
Ou Hérobrine saura vous trouver.
Tseundru_fils.
Bon, vous l'avez compris,
faites de la poésie ! (ici)
Hors ligne
FR-Minecraft en force !
ok, bon bah, je vait vous faire ressortir toute mes poésie que j'avais écrit sur différent forum prévue a cette effet XD :
j'essaye de mettre dans l'ordre du plus anciens au plus récent:
Poème pour Backerei
Lorsque la mort viendra nous prendre,
On partira ensemble,
Sans regret, nous deux, ensemble…
En quittant ce monde de malheur,
On se prendra la main,
Cote a cote, on se retournera pas,
On rêvera pendant qu'on marchera…
Vers notre monde de nature et d'espérance.
Lorsque la mort viendra nous prendre,
On se donnera la main,
Sans regret, nous deux, ensemble…
On marchera à deux,
Marcher vers nos rêves, notre monde,
En quittant ce pays,
Sans ce retourné, sans un regard en arrière,
De ce monde qui ce déchire et meurent…
Lorsque la mort viendra nous prendre,
C'est avec un sourire qu'on partira,
Sans regret, nous deux, ensemble…
On se réveillera dans le même rêve,
Notre amour jusqu'à la fin de nos vie,
Même à la mort, même dans nos rêve,
On ne quittera pas la terre chacun de notre côté,
Mais en volant, main dans la main…
l'amour eternelle par dela la mort....
Mon amour, Je suis devant toi,
Ma vie s'effacera de cette ardoise,
Comme toi tu la été....
Comme nos vie ce sont séparé...
Sous ce cerisier, ce soleil d'été...
Je t'aime, La mort ne nous a pas séparé,
Mais nous à simplement retardé,
Je viens à toi....
Je suis devant toi...
On ce retrouvera,
Je serait dans tes bras,
On s'embrassera,
On se regardera,
On s'envolera...
Je t'aime, La mort ne nous a pas séparé,
Mais nous à simplement retardé,
Je viens à toi....
Je suis devant toi...
Tu ma promis de m'attendre,
Toi, mon chère amour tendre,
Tiendras-tu ta promesse?
Comme tu as fait tes prouesse?
Je te fait a mon tour une promesse...
Je t'aime, La mort ne nous a pas séparé,
Mais nous à simplement retardé,
Je viens à toi....
Je suis devant toi...
Je te promet de ne pas t'oublier,
De toujours t'aimer,
Comme toi tu la été,
Pendant toute ces année,
Tu ma emprisonné et aimé...
Je t'aime, La mort ne nous a pas séparé,
Mais nous à simplement retardé,
Je viens à toi....
Je suis devant toi...
Sous ce soleil d'été,
Ma vie prend fin,
C'est l'heure,
L'heure de te rejoindre,
A tu sue attendre?
Je t'aime, la mort nous a retardé,
Mais je te retrouve en cette fins d'été,
On pleure, on s'aime,
On peut enfin partir sereinement en amants...
Le soufle de la mort
Sur la route,
Un con me percute,
Je vole, une douleur atroce,
Non pas celui de la douleur,
Mais celui des reproches,
Et des pleures,
De ma famille de malheur....
A qui je manquerait dite moi?
Peut être a mon oie,
Peut être a ma famille,
Elle m'abandonne, la vie.
Tu me manquera, toi...
Avec tes yeux or,
Toi, que j'adore,
Toi qui vit sous mon toit.
Peut être que je verrait des ange,
Ou le démon en personne.
Mais pour l'instant,
C'est mon sang,
Que je voit coulé sur le béton,
Avec une bande de ton,
Qui s'arrête mais ne fait rien,
Comme ces politicien...
A qui je manquerait dite moi?
Peut être a mon oie,
Peut être a ma famille,
Elle m'abandonne, la vie.
Je ne pourrait plus emmené mon gosse a l'école,
Je ne serait plus au courant de ses heures de colle,
Je ne pourrait plus embrassé ma fille le soir,
Je ne pourrait plus lui conté les belle histoire,
Je ne pourrai plus joué avec mon chien,
Qui est un beau dalmatien,
Je ne pourrait plus me consolé avec mon chat,
Je lui avait fait tant d'achat,
Je ne pourrait plus rigolé avec mon oie,
Qui m'avait fait faire toujours le bon choix...
A qui je manquerait dite moi?
Peut être a mon oie,
Peut être a ma famille,
Elle m'abandonne, la vie.
Je commence a voir des anges,
A moins que sa soit le démon déguisé,
Avec sa fourche aiguisé,
Mais plus rien me dérange,
Maintenant,
Tout est flou,
La rose se fanant,
Le béton devient velours,
Je ne soufre plus,
Ne sent plus,
Ne voit plus,
Mon histoire a été lue,
Une page blanche est apparut...
A qui je manquerait dite moi?
A qui je manquerait dite moi?dite moi?
Peut être a la froideur du béton,
Peut être au piéton,
Peut être a ma voiture,
C'était ma dernière signature,
Mon sang, ma haine,
Ou a mon bonheur en laine.
A qui je manquerait dite moi?
A qui je manquerait, mais a qui?
[sans titre]
Sur l'eau d'un lac calme,
Un nénuphar en fanfare,
vient troublé l'eau calme,
dérangeant un canard,
Sur la rive,
une grenouille ivre,
vit le nénufar seul,
en plein soleil,
La grenouille plongea,
rejoignant son amoureux,
pour des jours heureux,
Ils était deux au milieux du lac....
[sans titre]
J'ai vue un jour peut être,
Toi que j'aime, T'assoir à côté de lui,
Huit branche, huit fleur,
Et faire apparaitre, disparaitre,
Trois fois la lune, trois fois le soleil,
Derrière un rideau d'oseille,
Peut être aussi faire pousser les arbres,
Et faire murir mon cœur de marbre,
attendrir mon amour, dans une feuille de velours.
Toi que j'aime, Toi qui m'aime,
Dans cette forêt d'hêtre.
Nos cœur se sont rencontré,
Et on a finie par s'aimer,
Malgré nos différence,
L'âge qui nous sépare,
On se retrouvera,
Rien nous arrêtera,
Car nous nous aimons,
Sur cette air de limon,
Acide certes,
Comme cette rampe,
Comme nos parents,
Mais on s'aime,
plus que tout....
[sans titre]
L'amour c'est comme une cicatrice,
Tu ne peux l'effacer,
Tu ne peux l'oublier,
Car on aime,
Un amant,
un aimant nous rassemble,
nous réunie,
face à la vie,
C'est une cicatrice que tu ne veut pas effacé,
Une cicatrice que l'on ne peut effacé,
Car l'amour n'est pas remplaçable,
Car l'amour est un poème,
a lui seul,
Il refait une vie,
Il donne une nouvelle chance d'aimé,
Une nouvelle chance de vivre,
Car il te ressuscite.
Le malheur lionceaux
C'est sous cette arbre, à l'abris,
Là ou tu m'avait dit de resté,
Là ou tu m'avait dit de guetté,
Mais tu n'est jamais revenue ici....
Jamais tu t'est repointé,
T'est tu fait embarqué?
Par des chasseurs de fourrure?
Des braconnier sans cœur?
Tous, nous félin, parton partout,
Ou nul part, chasse et braconnage,
Cirque et zoo, derrière ses barreaux,
Depuis longtemps, nous somme
Devenue de la marchandise banal...
Je me souvient de nos bon moment,
Maman,
Reviendra tu?
Papa, ils nous tu,
Insensible a notre beauté animal,
A ton fait quelque chose de mal?
Notre liberté est-il devenue illusion?
Y a t'il aucun échappatoire?
A ce massacre, a cette abattoir?
Est-ce juste une confusion?
Tous, nous félin, parton partout,
Ou nul part, chasse et braconnage,
Cirque et zoo, derrière ses barreaux,
Depuis longtemps, nous somme
Devenue de la marchandise banal...
Ou vais-je finir?
Est-ce la fin de ma vie,
De ma famille?
Irai-je sur le marché noir?
Avec tout pleins d'accessoire?
Ou dans le couloir de la mort?
Pour ma fourrure qui vaut de l'or?
Devrai-je sauté dans un cerceaux de feu?
Ou être parmi des leur?
Derrière des barreaux de fer?
Sans plus jamais sentir l'air?
Ou être chassé pour votre plaisir?
N'ai je plus droit de vivre?
Tous, nous félin, parton partout,
Ou nul part, chasse et braconnage,
Cirque et zoo, derrière ses barreaux,
Depuis longtemps, nous somme
Devenue de la marchandise banal...
Je voit arrivé des hommes,
Avec des fusil et leur yeux haineux,
Je vais bientôt te rejoindre,
O ma chère mère, o mon chère père,
Il pointe leur arme sur moi,
Je voit plus rien que le noir,
La douleur puis plus rien....
Un monde cruelle
On m'a dit un jour qu'il n'y avait plus d'espoir,
Qu'il n'y avait que des mirages,
J'ai pleuré en ce monde, à mon âge,
J'ai pleuré jusqu'au soir.
Que les dragons n'existaient pas,
Que les rêves ne seraient pas là,
Que l'horizon ne se voyait pas,
Car il n'existait en fait pas.
Pourtant je ne peux m'empêcher de rêver,
Si je ne t'avais pas rencontré,
J'aurais peut-être abandonné,
J'aurais cessé d'exister.
Car ce monde est pourri,
Le noir envahie les rue,
Mais je t'aime, je t'assure,
Même si ce monde je le haïs.
L'homme est cruel,
Je le suis aussi,
Je ne peux le contredire,
Ce n'ai pas une nouvelle.
J'aimerai tant oublier,
Toutes ces moqueries,
Tous ces rires,
Toutes ces années passées…
Il y a bien une chose qui réchauffe mon cœur,
Je crois que c'est toi
Qui crois en moi,
Tu n'es pas un leurre.
Tu es un ange d'éden,
Le courage ces envolé,
Mais tu la renvoyé,
Tu ma réveillé de ta venue soudaine.
Je rirais,
Ma vie, je reprendrais
Ou je me pendrais
En tout cas, je t'aime…
Sur le navire des mers...
Sur la mer d'argent,
Sur l'eau luisant,
Un bateau voguant,
Sur les flots tel un serpent.
Des poissons d'or,
Nageant vers le nord,
Avec des oiseaux,
Au-dessus des flots.
Les marins réveillés,
Et le capitaine émerveillé,
Par le soleil naissant,
Par le vent levant.
Toutes ces couleurs,
Non, ce n'est pas un leurre,
Mais par vos yeux brillant,
Regardé ce courant si lent.
Car vous vogué sur la poésie,
Maintenant vous pouvez la lire,
Et la raconté à qui voudra l'entendre,
Et la chanté à tous ces cœur tendre.
Ouvrez votre imagination,
Homme de toute nation,
Et montez sur mon navire,
Sans refermé votre livre.
La vie est futil
Mes ailes ne me porte plus,
Mon passé me rattrape,
Ne mettez plus la nappe,
Sachet que a vie est dur.
Vous êtes de pierre,
Pleuré en silence,
Sous vos moquerie incessante,
Heureuse ai-je l'air?
Vous aimé me voir souffrir,
Alors crevé tous,
Vous serez les brebis et moi le loup,
C'est ce que j'ai envie de vous dire!
Faite coulé un peu votre sang,
Vous savez taper,
Mais point vous me rattraperez,
Vous serez trop lent.
Laisser moi vivre,
Arrêter de me faire mal,
Je sais que je suis peut-être pas normal,
Je passe mon temps a lire.
Des fois je pense vraiment a en finir,
Pour fuir vos mot,
méchant et clair comme l'eau,
alors laisser moi écrire.
Laisser mon destin,
Entre mes mains....
Une vie de chien
Tu ma abandonné,
Vie de chien,
Tu a briser notre lien
Tu ma laisser.
Ai-je fait quelque chose de mal?
Peut être ma grosse langue,
Ou le fait que je n'ai jamais affronter les vague,
Est ce le fait que je sois un animal?
Toi qui m'avait aimer,
Est ce fini?
Faut il que je t'écris?
Pendant toute ces année.
Suis-je une simple chose?
Un objet qu'on peut transporter?
Je ne le savait pas quand je suis né,
Suis-je qu'une simple ventouse?
Tu ma laisser pour elle,
Une femme,
Tu est infâme,
Tu ma briser mes aile.
Suis-je qu'un leurre?
Quand je me promenait avec hâte,
Quand je te donnait la patte,
N'ai-je plus de place dans ton cœur?
A-tu déménager?
Pour ce que j'ai pus faire,
Même me faire bruler au fer,
Je suis prêt a tout pour me faire pardonner.
Va tu me laisser mourir de soif?
Pourquoi elle et pas moi?
Par la tristesse, je me noie,
Je croyait que tu aimait ma truffe...
Tu ma laisser là,
Comme une vulgaire œuvre d'art,
Le temps qu'il arrive, il sera tros tard,
Je bénie la SPA.
Le temps à passer,
Je suis mort depuis,
Mes yeux luis,
Mon cadavre c'est dessécher.
Quand il son arrivé,
il n'y avait plus rien a faire,
d'un squelette j'avait l'air,
On ma euthanasier.
Bénie sois t'il,
Il on mis fin a mes souffrance,
Il on retirer ta lance,
De ton être vil.
Un peu plus tôt,
ils auraient pus faire quelque chose,
J'aurai peut avoir de l'amour, cette dose,
J'aurai pus avoir eu un peu d'eau.
Pourquoi ma tu laisser ici?
Moi j'ai crevé,
Et toi tu est aisé,
Tu a mis fin a ma vie.
Mon cadavre sera emmené,
Toi, tu penseras plus a moi,
Tu t'es est foutus des lois,
A la mort tu ma mené.
Je suis partie,
En pansant a mon diable,
Tu n'a pus être viable,
Je vait au paradis.
l'enfant demon
Démon,prend mon âme,
Esprit obscur,
Devient ma lame,
Déverrouille ma serrure.
Ouvre cette prison,
Enlève mes chaine,
Le temps est long,
Laisse sortir ma haine.
J'ai donné mon âme au diable,
Je suis devenu un démon,
Je veux détruire ce monde si peu sociable,
Je suis devenu l'enfant démon.
Je désire votre sang,
Vous essaierez de me tuer au fer,
Vous perdez votre temps,
Je vous précipiterait en enfer.
Je voit tout,
De mes yeux perçant,
Je suis comme un loup,
Je vous tuerait de mes dent.
Ma langue est fourchue,
Je vous mens,
Ma queue est pointue,
De vos corps pendant.
Je ne suis qu'un enfant,
Mais j'ai donné mon âme au diable,
Point je ne ment,
Autour de cette obscur table.
Je suis devenue un enfant démon,
Je suis devenue un récolteur d'âme,
Le temps n'est pue si long,
Votre être se précipite dans mes sable.
Le feu accompagne ma détresse,
Ma cruauté nourris ma haine,
Vous ne me tiendrez plus en laisse,
Vous deviendrez victime de ma scène.
Vous ne me reconnaitrai plu,
Je me nourrirait de vos crie,
Docile je serait plu,
Je vous tuerait dans vos lit.
J'ai passé un accord,
Je l'ai laissé me transformé en démon,
Je ne pense pas avoir eu tord,
Je me suis transformé en enfant démon.
J'ai laissé le diable,
Dans ses flammes,
Dans cette fable,
Emporté mon âme.
Je suis devenu un démon,
Je suis l'enfant démon....
Ange triste...
J'ai parcourue biens des cieux,
J'ai aussi marché sur la terre,
Bien des cultures,Bien des dieux,
J'ai vue que des guerres.
J'ai vue bien des problème,
J'ai vue des gens qui se déteste,
Mais j'en ai aussi vue qui s'aime,
N'est ce qu'un test?
Il y à peut être plus d'espoir,
Pour ces hommes si immature,
J'en ai eu des choses a voir,
Comme ces gens qui respect pue la nature.
Mes plumes tombent,
La planète pourrie,
Que des bombes,
point je rie.
Mes larmes coulent,
Mon cœur se ternie,
Pour toute cette foule,
Qui dorment dans leur lit.
Bientôt,ma flamme s'éteint,
C'est bientôt mon heure,
Je m'assoie dans un coin,
Et je pleure...
enléve ton voile
Tu a été un poids pour moi,
Tu avait ton voile tous ce temps,
Tu enlève ton innocence d'autan,
Je prefere ne plus me plier a tes lois.
Tes yeux n'était qu'illusion,
regarde ou tu ma mené,
Depuis que je suis née,
Avec tes mots sous-pression.
Enlève ton voile,
Et montre ta véritable face,
Je crois que j'ai été ton vice,
Tu est un vandale.
Tu detrui tout,
Ma vie, mes rêve,
Point de trêve,
Tu n'est qu'un coup.
Ton sourire,
Contre mon malheur,
Ou viendra mon heure,
Arête de rire.
Enlève ta peau,
Et montre ton intérieur,
Et la noirceur de ton cœur,,
Point pur est ton eau.
Laisse moi seul,
Va t'occuper de mes note,
Je te laisse mes mérite,
peut être Invisible.
Sous ton apparence,
tu cache la vérité,
devant une tasse de thé,
Tu est une lance.
Pleuré en silence,
Laisser moi hurler,
Laisser moi crier,
veriter si dense.
Enlève donc ce voile,
Range cette douceur,
Crache donc ton feu,
Que tu te dévoile!
Range tes paroles,
Laisse moi vivre,
Tu est si ivre,
Et moi, vulnérable.
Laisse moi dormir,
Que je m'évade,
Que je me vide,
De tout tes dire.
Comme quoi je réussirait jamais,
Mais tu sais que je t'échappe,
Je ne suis pas une de tes nappe,
Tu le croyait déjà quand je buvait ton lait.
désoler de t'apprendre,
que point je me soumettrai,
J'irait bientôt respiré l'air,
enlève ce voile tendre.
Point je je ne reviendrait,
Plutôt me tiré une balle dans la tête,
T'inquiète, j'irai plutôt vite,
Ton sol point je ne tacherait.
Je serait partie avant que tu te rende compte,
Dans le ciel, il y a une chance qu'on m'accepte.
Put*** de corrida
Certain m'aurait coupé en rondelle,
d'autre m'aurait élevé,
Mais mon destin ma été enlevé,
Ma chair a été abimé.
Douleur chaque jour,
j'entre en piste,
dernier de la liste,
Sa devient lourd.
zut ! de corrida,
pieu de loisir,
Je ne suis pas un livre,
Je n'ait pas été candidat.
Ce n'est pas une vie,
Je préfère le boucher,
De vos tête bouche-bée,
Quand est ce finie?
Chaque jour des lance,
se plante en moi,
Vous aimez me voir,
De vos yeux vorace.
Vous aimez voir mon sang coulé,
Vous regarder tous,
comme des loups,
Mais aucun pour m'aider.
Metté vous a ma place,
Que sa soit moi qui rigole,
Je ne suis pas une luciole,
Bientôt je serait lasse.
Quand sa s'arrêtera?
Je ne veux plus y aller,
Je ne veut plus vous voir rigoler,
Je ne veux plus être là!
Comme deux dragon.
Tu est le dragon blanc,
Je suis le dragon noir,
On a tout notre temps,
A bas les lois!
La noirceur de mon cœur,
Rivalise avec la blancheur de ton âme,
Notre amour n'est pas un leur,
Ni notre être que nos parent entame.
Bien que j'aime la souffrance des hommes,
Bien que les haïs,
Toi, tu recherche la parfaite pomme,
Toi, tu cherche le bonheur du pays.
Nous nous aimons,
Je te pardonne,
On reconstruis le pont,
2 dragon qui volent.
Mes yeux sont de feu,
Ton souffle est détresse,
je te tend ce que j'ai, si peu,
Je ne suis pas une déesse.
Rallumons nos cœur,
replaçons les chandelle,
n'ayons pas peur,
On na pas encore sortie les pelles.
Mais je doit te prévenir,
On a pas le même centre d'intérêt,
Moi je prefere voir le pire,
Toi, Tu prefere mettre pied a quai.
Toi, les abeilles,
Moi les félin,
Nous sous les chandelle,
Ou main dans la main.
Je pourrait me dire heureux,
Que quand je les aurait sauvé,
Je pourrait dire que je suis heureux,
Que quand j'aurai essayé de les aidé.
Je suis prés a tout pour eux,
a torturer, a tué,
je prefere me faire manger par l'un d'eux,
Que de les abandonnée.
Toi, tu prend le partie des humain,
Je respecterait ton choix,
Moi qui suis passionné par les nains,
Mais ceux que tu défend, sont mes proie.
Je ne peux pas dire ce qui arrivera,
Je prefere avoir la surprise,
Mais quand on se rencontrera,
Sache l'histoire que j'ai prise.
Je gerbe en sachant ce que notre race fait,
Acte humain justifié, que des connerie,
Mes protégé auront jamais , a cause d'eux, la paix,
Je te prévient juste de ma fausse folie.
Trainer moi au tribunal si vous voulez,
Je serait , au nom des félin, leur crie,
une chose que vous ne pouvez pas me reprocher,
Car au moin, j'aurai agis.
Si je veux me lancé dans la génétique,
C'est en partie pour eux et mes rêve,
Dite moi vos critique,
J'espère que malgré ça notre amour sera pas brève....
J'ai compris quelque chose depuis longtemps,
Ces que si tu voulait faire quelque chose,
Ne pas demander a ces politicien d'autan,
Pour eux, point je ferait de pose.
Je veux voué mon existence a cela,
A leur protection et leur survie incertain,
Non, je me trompe pas,
Comme notre amour certain.
Le fait qu'il soit "dangereux" n'est qu'une excuse,
Pour pouvoir tous les exécuté un par un,
Tous ce qui dise n'est qu'une ruse,
C'est comme dire au mourant un avenir résumé en un bout de pain!
Je pourrait m'excusé de mes propos,
M'excusé de ma colère,
Mais ma détermination ne tombera pas a l'eau,
Braconnier, corps sans vie a terre.
Je suis le dragon noir,
celui déterminer, colérique,
avec mes écaille noir,
Un grand classique?
Toi, le dragon blanc,
celui qui souhaité aidé,
Celui qui dévoue tout son temps,
Et ta haine sceller....
2 dragons différent,
Mais tout deux amoureux,
On a tout notre temps?
J'ai tellement peu....
2 amoureux,
longue amitiez,
Heureux?
long baiser....
-Le vampire-
Sur la contré lointaine,
Château sur la colline,
Etre plain de haine,
Dents pointus comme des épines.
Se gavé de sang,
Pour arrêter la tristesse,
De son cœur il ne reste plus que néant,
Il a perdu sa déesse.
Chaque nuit,
Condamné,
Même à minuit,
A tué au nom de sa bien-aimée…
Il tue, je ne dis pas le contraire,
Mais ces pour ternir sa propre douleur,
Comme la fait son père,
Avant, de bruler quand venue son heure.
Il fait sa aussi pour survivre,
Ce n'ait pas une maladie,
La journée passé à dormir,
Dépendance, Midi ?
Mais le chevalier approche,
Pensant accomplir un acte héroïque,
Le vampire aussi vivant que la roche,
Va peut-être rejoindre sa femme magnifique….
Pieu dans le cœur,
Larme de vampire,
Point de peur,
Mieux que pire.
Vampire, dépendent de sang, son sort est sceller,
Il n'ira pas au paradis mais rejoindra sa bien-aimée….
Le loup des plaines
Au loin,
Point au village,
Point dans le foin,
Point dans une cage.
Le long crie de la liberté,
De la neige a la roche,
Son museau de sang pointé,
Sur son diner proche.
On l'imagina autrefois,
Mangeant les enfants,
Ou ceux n'ayant pas la foi,
Sous la lune luisant.
Point de forêt,
Point de meute,
Point d' harnais,
Dent en pointe.
Œil de la lune,
Pelage luisant,
Aucune rancune,
Pour les chasseurs malveillants.
Il se précipite sur le village,
Semant l'espoir sur la plaine,
Il a un bel âge,
Point dans ses yeux, de la haine…
Il se précipite dans ces bras,
Pour un câlin digne d'une déesse,
Il lui dit tous ses tracas dans ses bras,
C'est sa cher, sa cher maitresse.
L'ange oublié
Sur la foret de l'ouest,
Peau et plume mélangé,
Sur la terre de l'ouest,
Tristesse, corps abandonné.
Cupidon la laissé,
cœur déchirée,
Son amour la oublié,
Âme déchiqueté.
Ses plumes, rouge,
Douleur, sang,
froid, aucun refuge,
Bonheur absent.
Elle s'est faîte oublié,
Elle est couché, feuilles morte
Merveille du ciel délaissée,
Larme luisant, elle a prit la porte.
Son sang est chaud,
Son cœur, brisé,
Eau sur sa peau,
Voit l'ange agonisé.
Humaine a ailes,
Ciel désormais inaccessible,
Chasseur venue pour elle,
La prenant pour une cible.
Dernière larme,
Dernière pensé,
Une lame,
Un souvenir du passé.
Un amour perdu
C'est ce soir d'hiver,
Que tu est partie,loin,
j'étais dans tes serres,
tu n'est plus la, point!
Je dépose tous les jour,
Des fleur sur ta tombe,
Mon cœur, devenue sourd,
tu me disait "ma colombe".
Tu me manque tellement,
Tu était mon héros,
Mais aussi mon amant,
Ta voie et ta douce peau.
Comment pourrait-je t'oublier?
Toi et tes yeux regardant la mer,
Mais, malheur, ta vie a cesser,
Tu aurait pu être un si bon père.
Aujourd'hui, les seules fois,
Ou j'ai pus te voir, mon amour,
C'est allant la, pendant des mois,
La ou règne la mort, dans cette cour.
C'est fleur blanche reflète ton âme,
Dans cette endroit, immense cimetiere,
Déjà la nuit tombe, je dis au revoir,
Toute la nuit, je ferait pour toi, ma prière.
Ta chaleur me manquera,
mon amour, je t'aime,
S'il te plait, ne pars pas,
Une dernière larme, je t'aime...
dans les profondeur de l'enfer....
Je ne suis qu'une âme fébrile,
Qui n'a pas mérité le bonheur,
Sa ma comme exilé sur une île,
Je crois que j'ai prit peur.
Un brasier m'enflamme,
je descend, profond,
le feu de mon âme,
n'a pas prit le pont.
Aucune eau atténuera la douleur,
De cette vie, bien des remords,
Un vent violent a enlevé mon cœur,
Sur Cette soirée, quitté mon corps.
Le diable ma recruté en enfer,
Je suis un Homme, trop de remord,
Le feu, je suis marqué au fer,
Mais j'ai accueillie la mort.
Depuis, mon âme est partie en fumé,
cette mort, je la vivrait en enfer,
Depuis lors, mon cœur c'est envolée,
Depuis, dans ces flammes, je erres...
2 amours sur terre.
Elfe au couleur d'argent,
Cheveux du soleil dorée,
scrutant l'être innocent,
regardant la maison de fée.
Yeux bleu, paupières demi-clos,
Oreilles pointue, attentive,
Au moindre plissement de l'eau,
A la brise sur l'autre rive.
Petite colombe se présentant a lui,
Lui chuchotant 2mot, Crème si douce,
D'une humaine, d'un phœnix qui rit,
Bientôt, Le renard pointe sa frousse.
Le printemps passe, la chaleur grandie,
2yeux arrive, s'assoit sur le sable,
Lui plissent les yeux, lui sourit,
Alors qu'elle attend une autre fable.
Du petit amant, attendant jusqu'au soir,
Si différent mais si amoureux d'elle,
Pas intéresser voulait-il laissé croire,
Alors, elle le rejoint, déploie ses ailes.
La lune arrive, les regardent faire,
Eux s'embrase, sous l'œil de renard,
Ils se regarde, 2amours sur terre,
Sortant de l'eau, un nénuphar.
Vil danseur sur l'eau limpide,
Espion d'une longue séparation,
Nuit sans l'autre, larmes acides,
Chacun surveille l'autre, attention.
Ils se retrouveraient le lendemain,
Même heure, même moment passé ensemble,
A peine parti, ils ont déjà faim,
Un désirant l'autre, Ils en tremblent....
voila ^^
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C'est bien,
Très bien,
Par contre,
Comptes-tu ?
Mais, les syllabes,
Sont importantes,
Et on n'sait pas,
En quoi tu chantes !
Écoute-moi,
Et comptes-moi,
À mon debut,
J'ai deux syllabes,
J'en viens à quatre,
Après "comptes-tu" !
.
Tseundru_fils
Dernière modification par Tseundru_fils (09/08/2013 14:30:52)
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FR-Minecraft en force !
Ow, un sujet qui me plait ;)
Alors ben je vais faire ca dans l'ordre chronologique :
Te dévoiler mon coeur :
Tant d'occasions ratées de dévoiler ce que je ressens en moi,
Tant de moments que j'ai laissé filer au lieu d'en profiter,
Mon amour, tu n'y crois pas, pourtant, il est bien là,
Enfoui dans la tristesse de ne plus pouvoir te parler.
Toi, que j'ai remarquée, toi, que j'ai adorée,
Toi, qui a illuminé ma vie l'espace d'un instant,
J'ai essayé de t'approcher, de t'aborder,
Je regrette simplement de ne pas l'avoir fait a temps.
Je ne faisait que repousser ce moment fatidique,
Alors qu'en y repensant, rien n'était insurmontable,
Je me demande encore pourquoi je n'ai pas eu ce déclic,
Mais au fond de moi, peut-être n'en serais-je jamais capable.
Maintenant, je vis dans l'attente de te retrouver,
Qui sait, peut-être oublierais-je mes problèmes,
Pour enfin t'ouvrir mes sentiments et tout t'avouer,
Ce que j'éprouve pour toi est inimaginable, je t'aime.
Mon âme est en fête :
Enfin, mes sentiments pourront tout te dire,
Je rêve nuit et jour de pouvoir oublier ma peur,
J'ai enfin une occasion de pouvoir rougir,
Devant ta beauté incroyable qui fait mon bonheur.
Maintenant, je n'ai plus qu'à attendre demain,
Pour prendre mon téléphone, vaincre ma timidité,
Je te donnerai rendez-vous, et main dans la main,
Je te dévoilerai ma flamme que j'ai tant refoulé.
Mon âme est en fête, j'ai tant attendu ce moment,
Je rêve de toi depuis que j'ai croisé ton regard,
Tu as éveillé mon côté romantique, et je repense à cet instant,
Ou je ressentais une joie indescriptible a ton égard.
Je suis impatient de pouvoir te regarder et t'admirer,
De me plonger dans tes yeux qui me laissent rêveur,
Tu es ma raison de vivre, de pleurer et de penser,
Camille, Demain, je pourrais enfin t'ouvrir mon coeur.
Et enfin le dernier, que j'aime... beaucoup faut dire ^^ :
Une perle de la nature :
Tu es la seule qui peut illuminer le monde avec ton sourire,
Le noir de tes yeux est un pur bonheur, et j'aimerais m'y noyer,
Entendre nos cœurs battre, ne jamais laisser ce son mourir,
Te serrer dans mes bras, contempler ta phénoménale beauté.
Telle l'aube sur les flots agités, tes cheveux ondulants au vent
Sont d'un sublime éclat blond, et rien n'égale leur splendeur.
Ta voix est d'une infinie tendresse, et elle m'envoûte tant,
Que je ne pourrais m'en passer, elle me laisse songeur.
Ton parfum me remplit de joie quand il envahit mes poumons,
Lorsque je sens le contact de mes lèvres contre ta joue,
Tu ne te doutes de rien, bientôt tu saura que je désire notre union,
Quand je te vois, tout mes problèmes, tout devient flou.
Tu es une perle de la nature qu'il faut préserver et protéger,
Grâce à toi, ma vie sur cette terre prend enfin tout son sens,
Depuis ce temps, où je ne fais que t'aimer sans rien dévoiler,
Simplement, tu as envahi mon âme, puis mon existence.
(Bon, c'est pas du grand art... mais j'ai occupé mes nuits avec ça ;) ) (et non j'ai pas compté les syllabes... trop chiant :/ )
Dernière modification par MrRicool45 (09/08/2013 13:33:13)
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Wake me up, when September ends...
J'en aussi beaucoup, mais je vais mettre ceux que je préfère :
Sarah (Partie 2)
Cœur magnifique,
Instants magiques,
Juste merveilleux
D'être amoureux...
Une grande valeur,
La perdre, j'ai peur,
Pas trop serrer
Peur d'étouffer...
C'est un joyaux,
Voir bien plus beau,
Et à l'aider
Elle est aimée...
C'est elle, Sarah...
Pensées étranges,
Mi démon-ange,
Un peu féline
Une âme câline...
Bien mystérieuse,
Parfois curieuse,
Qui pense très fort
Le cri dehors...
Rêve des Dragons,
S'en fout des cons,
Aime bien ses chats
Des bêtes sympa...
C'est elle, Sarah...
Prend vite le chou,
Revient d'un coup,
Rigole pour rien
S'amuse, c'est bien...
Un peu fermée,
Pas écouter,
Mais ya pire qu'elle
Dedans, très belle...
Dehors, jolie,
J' lui dis, merci,
On s'aime comme ca
Moi et Sarah...
On s'aime, Sarah...
Pas vrai ? <3
Unique
Toi...et tes yeux...
Ne me laisse pas...
Cœur douloureux...
Un moral bas...
Toi...j' vois pas mieux...
Qui j'aime, sauf toi ?
Nous, nous sommes deux...
Je t'aime comme ça...
Unique...unique...
Merveilleux...
Magnifique...
Unique...unique
Tu es unique,
Cœur magnifique...
Toi, les félins...
Ca t' rends heureuse...
Mais à quel point ?
Pensée douteuse...
Toi...dans mes bras...
Pleurer longtemps...
Je fatigue...moi...
L'instant présent...
Unique...unique...
Merveilleux...
Magnifique...
Unique...unique...
L'instant unique...
Couleurs magiques...
Tu dis...le vrai...
Chacun son ch' min...
Diverses idées...
Chacun son ch' min...
On s'aime, c'est sûr...
Main dans la main...
Ensemble, c'est sûr...
Un bisou, tiens...
Unique...unique...
Merveilleux...
Magnifique...
Unique...unique
Tu es unique,
Cœur magnifique...
Unique...unique...
Merveilleux...
Magnifique...
Unique...unique
Tu es unique,
Cœur magnifique...
Je t'aime Unique...
Cœur magnifique...
Peur
Tes délires...je peux les comprendre...
De ta peine...un bout, je peux prendre...
T'écouter...cela, je pourrais...
T'oublier ? Cela va m' tuer...
Peur !
Peur !
Peur, peur, peur !
Peur te perdre !
Pas te perdre !
Mais quel con, moi, je suis...
D'avoir agis ainsi...
Toute ta haine...je peux la comprendre...
Ton mal-être...vas-y sans l'attendre...
Toi, t'aimer ? Cela, je pourrais...
Nos baisers ? Sûr qu'on peut s'aimer...
Peur !
Peur !
Peur, peur, peur !
Peur de t' quitter !
Pas te quitter !
Mais quel con, moi, aussi...
D'avoir agis ainsi...
Musique :
Mais quel con, moi, je suis...
D'avoir agis ainsi...
Peur !
Peur !
Peur, peur, peur !
Peur de t' quitter !
Pas te quitter !
Mais quel con, moi, aussi...
D'avoir agis ainsi...
Peur que tu meurs,
Peur de ton mal !
Peur de ton cœur,
Peur de ton âme !
Peur de te perdre,
Peur d'avoir mal !
Peur de te perdre,
Perdre ton âme !
Si oui...je meurs...
Oh ! Oui...j'ai peur...
Musique :
Tes délires...je peux les comprendre...
De ta peine...un bout, je peux prendre...
T'écouter...cela, je pourrais...
T'oublier ? Cela va m' tuer...
Musique :
Mais quel con, moi, je suis...
D'avoir agis ainsi...
Peur !
Peur !
Peur, peur, peur !
Peur de t' quitter !
Pas te quitter !
Mais quel con, moi, aussi...
D'avoir agis ainsi...
Sur tes braises
Allons bon, soyons fous,
Pensons déjà à nous,
Vu comment j' suis brûlé,
J'irais bien m'achever,
Je m'en fous du danger,
Où est donc l'intérêt ?
Sans danger, pas de vie,
Ou on meurt ou on rit,
Allons bon, j' t'accompagne,
Je n' perds pas mais j'y gagne,
Allons, on va au bout,
Nous sommes un peu fou-fous,
Marchons sur le même droit chemin,
Passons ensemble main dans la main,
En écartant tout le chemin,
On peut gagner, on ne perds rien !
Allons bon, deux tarés,
Faites place, laissez passer,
Il y a deux amis,
Et deux amours aussi,
Dégagez, v'là l' danger,
Ou vous y passerez,
Allons bon, l'aventure,
Il n'y a rien de sûr,
J'ai pris ma décision,
Et si j' passe pour un con,
Tant pis car, désormais,
On s'aime, on veut s'aimer,
Marchons sur le même droit chemin,
Passons ensemble main dans la main,
En écartant tout le chemin,
On peut gagner, on ne perds rien !
Allons donc sur tes braises
Pour qu'on se brûle les pieds,
Si nous sommes bien à l'aise,
On pourra y rester,
Je ne vais pas t' laisser,
Qu' tu n' puisse pas me laisser,
Avançons tous les deux,
Sans voir les autres yeux,
Nous serons bien heureux,
Avançons tous les deux,
Allons donc sur tes braises,
Et prenons-y nos aises !
J'ai mal dans l' cœur (Partie 1)
Jeté comme un chien sur le sol,
Privé des mots, de ma parole,
Dans ce pays, je peux penser,
Je peux parler, j' peux m'exprimer,
Certains ne l'ont pas bien compris,
Certains se foutent de toi et tu pleure,
Certains se moquent de toi et rient,
D'autres m'ont plantés un poignard au cœur,
J'ai mal dans l' cœur,
Je veux crever,
J'ai mal dans l' cœur,
Abandonner...
Comme un essuie-mains qu'on balance,
Pas d' droits, des devoirs, sans chance,
Dans ce pays, je peux gueuler,
Je peux aller me faire soigner,
Et je peux aussi me défendre
Contre des mots pas toujours très tendres...
Cela peut aller en Justice,
Gars embarqués par la Police,
J'ai mal dans l' cœur,
Je veux crever,
J'ai mal dans l' cœur,
Abandonner...
Un sentiment de trahison,
Un accueil pas forcément bon...
Je m'explique, je fais des efforts,
Pas reconnus, je prends les torts,
Alors que toi, tu es inscris,
Moi, je suis refusé d'ici,
Tu y reste, mais, vois-tu ma peine ?
Que je les ai, là, dans la haine...
J'ai mal dans l' cœur,
Je veux crever,
J'ai mal dans l' cœur,
Abandonner...
J'ai mal dans l' cœur (Partie 2)
C'est chaque fois la même chose le soir,
On se parle, on s'engueule, on rit,
Le temps passe, c'est comme du hasard,
Sarah, on s'aime...j'espère à vie...
Chaque jour, devant l'écran...j'attends...
Les heures passent, infinies...j' m'ennuie...
J' fais des Mario, ca m' passe le temps...
J' mets d' la musique...le temps, je l'oublie...
V'là maintenant un demi an,
Quand tu n'es pas là, je passe le temps...
Musique
C'est chaque fois la même chose le soir,
On se parle, on s'engueule, on rit,
Le temps passe, c'est comme du hasard,
Sarah, on s'aime...j'espère à vie...
V'là maintenant bientôt deux ans,
Suicidaire et les premiers chants...
Musique
Chaque jour, devant l'écran...j'attends...
Les heures passent, infinies...j' m'ennuie...
J' fais des Mario, ca m' passe le temps...
J' mets d' la musique...le temps, je l'oublie...
V'là maint'nant un an seul'ment
Amis, amour, réciproqu'ment...
V'là maint'nant un an seul'ment
Sarah, Guillaume, réciproqu'ment...
Au milieu de tes chats Ninjas (Partie 1)
Petite fille, je t'aime fort,
Je te rêve quand je dors,
Tu parles souvent de toi,
Dans ton monde, tes envies,
Je te les donnerais,
C'est une réalité,
On sera dans ton pays,
On s'appréciera aussi
Au milieu de tes chats Ninjas !
Petite fille, dans tes yeux,
Je vois une vie à deux,
Tu te plains des parents,
Qui, parfois, sont bien chiants,
Tu pourra les quitter,
C'est une réalité,
On sera dans ton pays,
Vieux repas-chandelles aussi,
Au milieu de tes chats Ninjas !
Petite fille, dans tes mains,
Je peux lire que demain,
On sera seuls, pas seuls
Avec l'ombre d'un tilleul,
Dans l'herbe, sous le Soleil,
Et le ciel d'un bleu ciel,
On sera dans ton pays,
On s'aimera aussi
Au milieu de tes chats Ninjas !
Tes cheveux, je te dis,
Ils sont si merveilleux,
Passer ma main dedans,
Toi, dans mes bras, longtemps,
Je t'aime, tu es en or,
Petite fille, je t'aime fort,
Dans ton rêve, ton pays,
On sera en paix aussi
Avec tous tes chats Ninjas...
Au milieu des chats Ninjas (Partie 2)
Je te vois derrière un écran couleur,
T'aimer sans pouvoir te toucher m'écœure,
Sans trop te connaître, je sens battre mon cœur,
Et te perdre, à l'avance, me fait très peur,
Peu m'importe si tu as cinq ans de moins,
Tu vis presque comme moi...je t'aime à un point...
Je t'écoute chanter, ce n'est que bonheur,
Je chante aussi, je veux sortir des chœurs,
Je voudrais t'aider dans tous tes malheurs,
Je saurais t'écouter durant des heures...
Peu m'importe si tu as cinq ans de moins,
Tu vis presque comme moi...je t'aime à un point...
Je t'attends chaque jour pour entendre ta voix,
Je voudrais que nos relations s'approchent,
Sans rien entre nous, te voir devant moi,
Et ensemble, à la vie, on s'y accroche,
Peu m'importe si tu as cinq ans de moins,
Tu vis presque comme moi...je t'aime à un point...
Peu m'importe si tu as cinq ans de moins,
Est-ce que tu m'aime, si oui, à quel point...?
Dernière modification par Backerei (09/08/2013 14:05:21)
Hors ligne
Escadya ma Maman Cube <3 =D
:
Je m'baladais,
Quand je l'ai vu.
Elle était là,
Invisible,
En attendant,
Me regardant...
J'eus d'abord peur,
Elle m'intrigua !
Avec ses pattes,
Toutes recourbées.
Un autre arrive,
Et la tue.
De son petit corps,
De ses huits pattes,
Elle périssa,
Ainsi, sur place.
Triste parait,
Pour certains
Cette histoire,
Mais n'est que tel,
Le destin,
Sur la Terre.
Tseundru_fils...
:
Si sans dix sous,
Se dissous le disciple,
Sont dissous
Dix disciples sans le sou !
Si d'assouvir, le sou
Ne se contente pas,
Vivre sans un sou
Reviens à mourir !
Qu'il périsse donc,
Le disciple !
Sans salaire non,
Mais sans dix sous si !
Les soucis ?
Quoi, les soucis !
Le disciple sans sou,
Le soucis s'en suit !
Même sans ces sous-ci !
Le salaire est sale,
Le sou aussi,
Comme le souci !
Qu'il achète
Des saucisses,
Sans avarice,
Et nous laisse dix sous !
Nous ne le souhaitons pas,
Nous suivrons,
Dix sous,
Sans soucis !
Ceci va ?
Bien, part
Arroser tes soucis,
Sans soucis sur le dos,
Ou cent souci sur le dos !
Ceci me va, à toi aussi.
Il faut suivre, ici ^^ !
Dernière modification par Tseundru_fils (09/08/2013 15:06:31)
Hors ligne
FR-Minecraft en force !
La chose
:
Je m'baladais,
Quand je l'ai vu.
Elle était là,
Invisible,
En attendant,
Me regardant...
J'eus d'abord peur,
Elle m'intrigua !
Avec ses pattes,
Toutes recourbées.
Un autre arrive,
Et la tue.
De son petit corps,
De ses huits pattes,
Elle périssa,
Ainsi, sur place.
Triste parait,
Pour certains
Cette histoire,
Mais n'est que tel,
Le destin,
Sur la Terre.
Tseundru_fils...
Je vois, une bête noire et poilue qui se promène à la vitesse grand V dans la maison ? Un petit truc mais quand on voit, qui semble imposant ? Elle tisse un truc laid au coin de la pièce, dans le noir ?
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Escadya ma Maman Cube <3 =D
oui ^^
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FR-Minecraft en force !
Un petit up... Un premier jet... Pour cet être qui m'a sauvé <3
Un soir d'automne.
Un soir d'automne, froid et humide,
Seul j'étais, dans cette forêt,
Amas de bois, plein de rides,
Fermée et sèche, mon âme criait.
Au bord des larmes, sans point d'encrage,
Sous ces branches, je suis là,
Contre ce tronc, j'écris ces pages,
Et alors je me jette... dans tes bras.
J'étais seul, abandonné,
Tel un chien qu'on aurait lâché,
Usé par le temps mais toujours fidèle,
Tel un zombie au pied de sa stèle.
Ce jour là, tu arrivas,
Tu étais le hero, moi le zéro,
J'avais l'air de rien, là,
Près de toi, sur le dos.
Assassiné par un faux espoir,
Celui d'être aimé par une ombre,
Alors que, rien que de te voir,
D'observer ton regard d'ambre,
Suffisait à remplir mon être,
De plus de bonheur que ce simple cèdre,
Contre lequel je me suis appuyé,
Le jour où je t'ai rencontré <3
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Ne pouvoir apprendre n'est pas honte, mais bien de ne pas vouloir.
Aurélien, dans nos cœurs.
Chapeau (et pas chapo :p) de moi aussi !
Dernière modification par Tseundru_fils (07/10/2013 00:51:10)
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