JE NE COMPRENDS PAS
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UN GRAND HOMME A DIT : YE NE COMPRENDS PAS MON FRERE
L'intelligence c'est pas difficile,suffit de penser a une connerie et de faire le contraire!
Oh un kikoo :"3
Non effectivement ça devient dur a suivre 0.0 (enfin au moins on est deux a pas comprendre )
Surtout si c'est le reel meme tres romancé. . .
Continue comme ça je me rattraperais après a moins que tu puisse expliquer :s
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Je NE COMPRENDS TOUJOURS PAS
Pourquoi je fais partie de son histoire...c'est tout...
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UN GRAND HOMME A DIT : YE NE COMPRENDS PAS MON FRERE
L'intelligence c'est pas difficile,suffit de penser a une connerie et de faire le contraire!
Bon je t'explique : les autorités de Legendcraf (JRSpectral et D.) n'ouvrent pas les portes de la ville, et, le roi (Pericles; Alias l'Exilé) pique une crise devant la porte pour qu'elle s'ouvre (il fait allusion à la trahison des grands seigneurs lors d'un banquet, qui marque le début de son exil).
Le chapitre est très romancée mais il se résume juste à monter une montagne et à venir crier devant la porte :)
Dernière modification par Vaegon (20/10/2014 10:46:10)
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Chapitre 20- Noire ailes, Noires nouvelles, Le trône de Fer
-Sire, un corbeau est arrivé !
-Un corbeau ?
-Oui, de Legendcraft. A sa patte il y avait ce parchemin.
L'émissaire tendit d'une main craintive le message à Lord Karstark. Ce dernier rompit le cachet de cire aux armoiries de la cité libre, et, une ride soucieuse barrant son front, il commença sa lecture. L'on envoyait des corbeau à la place des pigeons voyageurs à de rares occasions. Le message sembla l'épouvanter, ses yeux errant dans la pièce, à la recherche de réconfort, ses mains tremblant frénétiquement. Puis il se ressaisit :
-Convoque le ban. Je veux que tout les hommes à cinq lieues alentours se rassemblent dès demain, armés et prêts aux combat. Appelle Harrion, et dis lui que je veux le voir sur le champs. Ah, et, prépare la salle du conseil.
-Bien sire. Mais, si je puis me permettre, que contenais ce message ?
-Cela ne te regarde pas. Vas. Et exécute mes ordre. Appelle moi le capitaine de ma garde.
-J'y vais de ce pas.
Le pas pressé de son aide s'estompa, et Lord Kastark put enfin réfléchir seul. La cour de Legendcraft l'avertissait de la venue du roi déchu de Sombreval, qui venait d'entrer dans la cité réticente à l'entrée de ses hommes d'armes qui ne pouvait qu'apporter la désolation. Que faire ? Son suzerain, Lord Rykker, faisait partie des princes coalisé qui s'étaient emparé du trône de Sombreval. Un choix s'imposait. L'un ou l'autre conduirait à la guerre, à l'incendie de sa terre, a la rupture de cette paix si chèrement acquise à force de labeur d'hommes.
Ces pensée furent interrompu par l'entrée d'Harrion, l'héritier de Karhold, le château familial et le fils de Lord Karlon Karstark. Il portait encore une justaucorps de cuir usée, et sentait la sueur, sortant juste d'un entraînement dans la cour de la place forte :
-Qu'y a t-il donc père ?
-Un message de Legendcraft.
-Que dit-il ?
-...Eh bien, le vieux seigneur prit le temps d'inspirer avant de continuer, L'Exilé à poser le pied à terre.
Harrion sembla défaillir, posant une main sur un ressaut de pierre salvateur :
Qu''avait vous donc décidé père ?
J'ai fait convoqué le ban, reste à savoir vers qu'elle prétendants s'allier.
Ils furent interrompu par l'entrée de Jory, le capitaine de la garde de la solide forteresse :
-Messire, vous m'avez fait demandé ?
-Oui, prends quatre maçons et charpentier en ville, et fortifie du mieux que tu pourras le château, enfin, fait doublé la garde, ce sera tout.
La rumeur court en ville que le roi déchu à débarqué, accompagné du roi de Pratola... Me faut-il croire ces allégations messire ?
Le sombre regard que lui jeta furtivement son seigneur lui confirma la rumeur : la guerre était proche :
-Bien messire, je m'active à la défense du château.
Sur ce il se retira de son pas traînant, tel une ombre rasant les murs. Harrion reprit, d'une voix alerte ou la peur transparaissait :
-Père... Est il sage de s'embourber de la sorte dans de telle querelle pour un trône ?
Lord Karstark eut un rire désabusé :
-Tu ne peux savoir à quelle point est ce important. Notre famille à servit Sombreval depuis sa fondation, il y a deux mille ans de cela. Nous ne sommes pas les bannerets des prin..., il se corrigea, des Usurpateur. Ma décision est prise Harrion. Nos troupes ne marcheront pas vers Sombreval mais vers Pratola ou nous rallieront les rois.
-Mais père...
-Tu n'as pas à discuter. Obtempère.
-…
Harrion se retira en grommelant que leur fin était proche. Lord Karstark jeta un regard désemparé à travers la large fenêtre de sa loggia, encrassée de poussière. Dehors de lourds nuages s'amoncelaient, annonçant la tempête à venir.
Dernière modification par Vaegon (07/11/2014 20:34:54)
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Le chapitre suivant arrivera bientôt (9 novembre).
Je suis désolé du retard.
Dernière modification par Vaegon (07/11/2014 23:15:04)
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Pas grave ^^ moi je dis le temps ne compte pas dans la qualité et la franchement bah wouah ! Très très joli :) peut être le mieux écrit
Par contre je m'y pers... Est ce que les noms sont inventés ou ce sont des pseudos existants ?
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Merci de ta fidélité dans la lecture du Rp, le prochain chapitre pour le 9 novembre.
Ce sont des noms inventées : là je parle des familles nobles restées dans le royaume de Sombreval. Normal que tu ne les connaisses pas :)
Dernière modification par Vaegon (08/11/2014 10:47:25)
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Absolument grandiose, toujours un très beau langage et une belle formulation des phrases ;)
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Merci beaucoup :)
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Vive Origine! (Oui j'ai lu que le passage où tu parlais d'Origine, à la 3ème pages) Sinon ton RP à l'air sympa quand j'aurais le temps je le lirais bien depuis le debut
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Merci! C'est sympa de ta part. :)
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Chapitre 21- Dam aye Diex el voil, il faut souffrir, dieu le veut
En ce 9 novembre, cela fera un an qu' Abcdu44 (Aurélien) nous à quitté,
Repose en paix,
Faisons en sorte de faire ce qu'il aurait souhaité, ce qu'il aurait voulue nous voir faire : prospérer ensemble dans une symbiose parfaite, formé une communauté soudée et unie. Alors, dans ces heures de discorde, pensez à lui, à son martyr, alors ne serait ce que pour lui, en un ultime hommage, une dernière oraison funèbre, apaisons nos passions par trop exacerbé.
Ce chapitre lui est dédié.
Quand l'aube vint jeter sa lumière mordorée sur les hautes courtines de Sombreval, la panique s'empara tel un incendie de la ville : les portes, se matin là, ne s'ouvrir pas, restant closes et muettes et silencieuse face aux supplications des paysans apeurés voulant pénétrer l'enceinte protectrice. La terreur régnait aussi dans l'enceinte des palais des princes coalisés.
Derrière les portes d'airain l'on s'activait à préparer la défense de la ville, l'on convoquait le ban. L'on murmurait dans la ville que le prince suprême avait invoqué un conseil suprême.
Thibault ouvrit les volets de sa modestes demeure, donnant sur une ruelle ombragées, à l'abri de la cité millénaire. Celle-ci se trouvait envahi d'une foule quêtant quelques nouvelles rassurantes, n'ayant qu'un seul mot aux lèvres : Le roi déchu, il est revenus.
Les petites gens avaient subitement allumés cierges et dressés autels dans la ville qui exhalait déjà odeurs d'encens et de cire chaude provenant des multiples profession religieuse parcourant la ville à la recherche d'un providentiel salut. Le bourdon de la cathédrale ne cessait de sonner, un rythme lancinant et funèbre, appesantissant sur la ville une chape de lourdeur, tel un linceul mortuaire.
L'homme décida qu'aujourd'hui n'était pas un bon jour pour commercer, et, dans un dernier bâillement, se recoucha.
*
* *
Le prince Vance prit sa place aux bats-bouts de la table décoré de fine marqueterie du grand conseil. Comme à chaque session, toujours plus rares les années passant, il ne cessait de s'extasier devant l'extraordinaire décor gothique d'ogives et de sculpture de preux le dévisageant d'un regard impassible.
Il se détourna de la dentelle de pierre du plafond pour s'incliner avec respect devant le prince suprême baignée de l'aura du soleil levant, ceignant une tiare d'argent, un manteau d'un épais velours pourpre fixé à son épaule par une broche du même métal, rehaussé d'améthyste. D'une voix empreinte de dignité, son regard altier transperçant l'assistance silencieuse il commença à parler, sa voix grave et profonde emplissant le palais d'un chant mystique :
Nous voici réunis pour la troisième séance exceptionnelle du grand conseil. Bien. Lord Vance, avancez vous, ce dernier exécuta une profonde révérence et s'activa en petites foulées nerveuses, le prince suprême reprit d'un ton grave : L'on nous apprend que le roi déchu, ce gueux exilé est revenus... Comment cela est-il possible, vous qui étiez chargé de la sécurité ? L'intéressé gardant un silence terrifié, le prince reprit sa rengaine : Auriez vous perdu votre langue ? Répondez.
Eh bien... Sire... Il se... Se trouve que l'Exilé à déjouer la plupart de nos traquenards et que... Le, le... Le roi de Pratola l'ayant aidé, mes agents n'ont rien pu faire.
Un seigneur serait-il capable de s'astreindre à son travail. La réponse est évident lord Vance... Non. Qui est chargé de la défense de notre bonne ville ?
Moi sire. Le timbre de l'homme qui venait de sortir de l'ombre était grave. Tous se retournèrent. Ce qu'ils virent les frappa de stupeur.
*
* *
L'accueil qu'ont leur fit était glacial : Legendcraft ne se donnait pas ainsi à ses conquérants, qui plus est descendant de ceux qui l'avait humilié.
Les volets en cette journée de chaleur torride étaient clos, renforçant l'hostilité affiché de la cité. Les rues vides n'étaient peuplés que par mouettes et oiseaux de mers criards, indiffèrent aux querelles des hommes, s'élevant jusqu'aux cieux immaculés.
Pericles, suivis de près par Floconpace chevaucher une jument blanche, les sabots de cette dernière résonnant avec bruit contre les façades muettes.
Derrière les deux souverains une cohorte d'hommes d'armes portant les couleurs Sombrevalienne et Pratolienne les suivait de près, le cliquetis de leurs cotte de maille se faisant clairement entendre : La lignée Valyrienne de Sombreval venait de poser à nouveau le pied dans les terres de ses ancêtres.
Un émissaire aux couleurs de Legencraft les conduisait à travers le dédale de rues vides et inondée de la lumière estivale.
Floconpace avança à la hauteur de Walkyrie11 et lui dit :
Je n'aime pas ce silence, il est oppressant... Qu'elle sera l'accueil que l'on nous réservera une fois arrivée ? Je ne tiens pas à mourir dans cette ville...
Hmm... C'est difficile à dire. Je ne peux que donner un seul conseil sire : Sous vos soieries d'apparats, ayez toujours une dague aiguisé, un haubert renforcé de maille serrée. Je ne peux rien prédire de la dynastie qui régne en ces terres. Les ancêtre de notre roi les ont gravement offensé, ruinant la ville, il me paraît normal que JRSpectral souhaite vengeance, comme tant de seigneur que la couronne Sombrevalienne à durement lésées. Chaque factions à dans la guerre à venir ses torts et ses droits si je puis me permettre...
Ce que tu me dis là m'inquiète aux plus aux points...
Floconpace leva subitement les yeux vers le vieux château, encore plongé dans l'ombre... Aux créneau luisaient les heaumes des chevaliers montant la garde, seul signe de vie apparents dans le cité marchande...
*
* *
Les premiers rayons du soleil commençaient à transpercer les frondaisons de la forêts, allumant milles teintes vertes. La brume s'attardait encore sur les plaines à l'herbe grasse. Le vent ne soufflait pas, les alizés encore endormis dans la fraîcheur de cette aube virginale. Pourtant les herbes hautes des champs étaient agités, et un murmure envahissait les forêts, couvrant le brame du cerf, le bruissement joyeux du ruisseaux bondissants. Des centaines d'hommes d'armes convergeaient vers Karhold. L'on pouvait voir leurs écus flamboyant, leurs flamberges dégainées, l'on pouvaient entendre le choc sourd des sabots contre l'humus : le ban des Karstark se mettaient en marche, répondant à l'appel de son seigneur. Bientôt il serait aux complets dans la cour de l'antique forterresse.
La guerre était proche, et, avec elle, le néant. Et déjà la neige des hautes cimes se teinte de pourpre...
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Le chapitre 22 arrivera demain soir.
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Toujours aussi magnifiquement écrit ! Cependant, je n'ai pas très bien compris le dernier chapitre... Il raconte à trois moments différents, dans trois endroits différent le début d'une guerre ? Un petit résumé ne serait pas de trop
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Le dernier chapitre se passe aux moment du récit : la première partie parle de Sombreval quand elle apprend que le roi déchu est revenu : la ville à peur de se faire attaquer dans les jours suivant par ce-dernier. Juste après ont voit une réunion des princes rebelles. Dans le chapitre 19 (si mes souvenirs sont bons) le roi déchu (moi) hurlait devant la porte de Legendcraft pour forcer JRSpectral à ouvrir ses portes : là ont entre dans la ville avec lui, après que les portes se soit ouverte.
le chapitre 20 racontait la décision de Lord Karstark à se rallier au roi déchu (moi), là on voit son armée le rejoignant, pour la dernière partie.
L'histoire va être à présent découper en plusieurs morceaux car les personnages se sont multipliés.
J'espère que tu arriveras à comprendre!
Dernière modification par Vaegon (10/11/2014 09:24:45)
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Chapitre 22- Premier soubresauts
Lord Karstark fit son apparition dans la cour du château sous les vivats des centaines de soldats et de seigneurs vassaux ayant répondu à son appel. Ils étaient tous là. Leur bannières flottant dans la brise chaude, arborant lion échiquetée, caravelle sur champs de gueules, hermine et échappée ensoleillée sur fond d'argent...
Les chevaliers portaient de splendides armures d'aciers robustes, accompagnant heaume fantaisiste aux formes chimérique, alors que les reître et simple soldat ne portaient que cuirs bouillies, ou, pour les plus chanceux quelques empiècements de fer aux épaules.
Pourtant, tous avaient la même ardeur à combattre, pour défendre le vaste duché que les Karstark tenaient. Lord Karstark, avant même de commencer à parler fit quelques gestes qui stupéfièrent aux plus hauts points l'assistance : Il arracha d'une main preste la bannière des princes coalisés, la laissa choir aux sol, mordre la poussière dans la boue et, de son autre mains posa, en guise de remplacement, l'arbre dénudée de Sombreval : des rois de Sombreval. Le silence, dans la cour était totale, il en profita pour commencer son discours :
Oui. Nous ne nous battrons pas pour des prince qui tuent lorsque ils sont invités. Nous ne prêterons pas allégeance à des usurpateurs massacrant sans aucune pitié enfants, vieillards et femme. Nous porterons nos épées à Pratola, pour prêter allégeance aux rois de Sombreval, à notre légitime suzerain !
Il est de notre devoir de laver la honte de n'avoir rien fait, il y a des années de cela, pour déjouer le complots qui mis bats le roi légitime, à nous de le jucher à nouveau sur ce trône qu'il mérite mieux que ce conseil de vil courtisans !
Il ne put finir : le hurlement d'approbation de la troupe couvrit ses derniers mots. Quand le soleil seraient hauts, ils marcheraient communément vers Pratola, puis, si les dieux le voulaient, mettraient bas les princes usurpateurs. Les hommes ne cessaient de scander :
Le roi de Sombreval !
Le roi de Sombreval
Le roi de Sombreval est de retour !
Il est de retour !
Roi de Sombreval !
*
* *
JRSpectral était juché sur un trône d'airain quand entrèrent dans la grande salle les rois. Il les accueillis en ces mots :
Je vous souhaite un agréable voyage jusqu'à Sombreval. Un appartement vous sera octroyez Sire...
Je n'ai que faire de votre hospitalité ! Ce que nous souhaitons, et vous le savez : nous voulons vos épées.
Voyez vous cela... Mes vassaux à Votre service ? Les terres disputées ne vous ont-elles pas servis de leçon ? Le ton de sa voix changea, plus froides, plus dur, plus âpres : Legendcraft ne cherche que son bonheur, pas celui des autres. Les princes coalisés m'offrent d'avantageux produits commerciaux. Je n'ai aucune raison de les faire chuter...
Sire... Pericles avaient pris soudain un ton déférent, tentant d'amadouer son altier interlocuteurs : Pourrions parler plus au calme ?
Mais nous sommes aux calme ? Il n'y a rien de plus serein que la grande salle de mon palais..., il eut un sourire, Allez ! Vous avez entendu, sortez tous, même mon conseil, je ne veux que le prétendants au trône de Sombreval !
Après que tous furent sortis, le sire de Legendcraft reprit :
Vous autres, Valyrien ou Sombrevalien m'avait toujours traité comme un sous-vassal, alors que je suis roi. A quelle coup du sort ! Vous voilà à me supplier !
Que voudriez vous donc en échangé de vos épées ?
Le sire de Legendcraft eut alors un grand rire.
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Excellent chapitre ! J'ai hâte de lire le prochain ;D
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Merci, il arrive ce soir :)
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Chapitre 23 – Rancune
-Mon enfant tu seras appelé, toi aussi, un jour, à régner à la place de ton père, le sire Pericles de Sombreval, toi aussi tu brandiras votre bannière.
-Mais, vous qui êtes mon précepteur, pourriez vous me dire quand le deviendrais-je ?
-Pas trop tôt je l'espère... Vayn, il est l'heure d'aller aux banquets...Tu comprends ? Tes parent ont invités les plus grands nobles du royaume. Peut-être y découvriras tu ta promise ?
-Oui. Je n'aime pas ces fêtes. Je m'y ennuie à mourir...
-Mon enfant, si tu te tien sagement aux dîner ? Eh bien.. Tu auras le droit de manier une épée véritable avec ton maître d'arme qui... Comment s'appelle t-il -déjà ?
Le précepteur de Vayn n'eut pas le temps de poursuivre, l'enfant royal venait de fuir par la porte, à la recherche de Jon, c'était comme cela qu'il se nommait, pour pouvoir manier une véritable épée en acier.
Le vieillards chercha l'enfant, l'appelant désespérément alors que la fête allait commençaient d'une heure à l'autre, et déjà le soleil effleurait les courtines de la ville...
Jon vit un enfant courant à toute jambe vers lui, sa prestance trahissant son ascendance royal, les cheveux noirs battant aux vent soufflant dans la ville, dispensant une agréable fraicheur :
- Jon! Jon ! Maître Geoffroy à dit que je pouvais essayer une vraie épée de vraie!Oui ! Tu m'entend !
Vayn. Va rejoindre ton père au banquets, que diras t-il s'il ne te voit pas, et tes frères et sœurs ?. Il prit Vayn par les épaules et se dirigea, en le tenant fermement pour éviter toute fuite criarde, vers le palais. Soudain il se figea, l'enfant le dévisagea alors avec horreur, ses grandes prunelles bleues trahissant une terreur sans nom :
-Jon, il se passe quoi ?
-...Mon... Vayn. Reste ici.
-Quoi ?
-Vayn... Il faut.., Jon ne pouvait rien dire devant l'horreur indescriptible qu'il voyait.
De la grande-salle du palais montaient des cris d'horreurs étouffés, accompagné de hautes flammes orangées, dévorant les charpentes et toiture du palais. Jon ne resta pas médusé lentement et, en homme sur de soi , entraîna Vayn, l'héritier du trône hors de la ville.
Le précepteur geoffroy pénétra dans la grande salle pour avouer, la gorge serrés, aux roi Pericles que son fils s'était évaporé dans le palais.
Les convives étaient paisiblement attablés, et leur rires jovial montaient jusqu'aux superbes solives du plafond. Au murs pendaient les bannière de la dynastie Sombrevalienne : Un arbre mort sur champ gris.
Il eut le plus grand mal à se frayer un passage aux milieu des seigneurs saouls jusqu'à l'estrade d'honneur, ou siègeait le roi, flanqué de la reine, une resplendissante jeune fille du roi du port libre de Braavos, rival de Legendcraft.
Le roi se pencha pour écouter le précepteur, qu'il tenait en haute estime, ce-dernier apprenant le métier de roi à un enfant qui ne tenait pas en place :
-Qui y a t-il ?
-Sire... Votre fils, Vayn...
Il n'eut pas l'occasion de finir ces mots : une flèche empenné de gris vint se ficher dans sa poitrine, une fleur pourpre s'épanouissant déjà sur sa poitrine. Tout devint alors flous. Le roi aux visage désemparé tentant de la sauver, mais des gardes l'emmenant en lieu sur. La reine serrant en son sein son dernier né, âgé de seulement quelques mois. La reine à nouveau. Mais la gorge tranchait, un homme d'arme s'emparant de l'enfant pour lui fracasser la tête contre un mur. Les nobles mourant. Des ombres floues, tel un ballet de couleurs sanglantes. Puis une chaleur intense, croissante à mesure que les flammes se rapprochait de lui. Puis une douleurs aigus à la jambe, noircissant, la proie aux flammes. Puis le noir. Total.
Aux petits matin, quelques heures après l'installation des princes coalisés, personne ne remarqua, que, parmi les cadavres carbonisés de la famille royal il manquait l'héritier du trône Vayn, l'enfant aux cheveux noirs et aux yeux bleus.
Dernière modification par Vaegon (19/11/2014 14:58:57)
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Chapitre 24- En marche...
Pericles sortit fulminant de l'entretien avec le sire de Legencraft :
-Ses conditions sont absolument inacceptable.
-Sire... Que vous a t-il donc demandé ?
-Le duché de Karhold, les terres de bois-la-pluie, de Viergétang et... Et... Il veut le trésor royal, et le duché de Playaville...
-Il a vingt mille épées ! Vingt milles ! C'est cela ou la défaite. Comprenez vous ?
-Et après ? Un empire brisé ?
-Il restera Havrenoir et Rivevieille
-Et le trésor ? Comment le reformerons nous ?
-Empruntez à la baque d'Origine.
-Je ne veux plus rien avoir à faire avec les terres disputées.
-Je vous conjure sire, d'accepter ce marché. Il est de votre devoir de reprendre le trône. Comprenez vous? Ne serait ce que pour vos ancêtre qui vous l'on transmis. Il sera toujours temps plus tard de reprendre ces possessions. Rien n'est définitif sire.
-Tous mes descendants ont affreusement péri lors de ce banquet, sa mine s'assombrit alors, ma femme et ma famille, mes loyaux serviteurs...
-Ils vous attendent tous ! A pellez les et ils vous suivront !
Quelques temps plus tard, le sire de Sombreval apposé un cachet de cire rouge sur la traité de Legendcraft, qui le dépossédait de ses terres les plus riches, en échange de vingt mille épées pour la durée de la guerre. Pourtant JRSpectral n'avait toujours pas convoqué ses vassaux :
-Je le ferais aux moments propices, partaient sans crainte. Il vous rejoindront aux moment le plus critique de la guerre... Ah, et n'oubliez pas de faire flotter ma bannière dans mes nouveaux châteaux.
-Je vous préviens : si vous me trahissez, je ruinerai le ville
-Je ne vous trahirais pas. J'en fais le serment.
-Bien, le roi sortit sans un regard pour JRSpectral, et claqua la porte en bois d'ébène si violemment qu'une moulure se fractura.
Dans le vestibule décoré de marbres et de cariatides il pria Floconpace de donner l'ordre à leur maigres armées e se mettre en route dès le lendemain : il n'y avait plus aucun intérêt à s'attarder à Legendcraft.
L'armée Sombrevalienne se mit en marche à l'aube, quittant Legendcraft, ville de complots et de trahisons...
Les immenses arbres avoisinant la ville fournir, durant le début du voyage, un abri réconfortant contre la chaleur lourde de l'astre brûlant. Leur larges racines millénaire obstruait la route, leur tronc aussi large que quelques citadelles s'élevaient jusqu'en des cieux indiffèrent aux querelles obscures des hommes, leurs rameaux et branches formaient une terre de verdure, vierge de toutes présence humaine, la haut, ou les échos des combats ne parvenaient qu'altéré par le chant cristallin des oiseaux colorées. Mais, une fois quitté les terres de la cité libre et ses envoûtantes forêts il gagnèrent une lande déserte, battue par des vents chauds et secs, portant en eux la mémoire des dragons Valyrien...
Les arbustes y étaient rabougries et jaunâtres, la terre d'un noir sale. Le ciel, lui, persistait dans son bleu d'opale, asservissant la terre sous une implacable chaleur. La cohorte de cavaliers et de fantassins suant s'étirait jusqu'à l'horizon, avançant en file indienne sur la piste inégale et poussiéreuse.
L'armée laissait derrière elle un nuage de poussière retombant lentement derrière elle sur la terre foulées par la cavaleries lourdes et les fringants palefrois des seigneurs. Ils bivouaquèrent dans les ruines désolé d'un fortin à la nuit tombé, et, sous le chant cristallin des étoiles s'endormirent paisiblement.
Dernière modification par Vaegon (19/11/2014 14:57:40)
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Enfin un chapitre clair ! :3
Bref, c'est toujours aussi génial, cependant ; tu devrais mettre des - devant les paroles de chaque personne, sa serait plus clair :/
Tu te rends compte que tu est le/l'un des meilleurs écrivain qu'ai connue FRM ? 24 Chapitres , faut le faire quand même !
Voilà, et j'invite les autres lecteurs à se manifester, sa motivera notre écrivain
Dernière modification par floconpace (19/11/2014 17:54:01)
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Merci floconpace et les - je les mets mais ils s'enlève, et j'oublie souvent de les remettre :). Merci pour ta fidélité dans la lecture du RP et tes encouragements :)
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Je poste le 25 ce soir, et demain (ou plus tard :/) le 26, beaucoup plus longs que les précédents. Le 27, quand à lui, servira de RP à mon build pour le concours d'architectes.
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Chapitre 25- Tromperies
Un silence de cathédrale s'était fait dans la salle du grand conseil, se mêlant aux sculpture muettes, les membres du grand conseil demeuré figé devant l'apparition. Néammoins le prince suprême parvint à poser une question :
-Que fais tu ici roi déchu ?
-Je n'ai jamais régné.
-Alors, qui es tu pour enter comme cela dans notre grand conseil ?
L'homme releva son capuchon de bure, et ils virent tous ses yeux bleus et ses cheveux d'un noir profond, l'on aurait dit Pericles :
-Je suis le seul à pouvoir défendre cette ville.
-Prétentieux, tu n'est qu'un gamin famélique, cria un conseiller
-Alors, comment ais je pu pénétrer dans le palais sans qu'aucun garde ne m'aperçoive, et comment suis je rentré dans cette ville closes depuis trop longtemps ?
-Sorcier.
-Non. Il suffit de connaître les passages dérobées qui parcourent ce palais. Je les parcours depuis ma tendre enfance, les connaissant mieux que quiconque. Mieux que Pericles de Sombreval.
Le prince suprême lui dit d'une voix grave :
-Bienvenue à notre table.
*
* *
Les battants de Pratola étaient grands ouvert quand Lord Karstark arriva en vue de la cité, niché aux creux de vallon planté de vignes luxuriantes, posé comme par enchantement sur une baie ou se reflétaient sapins millénaire et vaisseaux à l'ample voilure. Les murailles de la ville portuaire se confondaient avec l'écume blanche caressant leur base. A toutes les portes et murailles flottaient l'étendard des Sombrelyn, l'arbre mort sur fond gris.
Les rues étaient pavoisé, les bourgeois sortant leur argenterie, pendant riche tentures et étoffes aux fenêtre. Les commerçants abondaient aux sein des artères de la ville neuves, et, du haut du palais une masse de courtisans les acclamaient, brandissant fanions chamarrée et épée d'apparats. Les lourds destriers de l'avant-garde firent leur entrée dans la ville sous les acclamations d'une foule enthousiaste à l'idée du renouveau de Sombreval.
Lord Karstark devança son armée pour pénétrer dans le palais des rois de Pratola et prêter hommages à Pericles. Des gardes s'inclinèrent à son passage et le laissèrent pénétrer dans la loggia de ce dernier. Cella ci n'était abrité des éléments que par un fins treillis de bois ou poussait rosier et vignes vierges exhalant des parfums exotiques, embellissant un peu plus la superbe vue sur l'océan si paisible en ces heures de colère pour former une extraordinaire composition que le seigneur prit le temps d'admirer, émut par tant de sensualité, de douceur, et de beauté. C'est alors qu'il remarqua Pericles qui lui dit d'une voix calme :
-Votre venue m'honore profondément Lord Karstark. Vos force armée me seront d'une grande utilité, alors que les derniers mots étaient proféré, Pericles sentit une sourde appréhension montait en lui : il allait devoir céder les terres de Lord Karstark...
-Soyez en remercié sire. Mes forces sont à votre entière disposition.
-De même Lord Karlon. Je vous prierais d'assister aux tournois que Pratola donne en mpn honneur et ce serait un honneur pour nous que votre noble maisons y soit représenté...
-Mais sire... Ne serait-il pas préférable d'utiliser nos forces contre les murs de Sombreval plutôt que dans quelques joutes ?
-La victoire attendra. Goûtons ce qui sera probablement nos derniers moments de joiecar, ne vous y méprenez pas la guerre sera longue et fastidieuse, douloureuse.. Oui, longue fastidieuse répéta le souverain, sombrant dans une sombre léthargie. Aux loin, un vol d'alouettes traversa le ciel qui s'embrasa soudainement, la forêts brûlants, les flammes miroitants dans les eux mouvantes de la baies : le couchant était déjà là.
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