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#1 29/06/2012 18:13:01

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Récit.

Voici mon texte de Role-Play pour le concours; j'espère que vous pendrez du plaisir à le lire:

Attention, ceci est une fiction, tout évènement historique ou politique n'a aucun rapport avec la réalité.

Premier chapitre : le réveil

Je ne me rappelle ni du pourquoi ni du comment, mais je dormais, sûrement depuis longtemps ; mais dès que je rouvris les yeux, j'eus un choc. En effet, les torches de mon château s'étaient éteintes, et les briques de mes solides murs étaient par endroit moisies ou fissurées, et les araignées ont trouvé mon château à leur goût, étant donné qu'il y avait une quantité effrayante de toiles. Je me rendis compte que j'étais couvert de poussières, et j'en déduis alors que cela faisait un sommeil trop long pour que mon château soit dans cet état. Je me trouvais dans une pièce sombre, avec un vieux coffre dont le cadenas était rouillé à un tel point que le dépoussiérer pouvait le détruire. Dans ce coffre, je vis une vielle épée en fer, un bout de parchemin à moitié brûlé ainsi que de la nourriture depuis longtemps avariées. Je pris l'épée dans ma main, et je lus sur le bout de parchemin :


    -Mon cher camarade, quand tu te réveilleras, tu trouveras une épée flambant neuve ainsi que de la viande que je viens d'abattre.
Ton compagnon.


Je regardai la vielle épée ainsi que la viande avariée. Mon compagnon n'était pas méchant mais avait développé un narcissisme tel qui parlait de lui à la troisième personne du singulier. Il n'avait pas songé à changer de vêtement, aussi il portait un tee-shirt bleu ainsi qu'un pantalon, ce qui n'était pas très original. Il avait un goût particulièrement prononcé envers les blagues douteuses, comme brûler une centaine d'animaux pour le plaisir, s'amuser à surgir de l'ombre pour effrayer d'éventuels visiteurs, qui ne restaient pas bien longtemps. Après une courte réflexion, je me dis qu'il valait mieux que je sorte de cet endroit ; en effet une pareille obscurité n'inspire pas confiance ; à moins d'être un monstre. Lorsque j'entendis quelqu'un s'adresser à moi.


    -Si vous voulez passer il faudra me passer sur le corps.
Je baissais la tête, et je vis alors une minuscule souris argentée. Je lui dis alors :
    -Est-ce vous qui avez parlé ?
La « souris » me répondit :
    -Bien sûr que c'est moi, insolent ; qui voulez vous que ce soit ? Vous avez de la chance d'ignorer qui je suis, je ne vous infligerai pas une longue agonie lente et douloureuse ; je me contenterai de vous tuer.
Je ne sais pas si cette créature sait ce qui lui passe par la tête, mais elle n'avait pas conscience du fait que j'étais quatre fois plus grande qu'elle. Alors je lui assénai un coup de doigt, et je lui dit :
    - Ca ira pour cette fois, la prochaine fois je te frotterais avec ma main, c'est le seul et l'unique avertissement.
Elle me dit alors :
On se débine hein ? Reviens ici que je t'arrache ta tête avec mes canines!
Je continuais tranquillement, et mon sourire se figea lorsque je vis une centaine de « souris » similaires à la première, et je pris la sage et bonne décision de fuir.


Je couru alors dans un long couloir terminé par une issue fermée par une porte en fer à côté d'un interrupteur. Une fois que le mur et la porte de fer empêchaient les « souris » de passer, je continua mon chemin, et je vis un coffre, avec à l'intérieur une vielle selle ainsi que des semences noires ; je les pris ainsi que la selle. Une fois sorti de cette pièce, je me retrouvai dans une ville bibliothèque poussiéreuse remplie de toiles d'araignées, mais au moins il y avait de la lumière. Sur un vieux tabouret se trouvait un bout de parchemin brûlé, l'autre moitié du premier, et je  lus :
    -Cher camarade, il s'en est passé bien des choses depuis que tu es dans ce drôle d'état.
Il y a des île brunes avec des champignons géants, il y a des « souris », certes elle ne sont pas fortes mais très nombreuses ; il y a des biomes avec des teintes d'herbe différentes ; il y a des jungles, avec des chats et il y a d'anciennes ruines dans l'enfer. Les monstres sont de plus en plus intelligents, maintenant manger est devenu vital ; et il y a d'autres survivants qui se regroupent en villages.
J'espère que tu réussiras à t'habituer.
Ton compagnon.


    Je continua alors mon chemin, et trouva une échelle menant vers la sortie. Une fois en haut, je vis avec déception que mon château était très profond, et qu'il ne restait aucune trace de mon passé.

Second chapitre: Une visite inattendue

    Une fois arrivé à la surface, je construisit une maison et je fis un champ et un élevage de poules. Tout allait à merveille, mais le bonheur est toujours éphémère, il ne dure jamais longtemps.

    C'était un banal après-midi comme les autres, il faisait beau et chaud, sans humidité dans l'air. Le parfum des bruyères emplissait l'atmosphère d'une lourde odeur. Je faisais une sieste tranquillement, quand mon chien me réveilla par ses aboiements. Je regardai en direction de l'océan, et je vis un navire abordant un drapeau pourpre représentant un arc et une épée entremêlée se diriger droit vers mon île. Je couru prendre mon épée, et mon arc. Ce que je craignait arriva, il s'avéra que les soldats n'étaient pas du tout diplomates et que leurs intentions n'étaient pas amicales, car ils dès qu'ils ont posé le pied sur le sol de mon île, ils coururent vers moi arme à la main. J'abattis le premier d'une flèche, lorsque je vis le second me prendre de flan. Il me fit un coup asséné que je parai tant bien que mal, je ripostai sans succès avec un coup d'estoc qui ne fit qu'érafler son bouclier, mais je lui lança le premier objet que j'attrapai, aussi il reçu un œuf sur sa tête, ce qui évidemment le déstabilisa de tel sorte à ce que je puisse le transpercer de ma lame. Le troisième voulu me tirer dessus avec une flèche mais le temps qu'il bande son arc je lui avais lancé une potion empoisonnée, ce qui l'acheva ainsi que deux autres soldats à côté de lui. Le quatrième me pris au dépourvu, il me lança une sorte de boule en fer rempli de poudre à canon, ce qui eu le mérite de me blesser et de déraciner un arbre qui n'avait rien demandé à personne. Je l'occis en lui lançant mon épée, ce que je regrettai aussitôt car je me retrouvai sans arme. Un cinquième me fonça dessus, heureusement pour moi j'avais ma faux, et le soldat n'arrêta pas sa course à temps, aussi il se tua en heurtant ma faux. Un sixième voulu lui aussi me tirer dessus, je pris mon briquet et alluma un feu sur l'herbe, puis le ramena vers moi à l'aide de ma canne à pêche. Je m'aperçus alors que deux artificiers avait préparer un canon de redstone, aussi je me téléportai derrière ceux-ci et je leur offris un allé simple vers  l'autre monde, et je tira sur les derniers à l'aide de leur propre canon. Je détruisis leur navire en les maudissant, ce fut un carnage sanglant ; aussi j'espérai qu'il dissuaderait d'autres tentatives d'agression.


Troisième chapitre : un meilleur avenir

Plus le temps passait, plus il me paraissait interminable et long, l'élevage et la culture finirent par me lasser, les steaks n'avaient plus le même goût, et tuer des monstres ne m'apportait plus aucun plaisir. En effet je m'ennuyais. Alors pour brûler le temps je rêvais et je songeais à des perspectives d'avenir.

               L'élevage et la culture étaient certes utiles, mais quand on les pratique pendant plus d'une année, on finissait vite par se lasser. À vrai dire, mon île était trop petite et je l'avais visité entièrement, jusqu'au dernier recoin, jusqu'à la dernière touffe d'herbe et jusqu'au dernier dessous de roche. Alors je pensais aux soldats qui m'ont attaqués, et je me demandai de quelle contrée ils venaient. Ils venaient sûrement d'une gigantesque île, d'un empire vaste et varié, si immense que même en une vie on ne peut le visiter entièrement. Alors je pris ma décision : je décida d'explorer le monde, de trouver d'autres volontaires et de fonder un gigantesque empire, un empire qui serait ordonné, solide et qui associe puissance économique et puissance militaire. Mais on ne traversait pas les immenses étendues d'eau sans rien ; il me fallait un navire. Je préparai donc grâce aux élevages une quantité non négligeable de provisions variées, j'exploitai des générateur d'araignées afin d'obtenir assez de fil pour faire des voiles robustes, et je coupa une quantité pharamineuse d'arbres pour le navire, et enfin je prépara des outils de fer. Au fil des jours j'amassai de plus en plus de ressources, et au bout d'un mois le navire était prêt, et je montai des animaux à bord et je préparai tout le nécessaire pour fonder une nouvelle colonie. Je parti alors vers un horizon, espérant un meilleur avenir que vivre coincé sur une île déserte.

        Lorsque je quittai mon île, la mer était calme, et il n'y avait aucun nuage à l'horizon. J'avais pris soin de prendre des cannes à pêches, de telle sorte à ce que si les vivres se mettaient à manquer, on pourrait survire en pêchant. Je pêchai donc  toute la matinée, et n'ayant qu'attrapé seulement trois poissons, je me décourageai et je regardai voir s'il n'y avait aucune terre à l'horizon. Je ne vis pas d'île, mais il y avait un amas de nuages qui se dirigeait vers nous. Je distinguai alors une sorte de trompe s'élever de la mer, et je changeai de cap immédiatement, car il s'agissait bel et bien d'une tornade. Je devais ranger les voiles et tenir la barre en même temps, ce qui s'averrait être très problématique. Finalement, je m'en sorti de peu grâce au fait que la tornade n'allait pas du tout dans ma direction mais qu'il s'agissait du contraire ; c'était moi qui emmenais inconsciemment mon navire vers la tornade.

        J'arrivai en premier sur une île assez vaste et recouverte d'une jungle épaisse et luxuriante. Je trouva deux rescapés, qui acceptèrent de monter à bord, non pas car ils soutenaient mon projet, mais car ils en avait marre de vivre dans une jungle, l'atmosphère étant très chaude et très humide. La seconde île s'avérait être un désert, et les rescapé que je trouva ne devaient leur survie qu'à la minuscule grotte où ils trouvaient un peu d'ombre et ils devaient se nourrir de cactus en permanence. Or tout le monde sait combien le cactus est mauvais dans ce monde cubique. Je continuai de voyager à travers les îles, emportant avec moi de plus en plus de naufragé, je dus construire deux navires supplémentaires.



Quatrième chapitre : Les débuts de l'empire.

Finalement, on trouva un grand continent et on fonda une colonie qui s'agrandit vite ; et elle subit un gigantesque essor économique, ce qui attira beaucoup de monde. Le gouvernement était formé par moi-même uniquement, comme cela je suis sûr qu'aucun conseiller ne voudrait me tuer.
On fonda des serres et des champs, des cultures et des élevages ; mais très vite il y eu une division, deux groupes se formèrent :
        -Le premier groupe était constitué de personnes protestant contre la domestication massive de la nature, contre la destruction des paysages et contre l'exploitation massive des combustions. Ils voulaient que les animaux obtiennent de meilleures conditions de vie, que les animaux destinés à être mangé soient élevés dans des élevages à peu près corrects, et non pas qu'ils ne voient jamais la lumière du jour coincés dans des cages. Ils voulaient la création de parcs afin que la ville ne soit pas que des bâtiments serrés les uns contre les autres ; et ils luttaient contre la pollution des eaux et les destructions des paysages.
            -Le second groupe correspondait à l'inverse du premier, il voulait une révolution industrielle ; la domestication des vapeurs et des combustions, ainsi que l'apparition des systèmes automatisé capables de produire des objets beaucoup plus vite, quitte à raser des foret entières pour fournir le combustible nécessaire à cette tâche. Ils voulaient un progrès industriel élevé, et l'utilisation de nouveaux outils, comme des « fusils » (bâtons contenant un tube de fer rempli de poudre à canon afin d'expulser des projectiles à grande vitesse afin d'infliger de lourds dégâts) ou encore des foreuses, et d'autres machines diverses et variées.

        Les deux groupes se détestaient et prenaient un malin plaisir à mettre des bâtons dans les roues de l'autre. Le premier groupe créait des forêts à proximité et les protégeais ainsi que celles déjà existantes, de tel sorte à ce que le second groupe ait à aller de plus en plus loin pour obtenir du combustible ; mais en représailles le second groupe jetait ses déchets dans des milieux naturels et polluaient l'environnement. La tension était si élevée entre les deux groupes qu'un jour elle éclata, des membres du second groupes firent un attentat et brûlèrent le quartier général du premier groupe ; et le premier groupe pour se venger fit sauter une industrie du second groupe. On était à deux doigts d'une guerre civile. Moi, j'étais à la tête du gouvernement, et je décidai alors de former une milice à l'aide de volontaires pour arrêter les attentats entre les deux camps. À l'aide des impôts des habitants je remboursai les deux camps ; mais je leur interdis de continuer à faire des attentats. Alors je trouvai une solution à tout les problèmes : je partagea les biomes, donnant au premier groupe les biomes où se trouvait la majorité des arbres ; ainsi le premier groupe récupéra des forêts, des jungles et des marrais, et en échange le second groupe reçut les plaines, les déserts  et les toundras.

        Je créa aussi des guildes, dont le but était d'apprendre des métiers et de se regrouper ; il y eu un bon nombre de guildes, la guide des guerriers (regroupant les archers, les combattants et les artificiers), la guildes des mages (regroupant les alchimistes et les enchanteurs), et d'autres guildes mineures ; comme la guilde des forgerons, la guilde des maçons ; la guilde des mineurs… J'établis aussi des systèmes de mesures :

        -est appelé mètre l'unité de mesure des distance ; un mètre correspond à un bloc, un décamètre correspond à dix blocs…

        -est appelé l'unité de nombre le stack, 64 objets forment un stack ; 32 objets forment un demi-stack et 16 objets forment une pile.

        -est appelé l'unité d'eau la source d'eau, deux sources d'eau sont la plus grande valeur, étant donné qu'avec deux sources d'eau on peut en obtenir une infinité.

        -est appelé pièce, l'unité de base pour les échanges commerciaux, tout le monde devra payer en pièce et gagner en pièce, afin de faciliter l'imposition les revenus seront déclarés en pièce.

        Lorsque je finis de rédiger les lois, les systèmes de mesure, je fus fier de moi ; et je me dis que tout devrait bien se passer. Malheureusement il eut un problème, en effet, le premier groupe décida de vendre de plus en plus cher leurs planches, le premier groupe riposta en vendant de plus en plus cher sa nourriture, si bien que les prix montèrent de plus en plus tandis que les guildes peinaient de plus en plus à obtenir ce dont elle avaient besoin, par exemple les mineurs durent échanger du diamant contre un misérable stack de steaks ; et les magiciens durent échanger des armes enchantées contre du papier  pour pouvoir continuer à écrire les grimoires. Je réfléchis longtemps à une solution, mais cette situation était extrêmement délicate car si j'augmentai les impôts des groupes pour donnes l'argent récolté aux guildes, les groupes vont vendre encore plus cher leurs marchandises. Alors je décida de supprimer l'argent, ce fut compliqué de revenir au troc, mais au moins les impôts étaient en marchandises et du coup le gouvernement put récupérer des planches et des outils et les distribuer à l'autre camp afin qu'il baisse les prix, et cela marcha, un peu trop, les planches et les productions chutèrent ; mais au moins plus personne n'aura de problèmes pour manger ou faire cuire sa nourriture.

Cinquième chapitre: des voisins jaloux.

Le succès économique de mon empire se répandit très vite, son organisation était sans faille ; mais la puissance de mon empire était faible.

        Un messager arriva en hâte dans mon bureau et me dit :
        -Monsieur, c'est terrible ; un peuple voisin nous demande un tribut ou sinon il nous attaque, on ne peut pas se permettre de faire la guerre vu notre faible puissance.
Je lui dit :
        -On ne peut pas faire la guerre pour l'instant, payons le tribut, et pendant ce temps préparons nous à la guerre.
Mon général me dit :
        -Quels sont vos ordres ?
Je lui répondis :
        -Demandez au second groupe de produire massivement des armes et d'expérimenter des moyens de défenses. Quand au premier groupe, il doit construire des remparts et des tours de guerre. Ordonnez la mobilisation générale, et donnez l'ordre à la guilde des mages de préparer des potions de lancer et d'enchanter des armes, dites à la guilde des guerriers de préparer des combattants et de tuer des creepers afin d'avoir de la poudre ; dites à la guilde des mineurs de miner et de trouver le plus de fer et de diamant que possible et de les envoyer aux industries ; et dites à la guilde des forgerons d'aider le second groupe. Dites à la guide des maçons d'aider le premier groupe et dites à la guilde des menuisiers de préparer des frégates et de les mettre en cale sèche, de telle sorte à ce qu'elles ne soient pas brisées en combat. Et enfin, faites sonner la mobilisation générale, que tous les hommes valides se préparent à une guerre.
Comme vous aurez pût le deviner, on était en guerre. La bonne volonté de tous fut telle qu'en une semaine, les défenses étaient prêtes, et on avait des soldats armés et prêts pour des batailles.

Je dis à mon messager :
        -Dites à nos ennemis qu'on les attends de pied ferme, et que la guerre est déclarée.
Mon messager dût aller vite, car le lendemain on repéra des navires ennemis sur la côte ouest.

        Les tours de grades armées de canons tirèrent sur les embarcations, cinq furent touchées et sombrèrent à l'eau. J'avais sous mes ordres cinq bataillons d'arquebusiers, dix bataillons d'archers et vingt bataillons de soldat combattant soit à l'épée soit à la lance. Lorsque les ennemis posèrent le pied sur terre, ce fut un carnage, les potions allaient et venaient d'un camp à un autre faisant des victimes des deux côtés, les arquebuses envoyèrent beaucoup de soldats ennemis dans l'autre monde, et des flèches fusaient des deux côtés.  La mêlée fut aussi terrible, les corps tombèrent par dizaines chaque seconde, que ce soit ceux de mes soldats ou ceux de mes ennemis. C'était un massacre comme on n'en avait jamais vu ; sauf peut-être à Pompéi.
        Nous profitâmes du fait que les forces ennemies étaient en grande partie décimées, et à l'aide des frégates on contre-attaqua ;  l'aide des arquebuses que le second groupe avait fabriqué.
Le second groupe mis aussi au point de l'artillerie afin de faire tomber les murailles ennemies, et des mages de guerre nous rejoignîmes. Cette fois-ci, la victoire était proche, et nous allions dépasser les autres puissances économiquement et militairement. Même mieux, nous allons être un exemple dont tout le monde se souviendra, et nous seront même gravés dans les mémoires à jamais. Ce que l'on ne savait pas, c'est que le chef de nos voisins était nul autre qu'Herobrine en personne.
        Nous attaquèrent les ennemis, et le scénario précédent ce répéta, à la différence près que nous étions cette fois-ci les assaillants. Les canons réussirent à détruire comme prévu les murailles ennemies, et l'on put entre dans le territoire. Nous étions mille sur le territoire ennemi, et nos soldats étaient entraînées, et ne reculeraient devant aucun danger. Nous marchâmes en direction du quartier général de notre ennemi, et nous remarquions que les arbres n'avaient pas de feuilles et tout ce qui restait d'anciennes villes n'était plus que des ruines remplies de laves et de monstres. Nous arrivâmes devant une pyramide parfaite, mais plutôt que d'entre et de se faire tuer un par un, nous tirâmes avec nos canons et arquebuses. La bataille fut pire que la précédente, nos ennemis n'étaient pas des humais mais des monstres, mais cela ne nous empêcha pas de les attaquer. Nos soldats ripostaient aux boules de feu des ghasts à l'aide de leurs arquebuses, les cochons zombies ne résistèrent pas, et les autres monstres prirent la fuite, nous rentrâmes dans le quartier général et prîmes contrôle de celui-ci, mais le chef de nos adversaires s'était enfui dans l'enfer. Je rentrai dans son bureau, escorté par vingt soldats, et je ne trouvai rien d'intéressant, alors nous allâmes dans l'enfer, à la poursuite de notre ennemi.
        Dans l'enfer, on arriva dans une vielle ruine en brique rouge, nous n'étions plus que cinq cent, soit la moitié de nos troupes au départ. Nous vainquîmes sans difficulté les ennemis qui nous attaquèrent et détruisîmes les générateurs d'incendiaires. Enfin, nous trouvèrent Herobrine, et nous lui tirâmes dessus avec les arquebuses ; mais celui-ci évita les balles et se téléporta derrière nos soldats en en tua une bonne centaine. Alors que cinq minutes précédentes nous pensions déjà que tout était joué ; on crut à ce moment là qu'on allait tous mourir. D'un geste héroïque je para de peu un de ses assauts et je contra en lui enfonçant mon épée dans sa poitrine. Il disparu dans un flash blanc.

        Herobrine était vaincu même s'il n'était pas mort car son armée était en déroute ; et nous avions fini par contrôler le monde normal et l'enfer. Il ne restait plus que l'End.

Sixième chapitre: Une tonne d'ennui :

L'empire avait beau être le plus puissant économiquement ou militairement, être à sa tête et le diriger était loin d'être facile…

        En effet, même si les menaces extérieures n'existaient plus, les menaces intérieures étaient toujours la ; en effet les deux groupes s'étaient remis à se battre, et les attentats reprirent. La milice avait beau faire de son  mieux pour empêcher les risques d'attentats, elle finit par être attaquée par les deux groupes qui veulent se taper dessus ; aussi l'hôtel de ville fut détruit à la bombe. Je devais réagir ; mais cependant, j'avais d'autre priorité, principalement l'épidémie qui touchait l'Empire, mais le second groupe avait un remède mais lui demander ce remède pourrait causer une insurrection de la part du premier groupe, ce qui pourrait être fatal à l'unité et à l'organisation de l'Empire. Il y avait aussi des rebellions au sujet de la justice, car les deux groupes avaient beaucoup plus d'effectifs que le guildes et plus de moyens donc ils avaient une immunité due au fait qu'ils soudoyaient les juges afin que le procès soit en leur faveur. Il y avait aussi une famine due au fait que les deux groupes refusaient de payer leurs impôts. Le pire dans tout cela, c'est que chacun des groupes voulaient l'effondrement de l'Empire pour pouvoir obtenir l'indépendance pour se battre entre eux ; et la propagande est devenue telle que des guildes subissent d'énormes pressions car chaque groupe veut qu'elle le soutienne et des membres de chaque groupe remettent en cause l'unité de l'empire et créent des ouvrages qu'ils disent scientifiques et philosophes qui ne sont que de la propagande. Pour couronner le tout il y a des sectes de fanatiques qui croient que tous ces problèmes sont dus au fait qu'on a tué Herobrine et tente de le ressusciter.
Je devais agir, et vite. C'est ce que je fis : à l'aide des guildes de nombreuses personnes ayant marre de tout ce bazar; j'expulsai alors les deux groupes et les sectes de l'Empire, et tout alla déjà beaucoup mieux, il ne restait plus que le remède à trouver. Alors un visiteur demanda à me voir, au sujet du remède. Il me dit :
        -Je suis un médecin d'un autre pays, je suis venu pour vous aider, car vous êtes le meilleur exemple d'empire sur ce monde, ce serait dommage qu'un empire qui a vaincu Herobrine soit décimé par une bête maladie. Pour faire un remède, il faut l'Oeuf de l'Ender-dragon, et c'est vous seul qui devez le chercher, pour l'image, car votre peuple commence à douter de vous, si vous le sauvez vous aurez une chance de regagner sa confiance. Allez dans l'End, et revenez avec l'œuf. Le portail pour y accéder est sur le lieu de votre réveil. Allez, et ne perdez pas de temps.
Voyant que je n'avais pas le choix, je prix mon courage à deux main et mon épée dans l'autre, et je parti, bien décidé à obtenir l'œuf. En allant dans le fort, je revis les « souries » et elles me défièrent toutes en duel, je remportai tous les duels, car si elles m'avaient attaqué toutes en même temps, elles auraient pût avoir une chance. J'avais pris soin de prendre avec moi des vivres et des armes de rechange. Une fois dans l'End, je vis le terrible dragon voler en ma direction, j'évita son attaque de peu, et je lui décocha une flèche dans son épaule. Seulement, il y eu un rayon blanc et l'entaille se referma, je compris que pour vaincre cette bête monstrueuse j'allais devoir détruire tout les cristaux. Je les tirai dessus un à un, tout en prenant soin de ne pas me faire toucher par le dragon et j'évitai de provoquer les Ender-men. Quand tout les cristaux furent détruits je tira sans cesse sur le dragon, mais je me trouva à cours de flèches. Alors je grimpai sur une des tours noires, et lorsque la bête monstrueuse se trouva à portée ; je m'élançai dans le vide et j'enfonçai mon épée dans sa poitrine, lui donnant le coup de grâce. Il disparu dans une explosion violette et je pris l'œuf ainsi que l'expérience, puis je sauta dans le portail.

Mais avant de réapparaître, je devais me retrouver dans mes propres rêves ; pour cela je devais accomplir quatre épreuves (les Ender-men n'ont que ça à faire…)
        La première épreuve fut deux gigantesques couloirs remplis de plaques de pressions toutes mortelles sauf quelques-unes, je réussi cette épreuve grâce à un parchemin qui me donna le chemin à prendre, le second me dit de réfléchir et d'être logique. Je fut logique, je détruisis toutes les plaques de pressions afin de ne pas déclencher de piège.

        La seconde épreuve ne fut pas plus facile, je devais éviter des pièges tout aussi sadiques, un parchemin me dit :
        Comment vas-tu ?
Je me dis « Yau de poêle », en référence au calembour datant du passé de mon passé (il a une bonne centaine d'année).
Je vis un tuyau, je le touchai et il se mit à s'élever, le m'accrocha à lui et il me fit passer tous les pièges inévitables.

        La troisième épreuve me parut facile, je vis une arène, je pris une épée et je tuai des monstres qui ne demandaient que ça, lorsque j'entendis une voix dire :
        -Le temps de ma revanche est venu.
Je vis alors Herobrine derrière moi; ses yeux blancs fixés sur moi.

À suivre…

Qu'est-ce que vous en penser?

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Ne tentez pas de me parler je m'en vais, car visiblement personne ne répond à mes posts, donc cette communauté ne veut pas de moi, au revoir.

#2 29/06/2012 19:52:48

Banni(e)
Lieu : sous la lave

Messages : 1 324

Re : Récit.

Pfoooouuu c'est long

#3 29/06/2012 20:21:45

VIP
Lieu : Quelque part...

Messages : 263

Re : Récit.

un concours? oO

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#4 29/06/2012 20:54:32

Membre

Messages : 468

Re : Récit.

maxwarrior a écrit :

un concours? oO

Oui, j'ai fait ce role-play à la base pour le concours de textes role-play organisé par link1262.

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Ne tentez pas de me parler je m'en vais, car visiblement personne ne répond à mes posts, donc cette communauté ne veut pas de moi, au revoir.

#5 30/06/2012 01:42:30

Modérateur
Lieu : Entre deux bans

Messages : 2 034

Re : Récit.

Tu le sors quand en version relié?

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Ex-Seigneur Pumpkins!

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