Bonjour j'ai écrit une petite fiction, les chroniques de Nematode, je vous laisse lire la première partie du chapitre 1
Chronique de Nématode
Voilà quatre ans que le vaisseau était partis de la Terre. La terre… Ils ne s'en souvenaient guère, ci ce n'est que quelques vagues vision de forêt et du centre d'entraînement
Henri Bourrassol méditait quand Didier Dernierssnés, le chef de mission, lui tapa l'épaule en lui demandant :
Vérifie la trajectoire, je ne veux pas finir ma vie dans ce vaisseaux…
Bien- entendue, regardez, Nématode apparaît au loin on n'y sera dans quelques heures…
Bourrassol vérifia la trajectoire et s'affala sur son siège dans la cabine de pilotage pressurisés du vaisseaux de la URC. Ils tenta de se rappeler en détail les causes de leurs départ. IL n'y parvient pas. IL pressa alors le bouton indiquant les archives. Sur l'écran de contrôles s'afficha un long texte parsemé d'images en couleurs.
Il y a dix ans de cela, il participait a un programme intensif d'entraînements pour entrer dans l'armée de l'air de la « démocraties de grande Europe ». Chaque jour, leur maître leur apprenaient différentes technique de combats. Puis a voler. Chaque soir il écoutaient un discours du chancelier.
Leur camps devaient se situer dans une montagne a l'écart de tous. Il était entourée de solides grillage, pour empêcher toute intrusion. A l'intérieur on n'y trouvait des baraquements, et une piste de décollage, ainsi que sa tour de contrôle. A quelques kilomètres, reliais par un passage souterrain, le centre de recherche spatial. On 'avait également installai, encore dans les sous sols, une arène pour les compétitions.
Dès son arrivée, il avait prouvai au monde, ou plutôt au camps, qu'il avait d'étrange dispositions pour l'astronomie. Après le lancer de javelots, il se rendait dans le centre de recherche spatial. Là il étudiait les planètes et leurs satellite, tandis que les autres continuait leur entraînement physique. Un soir qu'il était restai trop tard, il n'avait, en principe pas le droit d'entrer ici, étai surpris par un homme de fortes carrure.
Que fais tu là. Cet endroit est interdit aux pilotes…
…
Tu pourrais au moins me donner une raison. Tu as perdu ta langue. Continua l'homme d'un ton amusé.
J'étudiais les… Les cartes.
Tu as remarqué quelque chose ?
Non, enfin, oui. Regardez, là, sur ce, Henri désigna un points minuscules sur une carte d'un systèmes éloignée, Nématode, il pourrait il y avoir de la vie.
L'homme n'avait pas l'air convaincue et il répondit d'un ton sec :
En quoi cela pourrait-il être intéressant ? On a trouvai de la vie, alors il faudrait quelque chose de plus… Intéressant Finit- il sur un ton suave.
Il… Il IA des… minéraux, répondit Henri sur un ton hésitant
…
Il se pourrait qu'il soit précieux, pour financer la guerre, par exemple
Je m'appelle Daniel, Daniel dernierssnés Commença l'homme sur un ton chaleureux.
Moi c'est Henri bourrassol
Je suis charge des programme d'exploration de la république de grande Europe. Il paraît que tu es bon dans ce domaine. Et puis, tu n'est pas le premier a tourné ton regards vers Nématode Mais nous allons voir.
Allons voir quoi ? Demanda Henri
Allons voir ci nous pouvons finasser une petite expédition vers Nématode Et tu me semble avoir les conditions requise…
C'est ainsi que tout commença, on décida qu'on devrait envoyer une équipe réduite pour vérifier que la planètes serait vraiment lucrative. Les test commencèrent et il fut sélectionnes pour la mission, il serait quatre, lui, Daniel, Dan Albigeois et Laurent Hermann Après de longue séries de test, le jour du départ était enfin arrivés. Les équipes de télévision se pressaient sur l'étroit parvis de l'air de lancement. Tout le monde devait savoir que la démocraties de grande Europe était capable d'envoyer des hommes dans l'espace. On 'avait affrétés une petite navette chromais Elle portait fièrement l'insigne de l'agence spatiale de du pays : l' URC. Elle devait les emmener sur Nématode
Daniel participa a un court interviewer, et il montèrent dans le vaisseau sous les vivats de la foule. On n'avait accrochais au vaisseau deux énormes réacteur pour le propulser dans l'espace, puis les propulseurs principale envoilaient le vaisseau vers la lointaine Nématode…
Tout était comme dans le simulateur de vol, sauf que là, c'était pour de vrai. Henri ressentait alors une immense fierté a l'idée d'être l'un des premiers a posée le pied sur Nématode Les scientifique en était sur : l'atmosphère était respirable . Daniel pianota sur le clavier et les réacteurs propulsèrent le fiers vaisseaux vers les cieux. On avait ménagée un hublots, dans le cockpit Peu à peu, la foule rétrécir, puis les forêt de sapin, après vint le tour des montagnes et des continents et enfin de la planète bleue.
Personne ne pipaient mot : il fallait vérifier que tout était en ordre. La navette rougeoyait. Le ciel devenait toujours plus sombre et dense. Laurent prit soudain la parole :
Et dire que j'aurais pu ne pas partir…
Mais tu sais, tu a tout de même réussi le test de vue. Et puis n'en parlons plus. Nous serons les prier a poser le pied sur Nématode !
C'est dingue ! Vous cous rendez compte ! s'enthousiasma Dan
… Tu sais, ci il n'y a rien là bas… dit Daniel sur un ton pessimiste.
S'il n'y a rien là bas ?
Daniel appertisais a répondre quand un contact radio en provenance du centre de contrôle s'afficha sur l'écran :
Nous avons un problème, il se pourrait que votre réacteur est une fuite… commença une voix de technicien.
Devons nous nous mettre en orbite et attendre une réparation ? Demanda la voix inquiète du commandant de mission.
Rassurez vous : l'avarie n'est pas grave. Arrêter vous sur la base d'Oran. De là vous pourrez effectuer les réparations… Votre vaisseau trouvera sûrement une place.
Très bien, je vais ralentir la pousser des réacteurs principaux.
L'écran s'éteint, Daniel pianota sur le clavier et la navette se ralentit peu à peu jusqu'à une vitesse d'approche.
On y sera dans… Deux ou trois jours, avec ce réacteur en panne.
Tu cois que la mission est compromise ?
M… Non. Mais cela va nous retarder. Bon Dan, va voir le niveau de fuite. Je ne me fie pas totalement au technicien de l' URC.
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La fin du chapitre bien qu'elle soit courtes :
Mhmm… Non. Mais cela va nous retarder. Bon Henri, va voir le niveau de fuite. Je ne me fie pas totalement au technicien de l' URC.
Le jeune homme quitta le pont principale pour s »engager dans la coursive, puis il gagna un escalier de service et le descendit. Il arriva alors dans la salle des machines. Là, aux centre, sur le panneaux de contrôle, était fiché ( le panneaux avait été détruit ) un message au moyen d'une pique d'acier... Henri, le prit et commença à le lire :
Quand le Derniers-nés se lèvera,quand l'héritier de la liberté se lèvera, sa colère sera immense, et rien, dussent les océans se déchaînait, dussent les temples du chancelier s'effondrait, dussent le Mur s'ouvrir, Nématode se lèvera et acclamera l'héritier.
Henri ne comprenait pas se message, non, il ne le comprenait pas. Il n'avait pas eu l'occasion de suivre les cours de l'académie des Lettres de la chancellerie et n'était pas versé dans la prose officielle. Mais quelque chose le surprenait : cette écriture remontait à la nuit des temps, avant la guerre de la libération, avant la devise de la RGE ( République de Grande Europe ) Patrie, Service, Honneur, avant la construction d'Endorria, la capitale générale de la république , cela remontait à...
L'université des pilotes, oui, c'était cela. Avant d'entrer dans le centre d'entraînement ! Il n'était encore qu'une jeune adolescent, préposé à un bel avenir. Il apprenait avec ses camarade mais il était différent, plus attiré par les livres que part les divertissement que l'ont proposé alors ; danser sur les chansons barbare d'avant la libération, les concours d'éloquence sur le Chancelier... Un jour, fatidique comme celui d'avant sont départ , il s'était rendu dans la Grande bibliothèque des chancelier.
Il se faisait tard, mais ont n'y voyait comme en plein jour : La fausse république terroriste comme l'appelait le gouvernement, avait mené une brillante percé : des obus tombait sur Endorria, les maisons des généraux et ministres étaient ne feu, les temples à la gloire du Chancelier étaient bondés, ont avait même fait une procession en son honneur dans la ville. Tous le monde était paniqué mais pas lui. IL avait ressentis une pulsion, quelque chose l'obligeait à allait dans la bibliothèque .
Il passa vite les rayons concernant les victoires de la république, le chancelier, les terroriste, les hérétiques et les Bannis, ceux qui n'étaient pas en accord avec la république de Grande Europe. Une radio grésillait dans un coin :
Le Mur est éventré du côté de la ville de vlastovie et d'Athenaide.... Une... Généraux du ministère de la sûreté nationale arrête... 1500 suspect envoyés...Bombe...
Il continua sa marche, et se dirigea vers une porte, la porte du fond. Tous le monde savait ce qu'il y avait derrière : les archives de l'ancien temps. Les archives interdites, celles qu'ont ne pouvait voir, ceux qui les regardait mourrait, étaient bannis, traduit devant la justice de sûreté nationale. Il poussa la porte, elle n'était pas fermé, et il entra. Aux moment où il refermait la porte, une ombres se glissa dans la salle, illuminés par les flammes de l'extérieur.
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Chapitre 2, bien qu'il soit court
Chapitre 2
La conscience de l'ancien temps
Henri pénétra dans la salle : de plus petite taille que la précédente, elle était plus poussiéreuse aussi, ainsi que plus ancienne : voûtes en croisée d'ogives, rayonnages en bois, fenêtres à meneaux... Un vocabulaire architecturale interdits, ont n'avait détruits tous les monuments aux buldozer après la libération '' des nids de terroriste royaliste et fasciste'' selon la république...
Il prit un livre aux hasards et commença à lire : un spot diffusait une lumière tamisait :
Moi, Enguerrand, sir de Fortlanuit fait dons de 15 arpents de terres à l'Abbaye Saint-Georges du bois. Il sera dit qu'elle ne pourra les céder à une autres seigneurie sans l'aval du donateur, et que elle acceptera de prendre à sont services tous les novices que la baronnies de Fortlanuit lui donnera. Enfin il sera dit qu'elle acceptera de céder le moulin de Neufcastel à la maisonnées Bourassol, qui en manque cruellement pour ses paysans.
Le manuscrit lui échappa des mains, et vint chuter contre le sol. Aussitôt un souvenir lui revint, obsédant, qui le hanterait chaque nuit : Il regarde une femme, belle, très belle. Soudain quatre hommes font irruption dans la pièce. Ils égorgent la mère, le sang gicle, il en à sur ses mains, il les regarde, voit la femme inerte. Les hommes le prennent et le font sortir de la maison.
Il sort de sa torpeur et se demande ce que cela peut-être... Soudain, une main se pose sur sont épaule.
Bourassol...
Vénérable maître de l'histoire...
...Maîtres d'une histoire qui n'as que 60 ans... Une histoire écrites de toutes pièce, et qui vient effacer le reste, le temps d'avant...
Je peux vous expliquer m...
Je ne te dénoncerais pas, rassure toi. Mais prend garde, ne revient jamais ici, tu as vu, lus des choses que tu n'aurais jamais dus savoir, des chose dont tu n'aurais même pas du soupçonner l'existence. Répète après moi : ''L'histoire de la Terre commence avec le grand Chancelier, il n'y avait que des tribus barbare avant''
Mais... S'il n'y avait que des tribus barbares, pourquoi la guerre à-t-elle été si violente ?
Tu poses trop de questions, je ne te répondrais qu'une fois, tu jureras et tu oublieras tous. Avant la république, il y avait une, non, des civilisations, mais Elles les à réduites à néant ainsi que toutes leurs œuvres. Les survivants partirent où restèrent... Ceux qui partirent, moururent sur les routes... Ceux qui restèrent... Il fait un geste en l'air, un voile de tristesse passa sur ses yeux. L'émotion venait de prendre le dessus...
Ceux qui restèrent, que se passa t-il pour eux ? Que leurs fit notre bien-aimée chancelier ?
Ils leurs firent se qu'ils avaient fait à Catherine...
Qui est Catherine, Vénérable ?
Je ne peux te répondre aujourd'hui, mais un jour tu comprendras, un jour tu comprendras pourquoi Catherine est morte est qui l'as assassiné... Un jour...
Mais enfin Vénérable dites moi...
Jure
Mais...
Jure
Alors Henri jura, il récita les phrases, puis sortis, deux jours plus tard il avait tous oubliés : le chancelier avait mis en déroutes les terroriste, la république était à nouveaux triomphante. Seuls le rêve d'une femme assassiné vint le hanter, à jamais...
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Chapitre 3
Les larmes de Vienne
Le vénérable regarda le vaisseaux s'élever dans les airs, un homme faisait sont discours, toujours le même depuis 60 ans, la gloire de l'URC, la gloire de la RGE. Le vaisseaux, tel une fusée s'éloignait vite. Il le regarda partir, bientôt il pourrait voir ce qu'il y a aux-delà du murs... Derrière ce murs, qui y avait-il, des libérateurs où une nouvelle dictature ? Sûrement une république, une vraie république. Il détrourna les yeux : L'hymne de la RGE résonnait, accompagnait d'une images gigantesque du chancelier projeté sur la montagne qui bordait le terrain de lancement... Un endroit isolé, que le monde ne pouvait voir qu'en de rares occasion, celle où l'ont mettait la RGE en valeur, où les généraux faisaient de beaux discours patriotique et commentaient les nouvelles découvertes sur les missile qu'ont envoie rait sur le voisin.
La fusée disparut dans le ciel, ne se résumant bientôt qu'à un mince filet de fumée... Nématode serait bientôt une nouvelles colonies... Un nouveaux bagne. Le régime avait commencer par envoyer les opposants dans des camps sur des îles où dans les montagnes, maintenant c'étaient dans des vaisseaux en orbites autour de la terre où dans d'autres planètes où les autochtone étaient réduit à l'esclavage... Voila des pensée bien sacrilège pensa-t-il.
Il prit, pour rentrer dans l'université des pilotes, L'expresse, train à grande vitesse qui relliait tous les district du pays. Un district par ancien pays, qui le savait encore aujourd'hui ?
Il prit place à l'avant dans un confortables wagon aux couleurs du drapeaux nationale : Un écran diffusait les derniers discours, l'image de celui auquel il venait d'assister avait été considérablement retouché, pour donner un air encore plus solennel... Soudain, l'écran devient noire, puis il se ralluma : l'image avait changé, l'ont voyait Augvienna, la capitale du district FrontièreEst. La caméra faisait un gros plan sur un trou béants dans un bâtiment qui malgré les innombrables remaniement destinés à le rendre méconnaissable, avait toutes les caractéristique de la Hofburg de l'ancienne Vienne. Un missile des Terroriste venait d'atterrir sur le bâtiment,t en question : commentaires scandalisé du journaliste, puis images sur les blessés défigurés et mutilait.
Une larmes coula sur sont visages ridés : Il se rappelait sa jeunesse, sont adolescence à Vienne. Il caressa de sa main une cicatrice qu'il avait caché depuis longtemps sous la manche de sont chemisier marqué '' Gardien des annales du Chancelier''. Il se rappela alors... Et il vit, il revécut en pensée les événement d'août 2006... Ses yeux se teintèrent de rouges, et son café prit un goût de sang...
Vienne, la ville de la musique, la ville des arts, la ville de la beauté et du raffinement... En ce mois torride d'août 2006, il était avec ses amis, jouant et riant. Il écoutait de la musique sur les bords d'un lac en périphérie de la capitale autrichienne quand les sirènes retentirent. Quelques minutes après, à peine les gens avait-il eu le temps de se demander ce qu'il se passait, les premières bombes commencèrent à tomber.
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Chapitre 4
Se résoudre à l'impensable
Vienne, Londres, Paris, Berlin, Rome, Madrid, Lisbonne et Moscou, toutes détruites dans la même journée, puis vint les villes secondaire, et les infrastructure. Un pays, peu-importe lequel venait d'attaquer l'Europe.
A Bruxelles, les députés Européens était tous morts : une bombe de 5 tonnes s'était écrasé contre le parlement... Il n'y eu même pas de mobilisation générale, pas de messages ni de discours: l'attaque surprise, les pays eurent juste les temps de voir une flotte aérienne chargeant droit sur leurs centre névralgiques...
Dans la capitale Française se furent les bombes incendiaires qui vinrent à bout de l'organisation de l'état. A Rome, le Pape fut le premier tué.
Puis vint les forces armées qui détruisirent toutes forment de résistance, supprimèrent la noblesse et les membres du gouvernement ainsi que les chefs d'entreprise et les personnes bien en vue dans la société. Ensuite ils rasèrent les monuments. Puis brûlèrent ce qui restaient des villes et pillèrent les campagnes. En août, une multitude de drapeaux ornait les bâtiments officielles des pays. En septembre, le drapeaux de la RGE régnait ne maîtres, ont construisait un mur pour se séparer des états libre. Des fortins le ponctuait, un système défensif ingénieux, mais l'ont avait omis les portes...
Une nouvelle religion, un nouvel état. Il y eu quelques révoltes, il y eu quelques charnier. Septembre 2007, 3000 fanatiques de la culture tentèrent de sauver les œuvres rescapé de la ''guerre de libération'' . Ils furent tués dans des attaques aux gazes alors que la procession avançait vers le Louvre, où du moins ce qu'il en restait.
Mai 2014, révolte du district d'Italispan : des milliers de morts, de déportation, le district fut repeuplés avec des populations nouvelles.
Parmi tous ce chaos, le Vénérable, Guillaume de sont prénom, assistait à ce massacres, impuissants. Autodafé, exécutions publiques, assassinat, menaces... Le chaos pendant une vingtaine d'années. Puis le peuple oublia le temps d'avant et vénéra les chanceliers. Forts de leurs succès, ils construisirent une nouvelles villes, idéal à leurs yeux: rues à Angles droit, architecture résolument moderne ; l'ont gommait le passé, en espérant qu'ils ne ressurgirait pas.
Le Vénérable pensa ses plaies et tenta de se refaire une nouvelles vie, mais il n'y parvint pas. Son amie, sa confidente, Catherine Bourassol, fut tué peut-après pour ses origines nobles et sont engagement dans la lutte pour l'égalité. Quelle fut sont émotion quand il vit Henri Bourassol. Ainsi il avait survécu aux purges de 2008... Et quelles fut sont émotion quand il le vit partir pour l'espace, nouveaux terrains de combat, nouvelle idile transformé en enfer. L'enfer de la RGE.
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Le chapitre 6 est en cours d'écriture ainsi que les suivants. Laissez des commentaires sur votre avis et cherches les fautes :)
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Les fautes sont nombreuses, c'est dommage ! :s Pense aussi à structurer ton histoire en paragraphes
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Ne pouvoir apprendre n'est pas honte, mais bien de ne pas vouloir.
Aurélien, dans nos cœurs.
désolé je n'ais pas eu le temps de relire, et j'ai une configuration world qui fait que dés que je souhaite marquer un paragraphe je saute une ligne,pourrait tu m'indiquer comment l'enlever.
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Chapitre 5
Déchiffrer l'interdit
Tu es sur que tu l'as trouvé fiché dans le tableaux de contrôle ? Demanda Daniel Dernierssnés
Oui il y avait écrit ceci :
Quand le Derniers-nés se lèvera,quand l'héritier de la liberté se lèvera, sa colère sera immense, et rien, dussent les océans se déchaînait, dussent les temples du chancelier s'effondrait, dussent le Mur s'ouvrir, Nématode se lèvera et acclamera l'héritier. Répondit- Henri.
- Hmmm...
Ça ressemble à ton nom, tu ne trouves pas ?
Si, mais ça n'as aucun rapport...
Appelle moi Dan et Laurent. Réunion d'urgence.
Laurent va pas aimer... Il consulte ses cartes pour l' atterrissages sur Nématode...
Mais bon sang ! Ont n'y sera dans 4 ans ! Il aura tous sont temps. Et, de toutes manières, ordres du capitaine de vaisseaux mandatés par la chancellerie.
Ok ok. Henri appuya sur un interphone posé sur le côté de son accoudoir : Tous l'équipage est demandé dans la salle de conférences, urgences, je répète urgence.
C'est bon ont arrive, ont arrive... Ont arrivait à percevoir le ton bourru de Laurent à travers le grésillement de l'appareil.
Ils mirent les deux hommes aux courant de la situation, et, leurs réaction furent très différentes :
Et pour le panneaux !! Comment va t-on faire pour le réparer ? Et qu'est ce qu'ont va dire à la compagnie et aux technicien à la base d'Oran ? Hein ? Hurla Laurent
Mais qui à posté ce messages, et pourquoi ? Et qui y a t-il sur Nématode... S'interrogea Dan.
D'abord, dit Daniel sur un ton autoritaire, la question est de savoir si ont poursuis la mission.
Oui ont la poursuit, et ont cache le messages : si ont dit la vérité, ils enverront une équipe des forces spécial, et, avec eux, un chercheur de la vérité...
A la simple évocation de ce nom, un frisson d'effroi les parcourut.
Puis, continua Daniel après un moment de silence, que veut dire ce message et qui l'a écrit ?
Ça ne sert à rien de se perdre en conjoncture, répondit Henri, placide, j'ai quelques connaisance sur la base d'Oran, ils pourront nous renseigner. D'après mes connaissances, la prose est anciennes, ce n'est pas un terroriste mais plutôt... Plutôt une secte, où quelque chose de ce genre... Peut-être une organisation de l'ancien temps...
Laurent termina la conversation :
Alors, je suppose qu'ont va à Oran, ont questionne tes ''connaissances''.
Il y a quelques chose qui me gênent tous de même, dit Dan en relançant le débat, cette avarie de moteur, est-elle involontaire où volontaire, veut-ont bous forcer à aller sur Oran ?
Hmm... Nous devons être extrèmement prudent, reprit Daniel, soyez sur vos gardes et... Méfiez vous du personnel d'Oran, il se pourrait bien que certains de ces technicien et passagers et quelque chose à voir avec ce messages codé.
J'y pense d'ailleurs, il y a un trafique de passagers vers les autres planêtes avec quelques terminaux, ont pourra peut-être nous donner des indications supplémentaires, non ? Je pense que nous devrions prévenir Oran de notre arrivé prochaine, finit Henri, le second.
Ok, tous le monde à sont poste, Henri occupe toi de la comunication.
Très bien chef.
Le reste de l'équipage sortit, et Henri prit l'interphone central et commença la communication, mais il semblait que personne ne répondait. Enfin aux bout de quelques minutes de vains essais, quelqu'un répondit :
Terminal 5, hangar 34B, dans trois jour, 23H30. Fit-une voix dure et pressé qui n'étaient visiblement pas une secrétaire où un employé quelconque.
Puis une voix, cette fois ci normal, pris leurs communication :
Nous avons eu du mal à vous joindre, nous essayons depuis deux heures,... Donc, Terminal 18 Hangar 6H et réparation à partir De 3H30 du matin. A oui aux fait, un message pour vous de la part d'une personne anonyme : tenez, nous ne l'avons pas écouté, mais les services de...
Oui oui j'ai compris.
Henri appuya sur le bouton pour commencer l'écoute.
A bord de ce noirs vaisseaux se trouve l'héritier et le corbeaux, à vous de les trouver. Vous n'auriez jamais du lire les archives interdites ce jours d'octobre 2045, jamais, elles vous causeront plus de tort que vous ne le pensez, à vous, et vous n'auriez jamais du faire part de vous découvertes à la RGE, vous allez nous menez à notre pertes, souvenez vous, si cette navette arrive à destination, les conséquence serait terribles. Vous n'avez pas envie que tous les être qui vous sont chère meurt ? Non, alors faites en sortes qu'une avarie se produise près de Mars. Ou sinon, c'est la terre qui en pâtira, et tous se qui vous est chères disparaîtra en cendres.
Il coupa la communication et s'effondra sur la table. Mais que ce passait-il, et à quel terminal irait-il ? Devrait-il trahir l'équipage qui avait confiance en lui où tous révéler, il ne le savait pas.
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Chapitre 6
Aux devant de la mort
Le 26 juin 2050, 15 jours avant le départ en grande pompe de L'Orphée, pour la première fois depuis 5 ans, une grave crise éclata dans les couloirs du palais de la chancellerie.
Il faisait nuit, il pleuvait légèrement. L'homme s'avança silencieusement jusqu'à un soupirail du Palais de la Chancellerie. Grand, imposant, sans style architecturale précis, il se dressés dans Endorria, masse imposante où se jouait le sort de la RGE et de ses habitants.
Par chance, il n'y avait pas de garde, il se pencha sur un soupirail dont la grille était rouillés et auquel il manquait quelque barreaux. Il remarqua que le système électrifications ne marchait pas sur celui ci et le détacha sans bruit : ont les entraînait à cela dans la compagnie de la Liberté. I
Il se glissa sans bruit et pénétra tel un chat dans un territoire ennemi dans l'antre de la RGE. Les caves étaient visiblement anciennes, d'avant la RGE, et sentait le moisi. Il avança à pas de loup et découvrit, derrière une étagère, une petite porte : un monte charge qui permettait d'amener les papiers directement dans le bureaux du chancelier.
Il devait faire vite... Que se passerait-il s'il tombait nez à nez avec le chancelier en personne... Il ne préférait pas y penser. Il commença la pénible ascension. Toujours sans bruit. La diversion que ses camarades avait orchestré marchait : pas de gardes surveillant le conduit aux moyens des petites fenêtres percés tous le long.
L'homme se dit que la RGE devait être bien fragile pour autant de sécurité... Il y avait toutes une armés pour surveiller les innombrables couloirs et salons du palais de la Chancellerie. Il continua sont ascension. Soudain, à travers un grillage, il tomba sur un garde. Ca ne devait pas se passer ainsi. Tant pis.
Aux moyens d'une pique d'acier qu'il passa à travers le grillage, il mit un terme à la vie du garde ensommeillés. Il continua à monter. Il devait monter. Monter. Monter. Enfin il arriva à l'étage du chancelier.
Il passa précautionneusement la tête par l'ouverture : il se trouvait dans une antichambre. Il resta muets de stupeur devant la débauche d'ornement : colonnes, statuaires, tapis et meubles précieux... Il traversa la salle, ouvrit une porte et traversa une enfilade de pièces richement meublés plongés dans la pénombre.
Il le sentit, il sentit qu'il avait trouvé ce qu'il cherchait en entrant dans un bureaux qui aurait pus contenir l'Orphée... Partout des colonnes de marbres dorés, des cheminées polychrome, des fauteuil d'acajous et des tapis persans. Sur les commodes des vases en porcelaine de chine et finement ornés remplis de pierreries. Glaces Louis XV, commodes rehaussés de dorures, plafonds en coupoles peintes et moulurés...
Et, aux centre, un bureaux, immense, luxueux, tous en sculpture, le tout soutenus par des Cariatides... Il se précipita dessus, et se mit à ouvrir les tiroirs frénétiquement, enfin il trouva. Et il prit. Il ressortit par le même chemin, le produit de sont vol caché dans une serviettes. Il prit une bus rapides, puis un vaisseaux miteux pour la base d'Oran, sur la Lune. Là, aux Terminal 5, il aurait quelques chose à donner, quelques CD qui changerait la face du monde...
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le chapitre 7 sera bientôt posté...
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Chapitre 7 un intervalle entre le 6 et le 8
Représailles
-Comment ? Quoi ?
-Eh bien, chancelier... Il semblerait qu'un homme c'est infiltré dans le palais...
-Je vous avez dit que cette compagnie était dangereuse ! Mais ciel!Comment avez-vous pus ! Vous vous rendez compte de la catastrophe ? Nos archivez, toutes les archivez! Le point sensible de la RGE, que va t-il se passait s'il les diffuse !
Nous lançons actuellement une campagne de recherche et de contrôles interRGE, pour appréhender le criminel. Nous menons également une expertise de relevé ADN. De là nous pourrons ficher la personne aux moyens de la puces électronique que nous implantons à la naissance. De plus les caméras sont dans tous les lieux publics sans compter la délation possible et nos écouteurs disséminés un peu partout. Vous vous rappelez la campagne de recherche d'armes dans les domiciles ? Ont en à profité pour truffer les maisons de micro...
Très bien...Très bien... Qui était de garde cette nuit ?
Euh... Le commandant Alfred chancelier
Déporter sa famille et lui dans la bagne de Mars. Veillez à ce qu'ont n'en parle pas.
Bien-sûr, je vais expliquer tous cela sur le RGEjournal.
Bien, je compte sur vous Norway... Vous êtes mon conseiller, alors ne me décevez pas. Et aux fait, trouvez une faute aux commandant Alfred : ça passera mieux dans l'opinion publique et trouvez moi des preuves... Je ne sais pas moi, un intérêt trop prononcés pour quelques choses interdites ?
Je vous lance la recherche, chancelier.
Norway, le secrétaire pianota sur le clavier d'une tablettes et imprima la fiche : dans le bureaux du chancelier, des enquêteurs relevaient la moindres traces ainsi que dans le conduit.
34 ans...Rien de spécial chancelier, mais nous pouvons toujours inventer une affiliations avec le cartel de la drogue ?
Moui... Bon, envoyez les forces spécial raser quelques villages en représailles, de l'autre côté du mur dans les terres neutres...
Mais cela va...
Déclencher quelques affrontements, rien de mieux pour redonner l'ardeur aux peuples, bien je vais me retirer si vous me le permettez...Termina le chancelier.
C'était un homme de fortes carrure, sans embonpoint et en bonnes formes physique, aux coup d'œil perçants. Il marcha tranquillement vers le grand escalier, et mus par une intuition qui l'avait déjà sauvés plusieurs fois, il demanda aux secrétaire les nouvelles de l'Orphée. Il était occupé à écrire le procès verbal aux propres pour l'envoyer à la haute-cour de justice du RGE. Le chancelier l'interrompit :
Pourrais avoir les informations du vol URC01Orphée ?
Chancelier... Bien sûr, patientait quelques secondes je vous pris. C'est amusant Norway, votre conseiller m'as demandé les même informations hier.
Le chancelier s'énervait visiblement, et attendaient impatiemment les résultat de la recherche. Norway avait ainsi demandé plus ample détail sur ce vols dont la presse du RGE parlait tant. Ont avait invité le chancelier à venir discourir lors du départ, mais il avait relégué cette tache aux fidèle Norway. Ce dernier devrait parler de l'avancée technologique des nouveaux missiles : ont préparerait donc l'opinion publiques à une nouvelles offensives. L'expédition de Nématode servirait à amener des fonds supplémentaires, qui financerait les forces de terreur, ceux qui pilleraient et massacreraient les populations civile. Il ne fallait en aucun cas rejouer le fiasco de 2045... Mais ils avaient les papiers, les archives les plans et la logistique. Comment avait-ont pu laisser un homme voler les papiers, aux cœur de la nuit ?
Voilà chancelier, départ dans 14 jours à 15H56, à destination de Nématode , arrivé prévu dans 4 ans 8 mois 12 jours et 5 heures 52 minutes, 4 hommes à bord... Rien de plus normal chancelier.
Ce dernier quitta le secrétaire et alla déambuler dans le parc. Pourquoi Norway s'était-il intéressé à ce vol de routine... Peut-être à cause de cette destination, ont pourrait en faire une nouvelles base d'exploration mais il faudrait des vaisseaux plus rapides. Donc plus de fonds, avec 56% du budgets réservé à l'armée, ce qui restait était bien maigres.
Nématode remédierais durement à ce petit problème...
Dernière modification par Vaegon (09/05/2014 14:38:03)
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L chapitre 8 arrivera ce soir ou demain
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Chapitre 8
Résidu d'un entraînement...
L'Orphée, bien qu'ayant perdu un moteur avançait un rythme normal dans l'espace, le vaisseaux était de taille moyenne, amplement confortable pour un équipage réduit à quatre hommes. Chacun vaquait à ses occupations et disposait d'une cabine spacieuse. Il faut dire que l'Orphée était de ce qui se faisait de mieux dans la République de Grande Europe.
Laurent Hermann était tranquillement assis devant un panneaux de contrôle : il devait surveiller que le réacteur défectueux n'entre pas en surchauffe et provoque une explosion qui pourrait s'avérait fatale. Il surveilla la réserve d'air, puis celles de nourritures. Il serait ravitaillés parfois par quelques vaisseaux, jusqu'à 6 mois avant l'approche de Nématode.
Comme ils avaient décidaient d'un comment accords d'arrêter le moteur défectueux, Laurent n'avait pas grand-chose à faire si ce n'est vérifier la jauge de carburant en tant que chef scientifique. Un chef scientifique qui faisait le mécanicien ! Dan devait préparer le repas : il fallait bien le remplacer.
Il jeta un coup d'œil à travers le hublots ménagé dans la carlingue et vit la terre, dérisoire point bleu qui rétrécissait à mesure que le vaisseaux s'avançaient sur Oran, la bas du RGE sur la Lune. La base officielle car il y avait une série de base mais fermé aux publics et classé secret défense par la RGE. Des bases d'essais de missiles à ce que l'ont disait, enfin voilà quoi ,des rumeurs.
Il repensa à leurs entraînement: se levait tôt, s'exercer, puis, le soir se battre dans l'arène. Une idée du chancelier adopté en 2046 : Les universitaires s'entraînaient ainsi aux combat, et cela leurs donner envie de se battre... Une chose que Laurent n'avait jamais approuvé mais tant pis, c'était la lois, et ne pas respecter la lois voulait dire justice et justice voulait dire chercheur de la vérité.
Parfois, les forces spéciales emmenés quelques récalcitrants : ont ne les revoyait jamais. Il fallait s'intégrer dans ce système où périr. Tous les semestres il y avait les compétitions, seuls les meilleurs pouvait passer.
En 2048, l'ont décida d'utiliser les récalcitrants et les prisonniers pour des combats d'arène, mais des combats à morts... Il y eu un mouvement de protestation, qui se termina bien vit d'ailleurs, pensa Laurent, quand les meneurs furent justement emmenés dans les centres d'entraînement pour les combats d'arène.
Eux aussi se trouvait dans des lieux isolés, vierges de toutes occupations humaines, où si ce n'était pas le cas, l'ont n'avait chassé les anciens habitants sans plus de préavis.
Laurent avait passé toutes les épreuves avec succès, puis les test. Soudain il entendit un cri qui venait du ponts supérieurs : c'était Henri. Il monta et ouvrit la port :
Encore ce rêve
Moui, je n'arrive pas à l'oublier. Il devient chaque fois lus réels, comme si... comme si c'était une part de mon passé que j'avais oublié et qui ressurgissaient peu à peu...
A ce moment là Laurent compris que certains membres de l'équipage de l'Orphée cachaient certaines et avaient une part d'eux même enfouis aux plus profonds de leurs cœur, et qui ne demandaient qu'as ressurgir...
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En attendant le 9 quelque image :
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Chapitre 9
Lune
L'homme rentra dans la cache et prit un CD qu'il glissa dans un ordinateur portable. Il pianota un moment avant de trouver ce qu'il cherchait :
ARCHIVES----LUNE----BASES D'ORAN
La base d'Oran à été construite en 2015, et terminé en 2018. Elle possède l'infrastructure la plus développé de l'espace : 188 terminaux de passagers à destination de180 planète de la RGE, 35 terminaux de réparation, 200 de passager et 5 terminaux utilisés pour les déportations et les voyages spéciaux ainsi que convois spéciaux. Elle possède sont propre centre de recherches militaire et scientifique ainsi qu'un palais de la chancellerie sous biosphère éloignait du complexe par un couloirs blindés souterrain possédant un monorail blindés. Sans oublier les hôtels et logements du personnel ainsi que les ateliers de construction spatiale, les centre d'observation et de lancement spatiaux. Une prison est en service et un camps d'extermination et en cours de construction et sera terminés d'ici 2052 pour recevoir les opposants politique enfermés sur Mars.
Le terminal 5 est un terminal désaffecté qui sera rénové en terminal de Nématode d'ici 2068, un an avant le retour de l'expédition. Terminal interdits pour cause d'entrepôts de munitions et de missiles aux qu'a où la populations autochtone de Nématode résiste.
CODE D'ENTREE DU TERMINAL 5 : 047538187904
CODE DE LA CHANCELLERIE : 034385275926582642858
L'homme arrêta sa lecture et nota sur une feuille les deux codes qui l'intéressaient. Il appela alors un complice :
-J'ai les codes, j'ai failli me faire choper !
-Oh ça va ça va !
-Donc tu feras la diversion à la chancellerie, je ferais atterir l'Orphée, j'embarquerai les colis et il redécollera
-Hmm... Le problème c'est quel'avarie que l'ont à declenché eh bien... Il doivent faire une réparations. Donc il faudra bien qu'il change de terminal.
Le second n'aura qu'à prendre les colis et les ramenès à bord
Ca pourrait vite tournait mal, il peut y avoir un barrage des forces spécial dans une artére.
Je lui ferais emprunter un couloirs de services, tu sais ceux de 2015 pour la construction de la base d'Oran, il n'y a jamais personne dedans...
Et pas d'air !
Je prendrais des masques à oxygènes
Sous quel prétexte la RGE surveille tous, comment va tu justifier le port de masque? Surtout avec la diversion que tu as orchestré...
Je trouverais, je trouves toujours.
J'éspère bien. Il faut s'assurer que le second parlera pas.
Je m'en suis assuré, t'inquiête, l'équipage est plein de douteux qui aime pas le régime...
Et si il y a un corbeau ? Où un des forces spécial ?
Pas de risque j'ai tous vérifié.
Et je coupe les contact radio d'un moment à l'autre pour éviter qu'il parle.
Et comment vérifieras tu ?
Je trouverais, je trouve toujours
Il y a des rumeurs disant qu'ont n'est pas les seuls à être interressés par l'Orphée et son expédition.
Ah oui ?
Les terres libres
Neutres ?
Mais non, les plus éloignés, celles qui parlent mêment pas avec la RGE, de l'autre côté de l'océan. En Amérique du Nord... Où un trucs comme ça.
Il veulent quoi aux justes ?
Un roi.
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Chapitre 10
Un roi pour les terres libres...
Jane contempla la fin du tunnel. Le tunnel France-U.S.A, il était en cours de construction quand le chancelier avait attaqué... Les ouvriers avait tout laissé là... Il contemplait les truelles, les sacs et les machines. Ils avaient même laissé les casques...
Aussitôt après l'Invasion, les gouvernements américain et canadien s'étaient rallié et avaient formé les terres libres et attendaient depuis un roi, un héritier de la république où de l'ancien régime, et il 'avait trouvé. Il se trouvait à bord d'un vaisseau pour une destination quelconque.
En temps que premier ministre et régent des terres libres, il ordonna de faire sauter le tunnel inachevé : il fallait tourner la page. La RGE était trop puissante mais viendrai l'heure où elle chuterait, et elle serait bénite.
Il sortit du tunnel, puis monter dans une mercedes, exemplaire de collection avec la destruction des usines de la firmes, pour se diriger vers la palais du régent. Il prononça un discours pour anonçer que le tunnel Outre-Atlantique avait sauté. Puis il alla se reposer et demanda sont conseiller.
William, pourrait-je avoir les nouvelles ?
Eh bien... Nos services viennent de nous apprendre que les archives secrétes ont été volé et que...
Ciel ! Volé ! Où sont elle !
Justement telle est la question, ont ne sait pas où elle peuvent se trouver ni qui les as volé.
Et ?
Deux attentats, l'un dans Vienne, même si ce n'est plus sont nom, et l'autre dans Endorria, dans la Central Bank Of RGE.
Très bien ,très bien. Et pour le débarquement ?
Pas de bonnes nouvelles, la république voisine du RGE est calme, et la RGE vient d'envoyer une expédition sur...
A cet instant une sonnerie retentit :
Oui ? Ici le premier ministre, qui y a t-il ?
Monsieur...
Un message...
De qui?
Du... Du chancelier
Eh bien dites, qu'attendez vous ?
'' Un bien le bonjour de Nématode''
Oh...
William appelé moi le ministére de la guerre. Dites leurs d'affréter une ambassade de toutes urgence à Endorria et un Intercepteur pour Oran. Dites leurs d'envoyer des hommes aux terminal 5
Très bien
Jane compris alors ce qui allait ce passer. Les ressources de Nématode permettrait un approvisionnement d'Uranium et d'or quasi infinis. La RGE gagnerait la guerre avec cela, certainement. L'ayant compris mais ne voulant pas alerter la RGE, Jane de tout garder cacher. La RGE avait sûrement envoyer une expédition réduite pour ne pas éveillez les soupçons, il n'était peut-être pas trop tard pour arrêter le les vaisseaux. Terrifié, il leva le regard et vit la Lune, la base d'Oran brillait de tous ses feux comme pour signifié ça victoire. Pour la première fois de sa vie le premier ministre régent Jane Bellow eut peur.
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