RP- La légende de Pericles02...
C'est mon premier RP, alors soyez indulgents (pas comme moi avec celui d'Hypo ). vraiment navré pour les fautes d'orthographe. Le prologue est court. Les autres chapitres seront biens plus long, rassurez vous.
Notice à la lecture : les premiers chapitres sont d'une médiocre qualité, ennuyeux et morne. Veuillez tenir ce piètre début et profiter des nouveaux, bien mieux écrits, ou une dimensions psychologique est rajouté... Du 4 aux 8 ils sont très mauvais. Ne vous arrêtez pas à ces derniers : l"histoire commence au chapitre 8 (ils seront réecris).
Crépuscule...
Prologue- Comme un renard dans la nuit
Il faisait nuit... L'homme courait à travers une sombre forêt de pins. Il courait. Ses pas faisait craquer des branches mortes sous lui. Il avait peur.
Soudain, il s'arrêta. Il se retourna lentement, comme s'il avait peur de ce qu'il découvrirai derrière lui. Sont mouvement continua lentement. Enfin il se retourna complètement. Par dessus les cimes des pins, il vit. Une vision d'apocalypse. Une terreur le prit alors. Et il se mit à courir pour fuir. Fuir. Il fallait fuir. Les branches des arbres fouettait son visage meurtri par d'autres égratignure. Du sang marquait sont passage sur le sol de la pinède endormi.
Sont chemin le mena aux bord d'une falaise de craie. En bas, il apercevait la crêtes blanches des vagues, leur ondulation, et le bruit assourdissant quand elle venait mourir, s'éclater et se briser contre la paroi abrupte de la falaise... Un froid mordant y régnait, un air revigorant, qui chassait les odeurs de mort, de cendres et de fumée qu'il avait sentis quelques heures auparavant... Il ne prêta pas garde à la silhouette encapuchonné qui l'observait, tapis dans un fourré, ombre muette et silencieuse.
Le fuyard, soudain, crut voir la silhouette et se jeta du haut de la falaise. Elle attendit que le bruit sonore du choc contre l'eau tumultueuse. Mais il ne vint pas. L'éclaireur se redressa prestement. Il sentait le piège. Il prit son arcs en bois d'if, et le banda nerveusement. Il s'avança pas à pas du bord de la falaise et, terrifié, jeta un bref regard sur les flots déchaînés en bas. Non, il ne pouvait pas avoir survécu à pareil chute. Il était mort.
L'éclaireur rentra alors, pour annoncer la nouvelle de la mort du roi de Sombreval et de Rivevieille, de la lignée de Valyria.
Dernière modification par Vaegon (11/12/2014 19:38:59)
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La suite de ma légende du RP. Laissez des commentaires.
Chapitre 2
Aux grès du vent...
Il entendit le pas de l'homme s'estomper dans la nuit. Il savait qu'il était suivis. Il avait donc simulé une chute mortelle du haut de la falaise, l'éclaireur serait dupe. Il s'était caché dans un renfoncement de la falaise, retenant sons souffle, apeuré à l'idée que l'éclaireur ne le découvre subitement et l'abatte d'une flèche.
Connaissant bien les lieux, y jouant étant enfant, il redécouvrit l'escalier que ses ancêtre avait fait tailler à même la roche. Il le descendit précautionneusement : un faux pas et ce serait la mort assuré. Tous le croyait mort. Il allait pouvoir s'enfuir. Enfin il arriva en bas. Une barque l'attendait pour l'amener en bas, avec, dedans un serviteur et allié : floconpace.
Tu as réussi à t'enfuir ?
Tous me croit mort. Il faut partir avant qu'il ne veuille retrouver mon corps.
Bien, allons y. Prend une rame. Un voilier nous attend aux large.
Ou vais je allez ?
Mystère...
Il se tut, lui donna une lourde rame en bois et ils s'éloignèrent lentement de la falaise. Lentement, malgré l'éminence du danger, les vagues qui les aspergés d'une eau glacial, la falaise reculant devant lui, l' immensité noir semblant l'absorber, Il se mis à somnoler.
Une haute tour, il s'avance solitairement. Un architecte vient le voir. Il lui montre les plans. Il vois les appartements royaux, les grandes salles. Il se retourne. C'est alors qu'il aperçois une superbe ville. Partout du monde, des commerçants, des paysans rentrant leurs foin avant l'automne, sentinelles veillant la campagnes du haut des puissantes et massives tour, soudain, une cavalcade se fait...
Floconpace secoue l'épaule du rêveur. Soudain, la réalité s'impose : il n'est plus qu'un roi exilé, mutilé, fatigué et las. Sont royaume à été incendié. Ont l'as trahis, chassé et essayé de le tuer. Il est en exil, seul, il ne sait pas ou il se rend, dans un monde meilleur sans aucun doute pense t-il en essayant de se revigorer un peu.
Floconpace lui tend une gourde de vins. Il boit, quelle soif se dit-il. Il n'as pas mangé depuis de nombreux jour, ni bus, il devait fuir, se battre, défendre sa terre, la terre de ses ancêtre. Mais il n'y est pas parvenu. Et il va sûrement finir sa vie à croupir dans une cellule en prison...
Il se lève péniblement du banc de nages et jette un coup d'œil alentour. Il n'y a rien. Rien ci ce n'est qu'une mer étale, et des lambeaux de brumes. Il sont dans un brouillard profond, à couper aux couteau, dense et profond, désespérant.
Soudain, une étrave se fait voir, une ride rompt le calme irréaliste de cette océan à l'aube. C'est le Conquérant, un splendide navire venus l'amener dans sa résidence d'exil. Grand, étroit, leste et beau, ce navire est splendide. C'est un étalon dans la fleur de l'âge, chevauchant les vagues, affrontant les embruns, brisant les vagues. Ses voiles sont d'un pourpre éclatant, tranchant avec les couleur mornes de cet océan grisâtre de fin de tempête.
Le capitaine apparaît alors sur le pont principale est jette une échelle de corde par dessus bord, et, en guise de bienvenue lance un cinglant :
Dépêchez vous j'ai pas qu'ca à faire moi, comme qui dirait l'vieux corbeaux !
Bien, montez voyons ! Lâche floconpace en s'impatientant.
Il ne peux qu'obéir et il entreprends la difficiles escalades de la coque peintes aux armoiries de Pratola du navire. Quelques minute plus tard le roi déchu gagne le pont et serre vigoureusement la main du capitaine et de l'équipage, ces derniers formant un insolite et pittoresque comité d'accueil, digne du rang que l'ancien roi porte à présent : celui d'exiler laissez pour mort en fuite.
Un homme de l'équipage le conduit jusqu'à sa cabine. Petites et confortable, je m'affale sur la couchette et m'endort presque aussitôt...
...entendre, un bruit de sabots martelant le sol, de piaffement énervé de chevaux, de cris de gens d'armes enragés, assoiffé par la promesse du sang. Le commandant de la protection de la ville arrive en courant, visiblement horrifié lui-même parce qu'il à dire aux rois.
Sire ! La noblesse se révolte ! Il attaque la ville ! Il veulent brûler Sombrelyn et prendre le pouvoir !
Le roi régit aussitôt et ordonne de sonner l'alarme, et, par la même occasion, à la famille royale d'aller se réfugier dans le vieux donjon. L'alarme de la ville sonne. Ont sonne le tocsin ! Hurle la populations à travers les ruelles étroites de la ville : il faut fuir. Les gens ferment leurs volets, cache leurs biens les plus précieux ou tentent simplement de fuir la capitale...
Les forces rebelles s'avancent sur la grande routes en ordre de batailles, leurs armures étincelants aux soleil couchant..
Il se réveille soudain, en sueur : encore ces souvenirs ! Ils ne veut plus se rappeler, ne plus penser ne plus voir, ne plus vivre !
Il sort, s'habille prestement et monte sur le pont. Les matelots vaquant à leurs occupation ,nettoyant le pont, dépliant les voiles...
Son regard épouse la mer, cette fois ci d'un bleus profonds, l'on y voit à des milles... Aux loin, soudain, un petit carré blancs se fait apercevoir : La flotte ennemis les prends en chasse. Il faudra vivre ou périr...
A suivre...
Dernière modification par Vaegon (13/11/2014 19:51:55)
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Chapitre 3
Avoir le vent en poupe...
-Ils nous talonnent ! Hurla le capitaine du Conquérant, soudain pris de panique.
Ce n'est peut-être qu'un navire marchand proposa le cartographe
Non, grogna le charpentier du navire, regardez ses voiles, trop grandes pour ce bateaux : c'est un navire pirate, reconvertis en vaisseaux de combat officiel par l'armée des princes rebelles... J'ai bien peur, sire, que votre stratagème n'ai été éventé... Puis il descendit sur le pont inférieur pour alerter le reste qe l'équipage de l'attaque imminente
Je suis désolé pour tous les ennuis que je vous cause, réussi à dire l'Exilé.
Ce n'est rien voyons, un simple navire de combat, le conquérant en a vus d'autres, le rassura le cartographe. Puis il ce retourna et le laissa seul avec ses démons...
* *
Pourtant, le navire de combat qui s'approchait n'était pas une vulgaire embarcation de brigands repeinte aux couleurs d'un quelconque nobliaux. C'était un tous nouveau type de navire, et, espérez vaguement le seigneur rebelle qui l'avait construit allez permettre d'asseoir sa domination sur les mers...
Ce dernier était dans une vaste cabine, que l'ont avait tendu de tapisseries représentant des scènes champêtre, en train de dormir dans un magnifique lit à baldaquin, quand ont le réveilla pour l'alerter qu'un navire aux voiles pourpres se profilaient nettement à l'horizon.
Il nous à repérait messire...
Comment ça messire ? Je suis rois à présent, ce pleutre est mort... Enfin ,disparu tant que l'ont à pas retrouvé le corps... Bref. Tachez de la rattraper aux plus vite. C'est sûrement un navires de réfugiés de Sombreval, ce royaume miteux que j'ai pris.
Il faut dire mess... euh sire que vous l'avez pris par traîtrise, alors que vous étiez invité aux banquet royal...
A cet instant, le gras usurpateur se le va et se mit à rosser de toutes ses force le serviteur insolent.
**
Le conquérant était libre, c'était son essence même, un navire aux lignes pures, des voiles se gonflant à la moindre brise... Il ne brisait pas l'eau, il l'écartait délicatement, il ne forçait pas les vagues, il les chevauchait... Mais quand ont tenté de poser des chaînes sur ce mot insaisissables, liberté, il se mettait à ruer et à piaffer violemment, et le mot délicat, l'étalon fougueux, devenait dragon, cerbère et créature des enfers...
Un coup sourd se fit entendre : les coques des deux navires venait de se percuter, le Conquérant gémit sous le choc, qui se fit entendre de partout. Les équipage et soldat des deux navires se préparait aux combat.
L'Exilé remonta précipitamment sur le pont, et se saisit d'une longue et fine rapières, ainsi que d'un bouclier aux armes de Pratola.
Sur le pont avoisinant des arbalétriers et quelques archers, se mirent à faire pleuvoir des dizaines de flèches sur le pont ennemis : des hommes tombèrent sur le pont dans leurs dernières postures.
Des soldat des camps se mirent à franchir la maigre distance séparant les deux bateaux, une brèche de quelques dizaines de centimètre. Le combat s'annonçait difficile et rude...
Soudain, il n'y eu plus deux camps distinct, deux armées distincte, mais un chaos indescriptible, un combat aux corps à corps s'engageait. Les épées se croisait, se décroisait, les hommes brillaient sous le soleil éclatants, les boucliers se fracassaient, les lances se brisaient, les hommes mourraient...
L'Exilé vit sa rapière brisé par un colosse tenant une hache à double tranchant. Il mis sont bouclier, dernière défense, devant lui et chargea le guerrier assoiffé de sang. Le coup lui arriva dans le ventre. Il se plia en deux mais ne lâcha pas sont arme. Encore plus enragés, il donna un terrible coup contre le bouclier qui vola alors en éclats. Vite. Il fallait trouver une autre armes. L'Exilé se mit à serpentait entre les combattants, sa cape souillait du sang d'autrui, corps inertes sur le pont du voilier.
Il se pencha sur un cadavre et récupéra une dague, le colosse se tenait derrière lui. Le géant le saisit et le serra dans une étreinte qui l'étouffait, et tenta de l'égorger. Sa lame atteignit le niveau de la gorge découvertes de l'Exilé, et, aux moment de porter le coup fatale, il s'écroula, le ventre perforé d'un preste coup de dague, une fleur rouges s'épanouissant sur sont pourpoint...
Le combat touchait à sa fin. Les combattants du navires ennemis se replièrent, et l'embarcation se retira aussi vites qu'elle était venus à eux. Pendant que tous crié victoire, l'Exilé regarda le navire qui s'éloignait à l'horizon. Sur le pont arrière, un noble jouflu, munis d'une longue vue, venait de tomber à la renverse. Il était reconnu. La chasse allez désormais commencer...
A suivre...
Dernière modification par Vaegon (13/08/2014 14:24:53)
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Chapitre 4
Renaître
Quelques jours plus tard, alors que l'Exilé s'ennuyait et se morfondez sur sa vie passé et sa future destination dans sa cabine et sur le pont, il aperçut une ville dans le lointain... Il courut vers la cabine du capitaine et s'époumona en entrant :
Là bas ! Une ville ! J'aperçois la côte.
C'est normal.
Comment ça ! Ou sommes nous ? Questionna l'Exilé devenus très soupçonneux depuis les événement des derniers jours.
Mais... Nous ne t'avions pas dit pour éviter que l'on sache ou tu allais. C'est Origine, la capitale des terres disputées.
Les terres disputées !
Il sortit de la cabine, plein de déception amère. terres disputées, quelle monstruosités ! Ciel !.
Les terres disputées était autrefois un vaste royaume, prospère et puissant. Un jour la ligné s'éteignit, ne laissant aucun héritier mâle. Depuis, des dizaines de petits royaume naissent et meurent, laissant un pays minés par des dissensions politique, des trahisons et de s morts. Un pays de sang et de larmes, de ruines et de cendres...
Pourquoi l'amenais t-on ici... Voulait-on le faire mourir ? Il rentra dans sa cabine et se coucha, espérant ainsi se calmé quelque peux.
… Tous était resplendissant, et s'y terrifiant à la fois. De multiples étendard claquait aux vent. Ainsi il l'avait tous trahis. Le laissant seul, sa famille et une modeste garnison pour défendre sont royaume et la vie des siens.
Les forces du palais ne purent rien faire. Elles étaient submergés. Il comprit que tous était perdu quand le chef de la garnison, ensanglantés vint le trouvés pour lui dire : Tous est finis, tous est perdu...
Il fut réveillé par un cris strident de mouette. Ils étaient arrivé. Il monta en trombe sur le pont et fut ébahi par la beauté de la ville d'Origine, ancienne capitale d'un royaume unifié mais aujourd'hui plongé dans la discorde.
Dans le détroit il aperçut d'immenses bâtiment, des quais, et, aux loin, une gigantesque agglomération de maisons et de bâtiments officiel. Ça et là un dôme ou un parc émergeait de la ville. Partout des commerces, des paysans et des badauds. D'autre navires aussi, plus imposant, plus petits, de toutes tailles différentes. La ville était immenses. Et belles, palais, dirigeable, maisons, gargotes, tous cela cohabitait...
Le navire approcha d'un quais et les matelots lancèrent des cordages. Il était arrivé. Un beau matin, Origine vit un rois exilé débarquer et se promener dans la ville.
L'Exilé se promena dans la cité. Les gens ne le regarder pas, ne la remarquait pas. Il était encore un parfait inconnues. Il découvrit alors que les rois exilés étaient nombreux dans cet auguste cité. Tous les petits royaume qui avaient été pillé, les fermiers massacraient. La ville respirer la peur ; la peur de tous perdre du jour aux la lendemain dans une expédition militaire d'un quelconque roitelet. Il appris donc que les palais en ruine et abandonnés jonchés la campagnes, les morts aussi. ATinsi il était arrivés dans une terre qui avait bannie de son vocabulaire le mot ''paix''.
Soudain, un homme mal rasé l'interpella :
Je sais qui tu es.
Un modeste marchands qui découvre une ville, rien de plus...
Non. tu es un roi exilé
Vous faîtes une erreur. Regardez moi. Ai je l'air d'un roi d'ici.
Non. Mais tu as l'air d'un roi d'outre mer. Et, c'est rare qu'il se fasse exilé...
Comment vous appelez vous ?
Caurelienmaxio, je suis le roi d'Atlantis, une petite bourgade à l'ouest d'origine. Petite mais prospère. Viens. Allons dans une taverne discutez de tous cela.
L'Exilé le suivit. Une seconde chance s'offrait à lui. Il pourrait ainsi vivre tranquillement, et en paix. Le roi le conduisit dans une petite auberge, établis dans une modeste rue d'Origine.
Il commanda trois chopes d' Hydromel. Une pour l'Exilé, et, bien sur, deux pour sa personne. Il commença à me dire :
Tu es robuste. Tu pourrais devenir un chevalier chez moi tu sais...
Quelles sont les conditions?
Aucune, si ce n'est que tu devra miner, récolter et élever aussi : nous ne sommes pas nombreux et manquons de bras.
Bien. J'accepte. Quand partons nous ?
Maintenant ?
Il le fit sortir et lui montra deux chevaux. A cet instant une joie incomparable l'envahi, une nouvelle vie pouvait commencer. Il allait renaître !.
A suivre...
Dernière modification par Vaegon (30/06/2014 19:37:16)
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Chapitre 5
Réminiscence
J'ai la joie de vous inviter aux grands banquets de la reine, la semaine prochaine.
Superbe, ils seront tous avinés, et là...
Tais-toi, il ne faut pas que les serviteurs nous entendent. Si quelqu'un nous trahissaient, de quelque manières qu'il soit...
* *
Ce nouveaux palais sire, quelle idée !
Superbe, oui, superbe,
Cette tour dominera la capitale, j'en suis sur, absolument sûr.
Le grand architecte dévoile sont plan, un palais gothique gracieux. Une merveille.
Qui paiera ! Mais qui paiera ! La populations est exsangue
Mais ! Grand argentier tingeof, ne vous inquiétez pas pour cela. Il ne sert à rien d'être terrifié. La récolte à été parfaite
Oh ! Oui parfaite sire !
Taisez vous messieurs les courtisans, vous êtes ridicule.
**
Cette fêtes sera superbe... Faîtes couchez les enfants plus tôt...
Oui madame. Mais j'ai un mauvais pressentiment aux sujet de cette fêtes...
Tais-toi Lydia, tu n'est qu'une simple servante, si tu t'endentait parler tu te trouverait ridicule.
**
C'est pour quand ?
Pour ce soir ?
Ce soir !
Mais c'est le grand banquet !
Nobles assistance. Ce coup d'état nous verra aux pouvoir !
Bien. Il faut prendre des disposition pour les héritiers et les problèmes en corrélation avec eux...
Taisez-vous, l'heure approche...
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joli rp :P
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ma chaîne -> https://www.youtube.com/channel/UCLFb7l … GXwIT5Qniw
Merci
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Chapitre 6
En son logis...
Nous sortîmes d'Origine aux petits matin. La lune s'était couché, une brise matinale soufflait alors que le ciel se teintait de rose. Les volets étaient encore fermé, les blés agitaient par le vent, les oiseaux commençant à chanter...
Nous étions sur une route en terre battues. Les campagnes prés d'Origine était magnifique, il les apercevait aux jour levant, la rosée perlant des rosiers et autres fleur des jardins... Il voyait de forts palais, des moulins, quelques paysans matinaux récoltaient déjà leurs champs : la moisson avait désormais commencer.
Caurelienmaxio demeura silencieux jusqu'à la fin du voyage si ce n'est aux moment de quitter la route pour s'enfoncer dans des terres inhospitalière :
Attention aux brigands
Il y en à beaucoup, je connais...
Non, là ce sont de petites armées...Alors reste derrière moi s'il attaquent
Bien.
La campagne après la route devenait sombre, mal entretenu. Il fut frappés par les ruines de châteaux et village qui jadis avait dut être splendide et prospères. Les ronces envahissaient les grande salles, les murs étaient fissurés...
Enfin, sur les bord d'une petite mer, nous arrivâmes devants le château du royaume d'Atlantis. Ce royaume avait, en tout et pour tout un seul château. Mais les apparences étaient trompeuses. Sous le petit fortin se cachait un dédale de couloirs et galeries. Dedans l'ont y cultivait de nombreux céréales et légumes, mais ont y planté aussi des arbres... Dans les grandes profondeurs l'ont y trouvait une mines. C'était à peu près tous. Les habitants du royaume était peu bavard et taciturne mais âpres à la taches, qui ne manquait pas.
Dès sont arrivé ont lui assigna de dures tâche, harassantes et fatiguant. Mais aux fil des jours, le royaume devenait plus riche. Les habitants de ce dernier mangeait à leurs faim et vivait paisiblement, loin de la guerre qui se tenait dans des terres moins reculés et plus accessibles.
L'Exilé fit vite connaissance, entrant dans le petit royaumes qui se réjouissaient de son arrivé subite.
Un jour de pluie, pendant qu'il récoltait des carottes, tranquillement dans une des salles du complexe souterrain, une chevalière, Mcchloe, vint le prévenir qu'une armée c'était massée aux portes du royaumes.
Chapitre 7
La porte des enfers
Il remonta les escaliers de pierre, passant devant toutes les salle, pour arriver à l'air libre et voir ce que voulait la faction ennemis, les troupes ennemis. Il sortit, et contempla horrifié le spectacle de la troupes armé.
Des dizaines de mercenaires grimaçants, féroce, fous et enragés attendaient de pied ferme de pouvoir pillé le château. Un cavalier dans une armure de fer émaillés d'émaux s'avança seul, visiblement déterminées à nous parler.
Eh!L'ami ! Je viens en paix !
De quelles royaumes êtes vous ?
Quarth, puissants et prospére.
Nous ne sommes qu'un petit royaume d'agriculteur-éleveur, laissez nous en paix.
L'ont m'as dit que vous aviez des mines...
Quelques galeries qui n'extraie que quelque morceaux de charbons, avec un peu de fer, et, plus rarement de l'or.
De l'or ?
Elles est engloutis par les dépenses du quotidien... Nous pêchons parfois aussi. Caurelienmaxio tentait de sauver notre petit et frêles royaumes.
N'auriez vous pas un peu de nourriture, nous avons fait une longue marche...
Il retourna à mes occupations : il n'y avait plus aucune menace à présent. Cette fois ci il commença à prendre des pommes de terres. Puis il remonta, et, sur le grand escalier des souterrains il entendis en écho un hurlement déchirant de femme.
Il remonta en trombe : Les pillards de Quarth étaient entrés par traîtrise et nous pillé. Ils commencèrent par s'emparer de nos maigres richesses durement acquise. Puis ils nous massacrèrent. Il ne pouvais pas me battre face à c'est barbares. Je me terrai dans une salle et. attendit.
Le sang coula toutes la nuit. Le royaume se défendait. Caurelienmaxio se défendait bravement, mchloe fut porté disparu. Les pillards multipliaient les pertes, mais leurs chef étaient bien décidés à nous anéantir.
Il sortis alors, et prenant une épée rudimentaire partis à l'assaut de la troupes de Quarth. Il se jeta sur le commandant : alors commença une terrible lutte. Le chef tentait de briser l'épée de sont adversaire, qui esquivait à chaque coup. Le corps à corps durait, un coup, une parade, un coup une parade. N'en pouvant plus, le guerrier sortit une seconde lame, plus fine et luisante, et commença à ferrailler de plus belle, faisant pleuvoir une pluie de coup sur sont adversaire débordés.
Soudain un son de cor salvateur se fit entendre : Les Mithral arrivaient ! Puissant royaume des nains, il étaient en bonne entente avec Atlantis...
Une troupe de nains en armures, tenant fermement de solides haches se jeta sur les mercenaires désemparés. Ils firent rompre les lignes des braillards de QUarth, fendant les écus et mettant à bas les furieux cavaliers, soudain terrifié. : Quarth étaient en déroute et s'enfuyaient vers sa capitale, pour chercher, semblait-il,des troupes en renfort.
Les Mithral repartirent aussi vite qu'ils étaient venus. A peine leurs cavalerie disparaissait à l'horizon, ne laissant qu'un faible nuage de poussière, Quarth remontait à l'assaut.
Dernière modification par Vaegon (19/11/2014 22:45:48)
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Chapitre 8
Désespoir
Le grondement de la cavalcade, la terre fendue en deux par la chaleur, craquelés, morcelés. L'océan qui venait lécher mollement la citadelle n'était qu'un miroir réfléchissant le brasier ardent que la colère divine de l'astre brulant projeté contre les collines mourantes et agonisantes. L'herbe des vallons étaient séchés et jaunies, plongé dans une lourde torpeur, les arbustes tordus et gémissant sous l'écrasante fournaise. Les pierres de la citadelle étaient chauffées à blanc, les portes prêtes à s'embraser aux moindres étincelles.
Le sol tremblait légèrement, la brume de chaleur camouflait l'apparition fantomatique des étalons d'un noir de jais de la cavalerie de Quarth. Ils avançaient impitoyablement, soulevant un sombre panache de poussière s'élevant dans l'air torride, sinistre augure de malheur chargeant en hurlant sur le château. Ils galopaient vers l'armée de misérable qui se tenait sur un éboulis, à travers la triste et morne plaine, ils avançaient. Aucun obstacle ne pourrait interrompre leur folle chevauchée macabre, aucun obstacle ne pourrait sauver Atlantis du destin qui l'attendait, aucun.
Les rues étaient pavoisées des couleurs de la dynastie des Sombrelyn, au blason losangé d'or et de noir, sept écussons blancs sur une tierce rouge. Les étendards flottaient et claquaient au vent sur les tours et les échauguettes, les petites gens brodant les blasons des puissants seigneurs, les pages préparant écuries et harnachant palefroi, préparant logis et chambrées. Les commerçants réservaient leur meilleur article pour l'arrivée des grands du royaume et de leurs somptueux équipages. Le guet lubrifié ses armures et hallebarde, se préparant à former une garde d'honneur, les hérauts écrivant à la plume d'oies les noms des invités du banquet en belle lettre gothique. On nettoyait les rues, accrocher des lampions, dressait le pavillon de soie des seigneurs, laver les façades… Tous se préparaient pour le festin.
Déjà, dans le palais on allumait les candélabres, hisser les chandeliers aux plafonds en solives dorés, l'atmosphère dans les cuisines devenant frénétique. Les serviteurs préparaient en toutes hâte les bannières et le logis de la délégation de Pratola, d'autres encore préparaient l'alezan du roi et le paraît de toutes sortes d'ornement aux armoiries royale. Tous devaient être prêts pour le soir, qui s'annonçait déjà, en embrasant le ciel d'un pourpre éclatant.
Dans les faubourgs une ville composée des pavillons des seigneurs, de leurs vassaux et de divers hobereaux, de leurs équipages et de quelques chevaliers errants sortait de terre, les fannions des différentes maisons formant une plaine de couleurs, d'animaux chimériques s'animant dans la brise du soir, prenant vie et crachant flammes et imprécations.
Déjà, les plus grands vassaux, dont Wushrrogs, sire de bois-la-pluie, et tant d'autres entraits dans la ville en grande pompes, au son de cuivres luisant au couchant. Les hérauts criaient leurs noms à chaque croisement de routes et le peuple se délectaient de contemplaient les hennins des femmes, les pourpoints brodés de fil d'argent, de soie des seigneurs, les chevaux de race au pas nobles, les somptueux cadeaux que les maisons apportaient, chargeant mulet et ânes. Pourtant sous les soieries et les lourdes capes armoriées, les seigneurs avait revêtus cotte de maille, hauberts et dague aiguisées. Peu était hors de cette ignoble conspiration, peu de ceux qui l'ignorait survivrait ce soir. Peu. Dans la lumières du crépuscule, Les hallebardes des hommes d'armes des traîtres luisaient, brillantes, affûtées, car ce soir, elles seraient rouges. Rouges de sang.
Ils ne purent rien faire pour arrêter l'orage furieux de la chevauchée, tonnerre montant à l'assaut leur frêle et dérisoire défense face à tant de haines déversées en flot de rage, qui bientôt les engloutiraient. Alors voyant que tous était perdu, que leur combat était sans espoir, et que cette après-midi serait leur dernière dans ce monde, ils s'avancèrent, se hissèrent d'un seul élan fraternelle sur le monticule de ruines calcinés qui naguère était robustes murailles et manoirs cossus. Se redressant soudain, ne formant plus qu'un seul corps, tirant lames ébréchées et dague émoussées, ils hurlèrent.
Ce n'était pas un cris belliciste, empreints d'une ardeur guerrière, aucune vigueur ne transparaissaient à travers ce cris de bête, mais le désespoir, le cris de l'animal traqué, acculé, découvrant soudain la mort, fondant sur lui, ne lui laissant aucun répit.
Le cri vibra, s'éleva, monta, tua toute joie, la vie s'échappait de la forteresse par toutes ses brèche et ses toits éventrées. Tous se turent, tout s'effaça, puis, lentement, le hurlement faiblit, puis s'éteignit, ne tint qu'a un fil avant de mourir lentement, de s'échouer dans les tréfonds de l'âme. A cet instant ils furent prêts. Prêts à mourir. L'exilé brandissait l'étendard claquant au vent. Une flèche garnie d'étoupes enflammées l'atteint. Il se mit à bruler, le symbole du royaume s'embraser, les broderies partant en fumées noire et épaisse, tranchant avec le ciel azur. Les flammes roulantes s'emparaient voracement du tissu, dévoraient la noble étoffe. Bientôt, il n'en resta rien qu'un morceau de bois noirci et calciné. Bientôt Atlantis bruleraient.
Tous s'attablèrent d'un même élan autour des tables formant un U. Sur l'estrade d'honneur moulurée et dorés, peintes de fresques chimérique s'assirent Floconpace, le roi de Pratola, Wushrogs , Leewyk, la reine, les princes de sang et quelques grands seigneurs que l'on avait souhaité honoré. Au centre, sur un siège de bois sculptés, qui se terminer en un dragon protecteur, le roi de Sombreval. Sur le haut-bout de la table avait pris place Adrianpace, Thibaud21, Kingofpaladin, Missy_nuttela Yoshiwars2, Emy518, Lekilegrand, et d'autres puissants et riches seigneurs.
Aux bats-bout de la table se tenait dans des atours plus sobres quelques chevaliers de renom comme , Viper75, Aguigou et son mari Elieboitier, Aurelienmaxio, Pyrial76, MChloe et de nombreux autres hobereaux. SimonHornay n'avait pu être présent.
La salle était spacieuse, le plafond en clés de voûtes de nombreuses colonnes de pierre la ponctuant, éclairées par de nombreuses chandelles et candélabre.
Le repas débuta avec une tourte, quelques faisans, cygnes, Pâtés, le plat principal étant un paon à la parure déployée, et, enfin, pour le dessert, une montagne de pommes farcies et cuites. Le vin blanc de Playaville coulait à flots, le rouge de Pratola réservés à l'estrade d'honneurs, grands crus aux gouts fruités. Des troubadours chantaient chansons de gestes, sagas et amours chevaleresque, montreurs d'ours et danseurs défilaient, de doux accords de vieille et de harpes montaient depuis le balcon des musiciens.
Pendant que Floconpace, toujours parés de sa dignité, plaisantait avec Leewyk, joyeux lurons légèrement avinés, ce qui n'était rien par rapport à Stryketer, qui s'était effondrés dans son plat cédant au rosé de Craftcity, l'aîné des princes, qui avait alors cinq ans se précipita sur Altimal, sire des villes souterraines et de SteamRise et s'agrippais à sa manche brodés qui s'arracha, laissant luire à la lumière des candélabres un haubert de maille resserrées.
Floconpace s'en aperçut avec horreur et alla alerter le roi discrètement pour ne pas attirer l'attention des conjurés. Puis, il sortit avec Adrianpace pour chercher armées et flotte, dérisoire tentative de sauver la couronne Sombrevalienne de son tragique destin.
Les conjurés comprirent alors que le moment était venus, ils ne faillaient plus attendre. Ils se levèrent soudainement et se jetèrent sur fidèles et loyale, tuant, égorgeant et massacrant. La reine poussa un hurlement strident. La garde royale forma un mur clairsemé pour couvrir la fuite. Mais en vain. Pénétrez de toutes parts, il céda sous la pression des conjurés. Par la grande porte se déversaient un flot ininterrompu au couleur d'épées lige au service des traîtres. Un vent de panique soufflait dans le palais. L'heure des règlements de compte était venue, l'odeur du sang frais se répandant partout. La furie des combats se propageait dans les escaliers, dans les appartements et les communs. Chacun fuyaient pour sa vie.
Le roi fut poussé malgré lui dans un boyau pur qu'il puisse prendre la fuite. Le reste des fidèles, la reine et les princes s'enfermèrent dans le donjon. L'on ne sait comment, mais le feu prit, les bannières s'enflammèrent, les poutres craquèrent et se brisèrent. Bientôt l'incendie se propagea au donjon. Les planchers s'embrasèrent, les pièces devenant les chambres ardentes de leurs infortunés occupants.
Partout les hurlements se faisaient entendre, partout la fumée s'infiltraient épaisse et noire comme un vol de corbeaux. Le trésor disparaissait, à l'extérieur ont brulait maisons et pavillons de bourgeois et de vassaux fidèles. La ville brulait. Quelques gerbes d'eau n'empêchèrent pas le feu de se propager.
Les draps colorés brulaient, la nuit s'éclairaient d'un halo rougeâtre. L'enfer pénétrait par les portes béantes, les démons naissaient, dévorant la chaume et le bois de leur insatiable appétits. Des siècles de labeurs s'envolaient en quelques instants seulement. Et les hurlements, les pleurs et les larmes amers. L'horreur s'insinuait avec fracas dans chaque foyer. Les échoppes, les couvents et les églises brulaient, les cimetières étaient profanées, les cadavres s'amoncelant, les fontaines se tarissant et les places devenant le théâtre de terribles champs de bataille. Les chevaux piaffaient de terreur, leurs sabots cognant contre les stalles des écuries en flamme. Les braises volantes occultaient l'éclat des étoiles, le rougeoiement du terrible brasier occultant la clarté de la lune. En quelques heures la capitale étaient réduites à néant.
L'exilé émergea d'un sommeil profond : le coup porté violemment à sa tête l'avait blessé, mais ne l'avait pas tué. Autour de lui Atlantis n'étais plus que cendres
Leewyk émergea d'un sommeil profond : le coup porté violemment à sa tête l'avait blessé, mais ne l'avait pas fait trépasser. Autour de lui, une nuée de cendre s'abattait sur Sombreval, tel une première neige, elle recouvrait d'un linceul gris et mortuaire les décombres encore fumants de la ville, les charpentes calciné, les morts sans sépulture. Elle recouvrait tout, lentement mais surement, l'argenterie tordue par la chaleur intense du brasier, les bannières foulées et piétinés, Les corps des marchands, les pierres renversées….
Partout il ne voyait que désolation, les écuries effondrés, l'église achevant de bruler, les murailles noirci par la fumée, les corps dans leur dernière posture jonchant les rues sales. N'en pouvant plus, il sauta sur un cheval égaré au regard fou, fuyant ces lieux maudits, versants des pleurs silencieux. Son cheval laissa un panache de cendres, qui retomba lentement, laissant Sombreval dans un triste silence, à jamais.
L'exilé s'empara d'une monture qui avait l'écume à la bouche, l'œil allumé d'une lueur rouge, les flancs palpitants et se précipita au galop vers Origines, sanglotant de voir tant de morts et d'amis tombés au combat. Bientôt, le cavalier disparut dans les collines à l'horizon, le soleil couchant achevant d'embraser Atlantis.
Dernière modification par Vaegon (20/09/2014 21:41:15)
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J'adore ton RP
Magnifique! Tu ecris bien et ton vocabulaire est riche et varié. Du coup c'est un plaisir de te lire.
Merci de m'avoir mis dans ta légende, c'est sympas :)
Super RP, j'attend avec impatience la suite ; bonne continuation :)
Et merci de m'avoir rajouter dans la légende ainsi que pratola et certains de nos amis communs :)
Je me permet de rajouter une petite liste des personnages du banquet pour comprendre plus facilement l'histoire :
pericles : Jeune héritier du trône de sombreval, c'est un roi bon et généreux envers les pauvres, se qui a valut une révolution de la part de la noblesse..
Floconpace : Fidele allier et amis du roi éxilé et héritier du trône de Pratola.
Emy518 : Princesse exilée de son royaume qui a été accueillit chaleuresement à pratola.
Adrianpace : Frere de floconpace, il a contribué à la construction de pratola autant que son frere.
Simonhornay : Le bras droit de la famille royale de pratola
Wushrogg : Fidele architecte qui a contribué à la construction de pratola ainsi que de Sombreval.
Tingeof : Un allier des deux royaumes.
Dernière modification par floconpace (13/08/2014 14:03:12)
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Modérateur Créa, Guide SRP Et ex-Animateur SRP, Rose à jamais.
Une question ? Un problème ? Besoin d'aide dans un build ? N'hésitez pas à me contacter avec un mail IG, un MP forum ou même un MP IRC !
#Gouverneur de Serenity !
Merci pour vos commentaire, c'est super sympa! Le prochain chapitre sera chez les Aubes.
Dernière modification par Vaegon (13/08/2014 12:31:50)
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Chapitre 9
Un nouveau départ
Quand l'aube teinta de rose le ciel d'Origine, les premiers commerçants ouvrir leur échoppe, les ambassades leurs lourdes portes et la ville commencer à exhaler un parfum de jour de marché et d'encens mêlés.
Le quartier des Ambassades étaient en pleine vie, recevant l'ambassade des Aubes. Aguigou, Aikikou, Pyrial76 et quelque chevaliers séjourné dans la ville éternelle et rechercher quelques chevaliers errants pour défendre leur puissante cité.
Dans la grande rue un héraut de ce royaume se promenait nonchalamment et lorgnait les marchandises de quelques marchands affairés, qui disposait sur leurs étals mille produits aux saveurs exotiques. Il héla un commerçant joufflu qui vendait quelques haches de Castelmithral :
- Combien d'écus vaut cette fine lame ?
- Fine ? Vous vous moquez de moi ! Cette Hache à double tranchant est faîtes dans le meilleur acier des Mithral, elle est massive, puissante et lourde. Elle ne coûte d'ailleurs que la bagatelle de 20 écus et…
Le commerçant fut interrompu par le départ de son interlocuteur effarouché par ces prix exorbitants. Depuis quelque temps les prix avait fortement augmenté considéra le héraut, en observant quelques mendiants à un coin de rue. Il poursuivi néanmoins sa route et pressa le pas devant la splendide banque qui était alors fermé à cette heure matinale.
Soudain, un bruit de cavalcade se fit entendre au loin. Le héraut se rassura en pensant au pacte de non-agression qui garantissait sa sécurité au sein de la ville… Il prit tout de même soin de s'esquiver dans une rue adjacente et observa la scène.
Un cheval hagard, maladif et maigre, piaffant de terreur, entra dans la ville aux galops, renversant quelques passants et étals avant de stopper nette sur un pont et de faire chuter son maître. Ce dernier était hâve et maladif, mais on reconnaissait à ses vêtements qu'il était d'origine noble et que c'était un chevalier des terres lointaines.
Le héraut sauta sur l'occasion. Voilà un combattant parfait pour son royaume. Il acheta une miche de pain et une cruche d'eau sur un étal et se précipita au secouru du malade. Il le fit se relever et monter sur son palefroi et l'emmena le plus rapidement possible à leur ambassade.
Durant le chemin, l'homme se réveilla, se demandant ou l'amenait-on. Il maugréa dans son inconscience :
- Chiens de Quarth… Avant de retomber dans les limbes du sommeil.
Le héraut reconnu alors un survivant du sac d'Atlantis. Voilà un chevalier parfait pour Aube se dit-il. Il serait grassement rémunéré pour cela.
Arrivés dans la cour d'honneur, il épaula l'homme pour le porter dans une petite salle isolée. Là, il le fit boire et manger. Après que le malade se fut désaltéré, il lui demanda d'expliquer qui il était. Le cavalier se mit alors à parler d'une voix lasse :
- Je suis l'Exilé, c'est comme cela que l'on m'appelle… Je… J'étais d'Atlantis… Mais…Les cavaliers. Oui c'est ça, la cavalerie de Quarth, leur armée, les piquiers ! Ils nous ont pris par surprise. Ont à rien pu faire.
Il s'était relevés fiévreusement, hantés par les souvenirs terrifiants de la journée passé. Puis, il retomba, épuisé par la longue chevauchée.
Quand il se réveilla, il était allongé sous un arbre dont l'ample ramure le protégeait du soleil. Au-dessus de lui une femme était penchée qui lui annonça sans ménagement :
- Le roi vous demande ! Allez levez-vous ! Allez allez !
- Ou sui je ?
- Mais voyons… Elle était décontenancée de la question. Chez les Aubes !
- Chez les Aubes ?
- Oui, ou voulez-vous que nous soyons ?
L'exilé se leva d'un bond, ce qui fit sursauta la femme, et il contempla le paysage alentour. Une haute muraille grise ceinturée une plaine à l'herbe couchée par le vent, quelque bâtiment au toit de chaume était accolé à la muraille. Derrière lui, un large escalier de bois menait à un solide donjon, qui jetait son ombre sur toute la vallée en contrebas. La forteresse était imprenable : Dressés sur un pic rocheux, personne ne pouvait escalader une telle hauteur de grès, il était en sécurité.
La femme le conduisit jusqu'au donjon et le fit entrer dans une large salle, et lui indiqua le chemin. Il avança dans une enfilade de couloirs sombre et ne put s'empêcher de pousser un cri de stupeur : Un escalier plongeait dans les entrailles de la terre. Il le descendit à la faible lueur d'une torche mourante.
Il continua de descendre durant de longues minutes, écoutant l'écho du bruit de ces pas, et l'eau qui gouttait du plafond. Au loin, soudainement, il aperçut un halon rougeâtre, qui lui rappela les grands feus du château de Tingeof, tel la demeure d'Hadès, il entrait dans les enfers.
Deux gardes au couleur des Aubes veillaient devant une lourde porte de bronze. La femme parla avec eux dans une langue inconnue : L'exilé ne savait parler que le Haut-Valyrien, le Pratolien, le Sombrevalien et la langue commune d'origine.
Les soldats le dévisagèrent avec méfiance avant de le laisser pénétrer dans l'antre du roi. Dedans, juchés sur un trône de bois dans une caverne naturelle, aguigou trônait et m'annonça sans plus attendre :
- Bienvenue dans mon royaume. Tu as été choisi pour ton ascendance et ton courage lors du combat d'Atlantis. A partir d'aujourd'hui tu travailleras à l'érection de nouvelles murailles et à la défense de la ville.
Sur ce, il disparut, laissant l'Exilé seul dans la caverne, une chandelle à la main, qui laissait tomber de la cire sur le sol irréguliers.
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Le chapitre 10 suivra bientôt
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Chapitre 10
De l'aube au crépuscule…
Les jours avait passé, s'étirant paisiblement. L'exilé n'avait pourtant pas retrouvé un semblant de calme. Chaque crépuscule, chaque brise de vent lui rappelait Atlantis et cette tragique après-midi de soleil ou le royaume été définitivement passé du côté des ruines oubliés. Il se remémorait les célestes vitraux azurés, les murs graciles, le petit bourg agréable, les blés couchés par le vent et le bruit quotidien des étalages, des habitants.
Aujourd'hui pourtant, Atlantis avait cessé de vivre. La citadelle n'était plus qu'un songe oublié, où les murmures des temps anciens avaient trouvés logis, parmi les nids d'hirondelles sur les murs effondrés.
Aube était une robuste forteresse, au rituel immuable, possédant palais et salle secrètes, le souverain ne faisant que de brève apparition depuis les sombres loges du palais. L'exilé n'aimait pas se trouver dans la populace écoutant religieusement leur guide, mais sur la tribune, non pas dans la masure mais dans le palais. Pourtant, le temps faisant son œuvre, il s'habituait à vivre comme un paysan, se déridant les jours sans pluie, attristés quand la grêle venait marteler les vergers.
Ce matin-là, le ciel était bas et nuageux enfermant la citadelle dans une gangue de brume épaisse et blanchâtre. Les lambeaux de brouillards s'accrochaient aux murailles, isolant Aube. Personne ne s'était encore levé, gardant le lit. Malgré ce mauvais temps, l'exilé se leva, espérant ne pas croiser les écuyers du roi qui l'exaspérer. Il se dirigea d'un pas sûr vers l'aire d'entrainement, situés dans une petite cour surmontée de galerie en bois qui permettait de voir sans être vue et d'apprécier l'escrime agréablement.
L'exilé avait le teint glabre, les membres maigres et l'œil éteint, ruminant de sombres pensées. Il s'empara d'une lourde lame d'acier sur un râtelier et commença à frapper d'estoc un mannequin de bois. Un coup sur la gauche, un dans l'entre-jambe, à la tête, puis le torse, encore et encore. Il faisait pleuvoir sur le pantin une averse de coups, qui entaillée le bois tendre. La sueur perlait sur ses joues mal rasé. Coup droit. Esquive. Côté gauche. Sur le crâne. Encore. L'acharnement était lisible sur son visage endurci.
Il changea d'arme, passant de l'épée longue à la dague… Il martelait le mannequin. Une rage sortait, débordant dans son avant-bras, donnant une terrible vigueur à son corps qui semblait animés d'une folle rage incarnée.
Ce fol manège se poursuivit durant de longues minutes. Soudain, la lame se brisa dans un son cristallin. Les débris brillant tombèrent épars au sol. Une main se posa sur l'épaule du combattant essoufflé :
- Ton geste est souple mais manque de finesse…
L'exilé pivota sur lui-même, face à lui, aguigou se tenait, ceignant la tiare. Malgré cela, il ne s'inclina pas.
- On apprend cela dans les pillages et les sacs…
- Oui… Enfin Aube est mieux défendue que ton village et votre tour miteuse…
- Mon village était un empire puissant, la tour une ville prospère.
- Insultez ton roi te fera perdre un jour la liberté…
- Je n'en ai plus depuis longtemps.
- Je peux t'intégrer à la garde et aux travaux de fortifications, tu nous seras utile et c'est un poste plus digne.
Sur ce, comme toujours, le roi disparut dans l'ombre, brève apparition fantomatique… L'exilé s'affala sur un banc pour reprendre son souffle. Il réfléchit quelque temps et, reprenant subitement ses esprits, se leva et partis entrer dans ses nouvelles fonction.
L'auberge était dans un état pitoyable, sombre basse et crasseuse. C'était le seul bâtiment à avoir été épargné par les flammes qui avait ravagés Sombreval. Dedans, la bière brune y était mauvaise, la viande avarié et les légumes secs.
Pourtant elle ne désemplissait pas. Chaque soir la foule se pressait contre les tables abimées pour se saouler et manger. Sombreval s'était reconstruite hâtivement sous l'égide du conseil des princes, dans un amas de torchis et de chaume.
L'auberge Au gobelin noir était le seul établissement de la ville meurtrie. Les paysans et bourgeois entrèrent et s'installèrent autour du feu qui dispensait plus de fumée que de lumière pour écouter les chants de Sombreval. Depuis l'incendie ce répertoire ancien avait refait surface et on le chantait souvent. Une jeune femme entra alors par une porte de service noirci de fumée. Elle se campa au centre du cercle, se racla la gorge, leva la tête, et un son cristallin sortit de sa gorge, une voix sublimes.
Dans les sombres vallées
Les feux de Sombreval sont allumés
La garde veille dans la nuit noire
Le trône occupé par des âmes justes
Elle s'arrêta, jeta un triste regard à l'assistance et enchaîna par un couplet de son invention :
Le mal à pris dans les résidences
Le feu a pris dans les palais
Les traître on murmurés sous notre protection
Les Traître ont chassé
Ils ont pillé et massacré
Les traître sont au pouvoir et nous tuent
Notre histoire en cendres
Notre passé disparu
Brisons nos chaînes…
Elle ne put continuer, tant la stupeur était lisible dans les yeux des clients. Deux hommes d'armes s'avancèrent et l'emmenèrent dans l'arrière-salle pour un sinistre interrogatoire. Déjà, Sombreval s'agitait. La garde des princes entra, fit sortir la populace de l'établissement. Bientôt il serait fermé. Bientôt le sinistre joug des traîtres tomberait sur la ville.
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Le prochain chapitre suivra bientôt. Ces dernières semaines ayant causé une hécatombe dans les rangs des factions, la plupart des factions cités ont disparus.
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Whaaa j'adore ;) mais le roi dont tu parle ne peux être moi :3 c'est Pyrial qui les a acceuillis pas moi moi j'était....... rose et....... volant? en gros un saltimbanque :)
j'adore tes Rp ils sont beaux et bien écris continue comme ça
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'
Chapitre 11
Abandonnez celui qui s'abandonne
William Shakespeare...
Avant de lire ce chapitre, je vous demande quelque instants pour vous souvenir des Aubes, faction qui fut brièvement n°2 du serveur ainsi que la faction Hermite, petite mais belle, disparue lors de cet été. Merci.
L'exilé jeta un regard critique sur l'ouvrage récent. Le mortier était encore frais, les pierres tout justes posées. Les nouvelles murailles montaient à l'assaut des cieux chaque jour un peu plus. Les murailles enfermaient chaque jour un peu plus les habitants dans leurs griffes noires.
Le vent avait cessé d'agiter les herbes de la cour, les murailles l'arrêtant. Les oiseaux ne se posaient plus sur les rameaux des arbres, les barbacanes les faisant fuir.
Pourtant, l'exilé continuait de superviser les vastes travaux. Il inspectait sans relâche l'enceinte fortifié de la ville, rajoutant ici créneaux, là chemin de ronde. Les murs avaient été surélevés, défendus par des mâchicoulis et des tours de guet, partout le brouhaha des ouvriers se faisait entendre. Les échafaudages accompagnés l'édifice de pierre brute.
Le regard du guerrier se porta sur les hommes travaillant au chantier. Ils acheminaient vers ce dernier pierres et poutres. Les uns portaient quelques panneaux de bois, les autres de lourds chargement de grès noirs. Tous avaient l'air de dérisoire être sur la masse informe qu'ils édifiaient. L'on aurait dit de sordides prolétaires résignés à leur taches, élevant inlassablement l'enceinte de leur prison, malgré le gel et la pluie qui les mordait. En bas les marchands et les fermiers vendaient leur marchandise à l'ombre de la créature, fourmis vivant sous la menace diffuse du monstre. Cette muraille vivait, tel un être maléfique se pencherait sur le monde paisible. Elle palpitait. Elle asservissait la ville sous sa domination, la mettant sous son emprise...
L'exilé se détourna de ses sombres pensée pour s'en aller vaquer à ses occupations. Il devait se rendre dans un petit bourg situait non loin de là, Hermite.
Il descendit de l'échafaudage, se dirigea vers l'écurie et sella un cheval pour la route. Ce dernier était un bel étalon baie qui déjà s'impatientait à l'idée d'une cavalcade dans les collines à proximité. A la porte, Pyrial76 contrôla le cavalier :
Ou part-tu ?
A Hermite...
Pour faire quoi ?
Je dois acheter de nouvelles pierres pour la muraille.
Bien. Ne traîne pas. Les parages ne sont plus si sûr.
Sur ce, l'exilé s'élança et partit au galop vers le bourg voisin. Il sortit et passa les barbacanes et les fossés marécageux, n'ayant pour seul limite que l'horizon. La route suivait les collines et décrivaient quelques courbes et montée.
Durant quelques temps, l'exilé chevaucha dans une vaste plaine herbeuse, avec pour seul horizon une forêt dense, composé de chêne géant. Les sous-bois de cette masse verte étaient noire comme la nuit, les brigands nombreux à guetter les voyageurs égarés sur la route mal-tracés. Les milices des Aubes s'amoindrissaient au fur et à mesure que la faction péricliter. L'homme continua néanmoins sa route, tournant le dos à la forteresse. Le cheval soulevait un nuage de poussière qui retombait mollement sur l'herbe sèches.
Le soleil rasé la crête des montagnes aux loin quand le cavalier s'enfonça dans la forêt, seul. Sur les bords de la route, une véritable jungle s'était développés. Les fourrés prenant des formes chimériques, les lianes et la vigne vierge envahissant les arbres au tronc massif. Les rameaux occultaient la lumière du soleil, projetant une ombre plumetée sur le sol tapissait d'aiguilles et de feuilles mortes de la forêt. Les arbustes, les fleurs et les ronces s'amassaient, la forêt devenaient peu à peu inaccessible, ésotérique et fantomatique. Des nappes de brouillards s'accrochaient aux plantes, sortant des ruisseaux, enserrant la végétation et ensevelissant le monde sous une lourde chape. Il chevaucha ainsi durant de nombreuses heures, perdu entre les chênes noir et les ifs centenaires. Enfin, dans la faible clarté blafarde de la lune il arriva à Hermite.
Hermite était une petite ville composé de maisons de bois et de chaume resserrées contre un fortin de pierre croulante, lumière dans l'obscurité ambiante. Personne ne savait exactement pourquoi la ville s'était construite, comment les habitants y avaient prospéré. A présent, le bourg était riche et faisait de l'ombre à ses voisins. Hermite était un havre de paix dans la forêt, petit paradis nichés dans un enfer vert. Le cavalier, malgré l'heure tardive, trouva les portes de la villes encore ouverte et pénétra sans problème dans la grand-rue de la ville, déserte à cette heure là. Il se résolut à attendre le lendemain pour passer commission des pierres, et de coucher à l'auberge de la ville.
Quand il pénétra dans la salle-basse, il découvrit une animation contrastant avec la rue. Partout des paysans riaient et buvaient quelques chopes de bières dans l'atmosphère chaude de l'auberge. Dans la large cheminée de pierre, un feu achevait de se consumer. L'exilé tenta de se frayer difficilement un passage jusqu'au comptoir où il demanda une paillasse pour la nuit et alla s'attablait dans un recoins obscur où il pouvait surveiller les allées et venues des clients.
Son attention fut attirés par une table à l'écart. Ses occupants n'avaient en rien l'air de joyeux lurons rigolards, mais plutôt de comploteurs. Intrigués, l'exilé s'avança silencieusement vers la table, et, discrètement s'assit sur un tabouret voisin. De là, il réussi à entendre quelque chuchotis et murmures sous capes :
'Demain...
Oui... Il faudra frapper vite...
Bientôt... Aube... anéantis
Combien avons nous de soldat ?
Il en avait assez entendus. Il resta muet de stupeur. Encore. Une nouvelle attaque, sanglante et terrible, allait frapper les Aubes. Son sang ne fit qu'un tour. Non. Il ne voulait pas revoir cela. Non. Il ne pourrait plus supporter de telle vision apocalyptique. Il ne voulait pas voir l'affreuse machine de guerre de la citadelle s'enclenchaient, se mettre en branle...
Il s'imaginaient les vagues d'assaillants venant s'échouer contres les murailles, se briser contre les barbacanes, venant mourir dans les tunnels...
Il se leva soudainement, et sortis de l'auberge. L'air frais de la nuit le revigora quelque peu, et, d'un élan, il prit son cheval et disparut dans la nuit, galopant vers Origine.
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Merci pour le post aguigou. Eh oui c'est toi le roi des Aubes. Je vois... Mais tu étais le chef de la faction. Même si tu n'as pas accueillis... Mon Rp déforme la réalité malheureusement. Par exemple ce ''rush''. Je m'y trouvais et il n'y a pas vraiment eu de combat. Et je suis partis pour les Mithral (désolé encore).
Dernière modification par Vaegon (20/08/2014 00:15:33)
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Génial ton Rp pericles ! Bravo !
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http://fr-minecraft.org/img/banniere
Guide créative !
Une question vis-à-vis du serveur créative ? N'hésitez pas à me la poser via Mp forum, ou même sur le serveur en m'envoyant un Mail IG : /mail send simonhornay (votre question)
Directeur Seigneur des Crafts
Merci :).
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Chapitre 12
Une ombre fugitive...
La matinée était bien avancée quand l'exilé pénétra dans Origine une nouvelle fois, sans royaumes. Comme chaque jour la ville était en émoi en parlant de la nouvelle délégation, cette fois-ci des Ektra.
L'exilé fit avancer sa monture au trop à travers les ruelles passantes du centre-ville. Il jetait de temps à autre un regard suspicieux sur la foule qui déambulaient à contre sens. Il prit un tournant et interpella un passant :
Hé ! Toi ! Saurais tu ou je pourrai trouver une auberge ?
Oui, celle des sept croix... 0A quelque minutes de marche m'sire.
L'exilé toisa le passant, et, sans le remercier, s'en alla vers l'auberge. L'homme avait dit vrai, quelques centaines de mètre plus loin, se tenait l'auberge, à l'écart de l'agitation de la rue. Construite ne pierre, ses larges fenêtre recouvertes de lierre, elle inspirait confiance invitait le promeneur à se délasser.
L'exilé attacha sa monture contre la rambarde de fer forgé et entra dans le vaste bâtiment. La salle intérieur était grande, clair et spacieuse, mais vide. Il se dirigea vers le comptoir ou une ménagère d'aspect ouvrier essuyer avec des gestes brusques une écuelle. Elle s'adressa à lui d'une voix dure :
-Qu'est ce que vous voulez m'sire des Aubes !
-Je ne suis pas des Aubes, répliqua l'exilé d'une voix dure en s'apercevant qu'il portait toujours un haubert aux couleur du royaume, qu'il s'empressa d'arracher.
-Qu'est ce que vous voulez m'sire chevalier errants ?
-Une chambre...
-C'est tout ?
-… Une chope de bière aussi.
-Bien. Quarante écus.
L'exilé paya le prit exorbitant sans rechigner et s'assit, comme il en avait l'habitude, dans un recoin obscur. C'est alors qu'il s'aperçut qu'il n'était pas seul dans la salle, un individu buvait en silence, habillés de brocarts et de soieries, vêtement inapproprié sur ce continent. Ce-dernier, se sentant observé, se retourna vivement et, d'un air farouche, jeta un regard sur l'exilé. Puis sont front se dérida et sont rictus mauvais se transforma en un grand sourire :
Pericles !
L'exilé ne reconnut pas de prime abord Floconpace, ce-dernier ayant prit la barbe (je ne te rajeunit pas), puis il se souvint de son vieil ami. Après de chaleureuse retrouvaille, les deux rois discutèrent des nouvelles de Sombreval et de Pratola. Floconpace entama la conversation en parlant des récentes vendanges, des grands travaux et de ses armées. Soudain, il se rapprocha de l'exilé, si prés qui pouvait sentir son souffle, et, se mit à murmurer sans bruit :
-J'ai des nouvelles de Sombreval...
-Comment ça ? Répondit l'exilé qui avait pris le même ton de confidences.
-Le régime des princes se durcit et le peuple gronde.
-Et ?
-Je pense que bientôt tu pourras reprendre le trône.
-Le trône ! C'est impossible, ou trouverais-je les forces nécessaire ?
-A Sombreval tes partisans sont nombreux, et, à Pratola, nos armées sont tiennes. Mais il faut attendre que la situation s'éclaircissent. Reste caché dans les terres disputées pendant quelques mois.
-Bien. Quand saurais-je que je doit partir ?
Je te préviendrais. Ne traîne pas. Les usurpateurs ont des espions partout. Il se pourrait qu'il soit déjà sur tes traces.
Bien.
Sur ce, Floconpace s'empressa de sortir par la porte arrière. Fugitivement, l'exilé aperçut quelque soldat d'escortes qui emmenèrent Floconpace loin de l'agitation d'Origine. Puis, après s'être repus de chapons et de tomates fraîches, il monta dans son logis, sans une pensée pour le complot qui se tramait contre les Aubes. Il ne le savait sans doute pas, mais son départ subit lui avait sauvé la vie. Il s'affala de tout son long sur la paillasse et sombra dans un profond sommeil, ayant passé la nuit à chevaucher dans les campagnes.
Plus vite ! Pensa le chevalier. Il éperonna sa monture qui déjà avait les flancs en sang. Comment avait-il pu lui échapper ? Là, il l'avait se lever à Hermite, pour aller prendre l'air. Il l'avait attendu dans sa chambre, une dague tiré. Il avait entendu le bruit du cheval sortant de la ville. Il avait vu la stalle de l'étalon baie vide. Il avait alors décidé de continuer la traque. Il le fallait. Depuis de nombreuses heures il le suivait. Le loup avait flairé le gibier. Des effluves de sang lui montait déjà au narines.
La ménagère nettoyait ses plats quand la porte s'ouvrit avec fracas, une sombre silhouette s'engouffrant dans la salle.
L'exilé fut soudain réveillé par un terrible bruit : quelqu'un forçait la porte de l'auberge.
Il monta l'escalier en trombe, cherchant la chambre.
Mais qui était cet étranger ?
Il sortit sa flamberge et se plaça devant la porte, près à parer à toutes attaque.
Le chevalier enfonça une première porte. Il n'était pas là.
L'exilé se campa fermement sur le parquet.
Il entendit alors un craquement sourd. Il l'avait trouvé pensa t-il dans un éclair de jubilation.
Il entendait des pas se rapprochait. Il raffermit sa prise sur la lame.
Le chevalier sortit une large épée. Cette fois, il le tuerait.
Une sueur froide perlait sur la tempe du combattant.
Le gibier était acculé, il allait le tuer.
La porte s'ouvrit soudainement et un homme d'arme revêtu de noir fit irruption dans la pièce. Il dirigea son arme vers l'exilé qui l'esquiva prestement. Il porta un coup d'estoc contre le flanc du guerrier, qui déporta sont arme contre la flamberge. Les deux lames se croisèrent, se séparèrent et se retrouvèrent dans une froide embrassade d'acier.
Le cliquetis des arme envahissait la pièce. Les lames s'entrechoquèrent une nouvelles fois. Le chevalier tenta de porter un coup bas, mais en vain. L'exilé fit un pas de côté et piqua la poitrine du chevalier qui se recula juste à temps. Ce dernier, dans un geste bien peu chevaleresque, s'empara du pot de chambre et le projeta violemment contre l'exilé. Le geste fit plonger le chevalier à terre. L'exilé, dans un dernier geste, acheva le combattant qui s'écroula au sol, mort. Désormais, les troupes des usurpateur saurait qu'il était encore en vie. La traque reprenait.
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Toujours aussi bien et puis faut forcément qu'un rp brode un peu la réalité ;). J'ai l'impression de lire un livre quelquefois :) tu devrais les regrouper au bout d'un moment tes chapitres en "livres" qui auraient tous une..... "époque" particulière et au bout d'un évènement énorme qui change tout tu change de livre :)
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Merci pour l'idée, ça sera l'époque de l'exil. Et les autres époques... Je ne dis rien pour ne pas gâcher le ''suspens''.
Dernière modification par Vaegon (20/08/2014 15:59:18)
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Le chapitre 14 suivra bientôt. Avec les Mithral.
Dernière modification par Vaegon (20/08/2014 16:00:30)
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